Prétérition

l’ironie. Ex : « De petits esprits exagèrent trop l’injustice faite aux Africains » Montesquieu. d. L’anacoluthe : rupture de construction. Ex : « Après boire, l’homme qui regarde la table et qu’il soupire, c’est qu’il va parler » Giono. e. La prétérition : feinte par laquelle on annonce que l’on ne va pas dire ce qu’on finit par dire. Ex : Hugo. f. Le zeugma : consiste à atteler l’un à l’autre en leur donnant la même fonction, deux mots ou expressions qui n’appartiennent pas au même registre sémantique

courte et une élémentaire coordination «et.. Et.. alors». Ce discoure est par la suite intensifié par des exclamation telle que «pour s’amuser» (ligne 7) et par des répétions avec «j’ai vue» ainsi que par un emploi expressif du «oui» enfin d’une prétérition des phrases affirmative. Ce témoignage montre une scandaleuse contradiction entre la cruelle réalité des atrocités faite aux autochtones et la mission évangélisatrice. Axe 2: Une dénonciation de la cruauté des espagnoles. Ainsi, Cette extrait

proximité dans le discours de plusieurs formes du même mot. « Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes » Madame Bovary, Flaubert  Permet des jeux de sens et de sonorités. L'effet visé est souvent l'expression lyrique. Utilisé aussi pour insister. La prétérition (F) : feinte par laquelle on annonce qu'on ne va pas dire ce qu'on finit par dire quand même. « Inutile de vous présenter monsieur Paul. »  La figure a pour but d'attirer l'attention sur un sujet délicat voire conflictuel ou polémique ( ex: avocat)

de sa fille, c’est le couché du soleil, symbolisé par « l’or du soir qui tombe » (v.9). Les nuages sont caractérisés par « des voiles » (éléments floues) (v.10) qui descendent vers la ville d’Harfleur, d’où vient Victor Hugo. Il y a une sorte de prétérition, qu’il fait, avec la volonté d’oublier qu’il est poète. A la fin de son périple, on découvre ainsi le but du voyage, d’un effet presque magique, de Hugo, qui est de déposer sur la tombe de sa chère fille « un bouquet de houx vert et de bruyère en

L’oxymore fait coexister deux termes de ( Le Cid, Pierre Corneille ) sens contraire à l’intérieur d’un même syntagme. « ai-je crié faiblement » (Le dernier jour d’un condamné) V. Hugo « Nous n'essaierons pas de donner au lecteur une idée Prétérition (féminin) : lorsqu’on affirme de ce nez tétraèdre… » passer sous silence une chose dont on (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris) parle quand même. « L'enfant avait reçu deux balles dans la tête. Hypotypose (féminin) : figure qui se fonde

critique insérées dans les fables : thème omniprésent (règne louis XVI). Le singe = projection de la figure de La Fontaine ? ▪ Incursion du je Ambivalence entretenue par La Fontaine dans ce je qui s’exprime dans le plan politique que par des prétéritions : fable 1 du livre 12. il nous échappe en tant que moraliste ; se dérobe. Présence de ce je de l’auteur personne pose la question de l’évolution de La Fontaine du livre 11 à 12 ; Il a vieilli et donc s’interroger sur pertinence biographique dans

«t'adorer» et un Dieu de la connaissance absolue : (l-20) «car tu sais». 3) Une prière aux Hommes. A la ligne 21 on a le destinataire réel de la prière : «puissent tous les Hommes». A la ligne 1 Voltaire veut surprendre le lecteur en employant une prétérition, il dit qu'il ne s'adresse pas aux Hommes alors qu'il est en train de le faire. On a ici une indignation de l'auteur (l-1) par l'utilisation de «n'est plus». Voltaire utilise le «nous» (l-23) ce qui nous montre qu'il s'inclue dans cette humanité

des ongles »LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, dont l’intensité est croissante ou décroissante.Ex : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! « (Molière) Ex : « Va, cours, vole, et nous venge ». (P. Corneille) LA PRÉTÉRITION : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors qu’on est justement en train de le faire : « Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais… » (cela permet d’attirer l’attention sur ce qui va suivre).Les

souffrance et la révolte. A. Une femme aveuglée par la colère 1) Une résignation simulée - Un rythme saccadé par la ponctuation (petits bouts de phrase prononcés un peu contre son gré) - Impératifs : « régnez », « contentez » (v.1103) - Prétérition : « Je ne dispute plus » (pourtant elle continue à disputer) 2) L’étroitesse d’esprit de Bérénice - Bérénice ne répond qu’aux derniers mots de Titus, à savoir « il faut régner » ; succession de deux métonymies « yeux » (=Bérénice) et « bouche »

Foi ? objet d’un sentiment tronqué par rapport au sujet d’Agnès. « ce que c’est que sa foi » IE redondance de l’interrogatif par le présentatif montre bien la portée didactique du texte « cassette …. Fasse » IE tire la leçon de l’expérience – prétérition « blondin » péjoratif « langueur » IE paresse comme maladie, une agonie. Ici, mauvais côté de l’état amoureux. 19ème = érotisé. Qui subit cette langueur ? on ne sait pas trop – la langueur apparait comme un stratagème. « péché mortel » : sermon