Pretorien Rome

LA BASILIQUE DE MAXENCE 306-313 ROME  PLAN: I. MAXENCE ET ROME: UN VASTE PROGRAMME ARCHITECTURAL I. 1. Qu’est-ce qu’une basilique? Tentative de définition. 1.2. La basilique selon Maxence. TRANSITION II. LA BASILIQUE SELON CONSTANTIN 1.1. Les modifications apportées à la basilique de Maxence. 1.2. La basilique vers un monument chrétien. CONCLUSION  Avant de traiter de la basilique, il semble important d'expliquer dans quel contexte politique elle fût bâtie.

Sa folie allait grandissante il se croyait même supérieur aux dieux et fit décapiter toutes leurs statues pour mettre la sienne à la place et ses extravagances semblaient ne jamais devoir cesser quand, le 24 janvier 41, les officiers de sa garde prétorienne l’assassinèrent. Le document présent est un extrait de l'ouvrage Histoire romaine de Dion Cassius, un extrait provenant du 59ème livre sur les 80 de son œuvre magistrale. Dion Cassius, né vers 155 et mort après 229 de son vrai nom Cassius Dio Cocceiabus

498 et 518. Ceci malgré les faibles données et informations. Elle se compose de 6 livres et fait environ 300 pages. Partant du règne d'Auguste, l'auteur se fait ensuite de plus en plus précis dans son récit pour ensuite s'arrêter peu avant le sac de Rome par Alaric en 410. Cette œuvre restera cependant inachevée à cause sans doute de la mort de Zosime. Ici nous avons donc un extrait du tome 1, du livre 1 de cette Histoire nouvelle de Zosime qui nous raconte la fin du règne, assassiné par ses propres

Alexandre Sévère, préfet de l'annone, pour devenir enfin lui-même préfet du prétoire en 222. Il rédigea ses Institutes afin de rendre accessible le droit, de le classifier mais surtout de pouvoir l’enseigner. Au cours d'un soulèvement de la garde prétorienne, il fut tué en 228. Le texte consacre également une partie notable à l’Enchiridion de Sextus Pomponius, il est, tout comme Ulpien, l’un des principaux auteurs cités dans le Digeste et les Institutes du Corpus Juris Civilis. Juriste et enseignant

l'empire et se retirerait à Rhodes. Bientôt il lui ôta tous ses honneurs et toute sa puissance, lui enleva sa garde et ses Germains; enfin il la bannit de sa présence et de son palais. Il eut recours à tous les moyens pour la tourmenter. Était-elle à Rome, des affidés de Néron lui suscitaient des procès; à la campagne, ils l'accablaient de railleries et d'injures, en passant près de sa retraite par terre ou par mer." "Adduntur his atrociora nec incertis auctoribus: ad uisendum interfectae cadauer

première tentative pour se débarrasser de Sénèque : l'affranchi Cléonicus avait préparé le poison mais l'opération avait échoué. Le philosophe soupait en compagnie de son épouse Pompeia Paulina et de deux de ses amis quand le tribun de la cohorte prétorienne, Gavius Silvanus, lui fit part des instructions de l'empereur l'invitant à se donner la mort « Ensuite le fer lui ouvre les veines des bras. Sénèque, dont le corps affaibli par les années et par l'abstinence laissait trop lentement échapper

parvient avec le soutien de Marcia sa maîtresse, Quintus Aémiluis Laetus, le Chambellan Electus et le soutien de la garde prétorienne. Mais son règne fut de courte durée, de janvier à mars 193, durant lequel il essaye de faire une reprise en main de l’empire, pour reconstruire l’autorité de l’état. Cette politique lui valut d’être assassiné dans le palais impérial par les prétoriens le 28 mars 193. Sa carrière avant qu’il n’accède au pouvoir impérial, est principalement connu par l’Histoire Auguste dont

défavorable envers le sénat. Il y a des cas pathologiques (→  Caligula, Commode) et des parvenus grisés par le pouvoir (→  Vitellius). Il est aussi des personnages sans caractère (Julianus, de mars à juin 193), portés à un pouvoir éphémère par la garde prétorienne, qui attend d'eux une récompense. Les empereurs sont de plus en plus d'origine militaire et provinciale. Parviennent ainsi des séries d'empereurs espagnols (→  Trajan, Hadrien), syriens (les Sévères) ou illyriens (de Claude II à Dioclétien). Cela

de crainte d’être dissoute, se mis promptement à la recherche d’un représentant de la dynastie Julio-claudienne. Et d’après l’anecdote racontée par Suétone, la garde prétorienne trouva Claude tremblant dans une chambre derrière une tenture, et lui proposa la pourpre. Claude accepta et offrit pour s’assujettir de la garde prétorienne un « donativum[5] » de quinze mille sesterces, comme illustré dans ce passage : « Verum postero die et senatu segniore in exequendis conatibus per taedium ac dissensionem

I) Les jeux du pouvoir 1- Julianus, homme d’Etat ou assoiffé de pouvoir 2- Les prétoriens  « faiseurs d’empereurs » ? II) Les engagements de Julianus 1- Le damnatio memorae 2- L’exeptionnel donativum offert aux prétoriens. III) Une réaction générale hostile à Julianus 1- Le « peuple romain » en ébullition 2- Honneur et déshonneur ; Objectivité d’Hérodien Introduction Ce document est un texte écrit par Hérodien. Hérodien (175 - 249) est un historien/écrivain romain d'expression grecque