Princesse De Clèves Monologue

galanterie. Un troisième temps analysera le mot « illusion » : faire illusion, est-ce ce que voulait Matamore ? Pourquoi a-t-il échoué (voir réponse 5) ? Est-ce le but du théâtre ? xvii e siècle 121 corneille Objectifs – Analyser un monologue délibératif – Étudier les valeurs du héros cornélien Le Cid page 144 Repères Furetière définit la stance comme ce « qui se dit d’un certain nombre réglé de vers graves et sérieux qui contiennent un sens au bout duquel il se fait un repos

comment le lecteur peut s’identifier aux personnages a travers le récit et sur quelles philosophie de vie il touche le lecteur. Les personnages du roman dévoilent au cours du récit leurs sensations et pensées les plus profondes, comme dans La princesse de Clèves de Mme de Lafayette où l’auteur nous donne accès à ses désirs refoulés et son attitude face aux regards des autres. L’étude du personnage, en particulier celle du héros, ouvre sur une certaine vision de l’homme, de ce qui fait l’identité, le

convaincant ? Grâce à son effet de réel, il paraît plus abordable et « il dévore toutes les formes ». Quelle œuvre est le premier roman ? (explications : dates…) Certains attribuent le premier roman à Mme de Lafayette avec La Princesse de Clèves au XVIIème siècle, mais il est plus juste de dire que ce dernier est né au 1er siècle avant JC avec le Satiricon de Pétrone. Quand et où a été inventé le terme « roman » ? Au XIIème siècle en France. Donc d’où le roman prend sa source ? Et

littéraire peut laisser place à l’argumentation directe sous forme d’un dialogue ou monologue délibératif. Prenons l’exemple de Zola qui, dans sa lettre ouverte J’accuse expose clairement son opinion concernant l’affaire Dreyfus grâce à un monologue délibératif, ou encore Mme de la Fayette, qui dans son roman La Princesse de Clèves, adopte l’argumentation directe à travers le dialogue entre Mr de Nemours et Mme de Clèves. L’efficacité de l’argumentation directe passe par la dimension logique de cette

aux qualités exceptionnelles, représentant une image idéalisée de la noblesse. Dans la seconde partie du XVIIème siècle, le statut du personnage évolue car les auteurs deviennent plus attentifs à leur psychologie, il devient un individu. La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette confirme cette évolution : on parle alors de « roman d'analyse ». Le personnage au XVIIIème siècle : Les personnages du siècle des Lumières, servent à illustrer les idées de cette époque et de transmettre, par le biais

mort 3) Une tragédie de la malchance ? Conclusion et transition : Shakespeare modèle romantique Document : préface de Cromwell (2 extraits) (ellipse) S.4 Spectacle théatral et représentation du monde Questionnaire : le monologue de Frère Laurent '" la tirade de la reine Mab '" l'erreur (parcours) I- Les conditions de représentation : le théatre élizabéthain + bref historique de la tragédie 1) Un théatre en plein essor 2) La scène élizabéthaine Document :

dépréciatif d'Arnolphe. SEANCE 5 ( 1h.) : les personnages. Etude tabulaire de la présence des personnages au cours de la pièce pour mettre en évidence : * la place centrale d'Arnolphe, son interlocuteur privilégié (Horace), la place et la fonction des monologues. * les apparitions d'Agnès, peu nombreuses, où elle est toujours "surveillée". Mise en place du schéma actantiel : on peut en proposer deux, l'un qui donne à Arnolphe la fonction de sujet, et l'autre qui la donne à Agnès, pour mettre en évidence

Zakary BarriereCommentaire composé Gustave Flaubert était un écrivain français du milieu du XIXeme siècle. Alors principal réprésentant du réalisme, mouvement très présent lors de la seconde moitié du siècle, il publie " L'éducation sentimentale " en 1869. Dans cet extrait , le protagoniste Frédéric Moreau contemple une femme à qui il vient de croiser le regard, faisant une description longue et détaillée de son physique, de ses moindres mouvements, et même des

loin que les autres -un interprète selon Baudelaire, il déchiffre les sentiments : on se reconnait dans les poèmes LE THEATRE ET LA REPRESENTATION Tragédie : -pathétique -dieu -mort/fatalité/destin -dilemme -ironie du sort -passion -lyrisme -monologue délibératif -stichomythie (vers très court qui montre souvent perso ds la haine) Il n’y a pas des morts ds toutes les tragédies !!! Ds Bérénice de racine : personne ne meurt Résumer : Titus et Bérénice s’aiment. Elle est reine de

reflète, voire le détermine ? Perspectives d’étude : connaissance des genres et des registres ; approche de l’histoire littéraire et culturelle; réflexion sur l’intertextualité et la singularité des textes. Objectifs secondaires: le dialogue et le monologue romanesque; les différents points de vue; la construction du récit; la description ; Problématique: Comment le personnage de roman est-il représenté par les narrateurs et mis en valeur à travers ses émotions et son point de vue ? Thème d’étude: