Princesse Lointaine

Naissance de l’amour Introduction Plan du cours Introduction à la problématique de la naissance de l’amour, chez Laclos, puis dans le groupement de textes ; puis mise en commun du travail préparé à la maison sur ce thème autour des 3 textes de la princesse de Clèves, la vie de Marianne et la nouvelle Héloïse, puis observation de ce qui se passe chez Laclos avec la Lettre 22 de Mme de Tourvel 1) Caractéristiques de la naissance de l’amour chez Laclos, et particulièrement chez Tourvel. Chez tous

vous paraître longue, voire ennuyeuse, vous noterez néanmoins qu'elle vous permet de bien visualiser la scène, presque de croire à la réalité d'un tel lieu. • Enfin, les personnages eux-mêmes sont souvent des doubles de personnes réelles. La Princesse de Clèves, le personnage de Madame de Lafayette, ressemble certainement beaucoup aux femmes de la noblesse de l'époque. De la même manière, nous aurions pu connaître, dans la première moitié du XXe siècle, la même existence médiocre que Bardamu,

collective, ce qui rend la notion d’ « auteur  » encore floue. Les Maximes (1678) de La Rochefoucauld, par exemple, sont le résultat d’un jeu de société pratiqué dans les salons mondains (rivaliser dans la création de sentences), et le roman La Princesse de Clèves (1678) est né de la collaboration de Mme de La Fayette avec le poète et romancier Jean Segrais. 2. Du point de vue de la fonction et de la notion d’auteur. Au XVIIe siècle la littérature n’est plus considérée comme un « sacerdoce »

XVIe siècle en France avec Rabelais et ses personnages,Pantagruel et Gargantua. C'est un genre littéraire particulier mais très prisé car le nombre de lecteurs n'a cessé de croitre depuis le XVIIe sicle avec l'apparition du roman d'analyse comme la Princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Et en ce début du XXIe siècle , le roman est le genre littéraire le plus lu. Nous verrons donc si les auteurs se sont efforcés de représenter la réalité tel qu'elle est, puis nous verrons si le roman reste un

croyait à l’amour avec un grand A mais se rend compte que ce n’était que légende. Elle souffre durant toute l’œuvre, d’abord à cause de son mari puis, ensuite, à cause de son fils. Elle est même en proie à des crises de folie. Mme de Clèves, dans La Princesse de Clèves souffre elle aussi énormément, son amour impossible, son désespoir de faire souffrir et même tuer son mari et surtout cette honte de ne pas pouvoir être une femme noble et respectable la rendent, tout comme Jeanne, très touchante. Le lecteur

fit donc paraître des œuvres anonymes ou choisit le mon de l'un de ses amis. Leur collaboration à l'écriture de ses romans est d'ailleurs prouvée. Dès 1662, elle publie une nouvelle historique : La Princesse de Montpensier, puis Zaïde, un livre en deux tomes qui reçut un vif succès ; en 1678, la Princesse de Clèves, provoque comme Le Cid, l'admiration la plus vive tout en déclenchant une polémique non moins animée. Cinq ans plus tard, après avoir perdu son ami de toujours, La Rochefoucauld, et son

grammairien Ménage qui lui enseigne l’italien et le latin. Ce dernier l’introduit alors dans les salons littéraires en vogue de Catherine de Rambouillet, de la Marquise du Plessis-Bellière et de Madeleine de Scudéry. QUELQUES ŒUVRES : La princesse de Clèves, La Princesse de Montpensier MORT : le 25 mai 1693

3ème Bibliographie Romans & Nouvelles 1 AUTEURS FRANÇAIS XVIè siècle Rabelais : Gargantua - Pantagruel XVIIè siècle Mme de La Fayette : La princesse de Clèves XVIIIè siècle |Bernardin de St-Pierre : Paul et Virginie | |Diderot : Jacques le Fataliste | |Montesquieu : Lettres persanes | |Voltaire : Candide - Zadig - Micromégas | XIXè siècle

mort, inéluctable avec sérénité : leçon de vie face à l’absurde de la condition humaine | La princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678 | ■ Melle de Chartres vient tout juste, à seize ans, d'arriver à la cour d'Henri II, très vite remarquée par sa beauté sans égale, notamment par le Prince de Clèves et le duc de Guise. Conseillée par sa mère qu'elle admire énormément elle devient Princesse de Clèves. Malheureusement, elle n'éprouve que de l'amitié pour cet homme et tombe amoureuse du duc

dans la phrase, ces antithèses calculées, cet amour-propre érigé en raison universelle, cela est bien loin des replis et des caprices qui font l’expérience d’un homme. Je donnerais volontiers tout le livre des Maximes pour une phrase heureuse de La Princesse de Clèves et pour deux ou trois petits faits vrais comme savait les collectionner Stendhal. » (Œuvres complètes, T.1, Gallimard, coll. La Pléiade, p.924) Nous sommes en 1944, et Camus est en train de travailler sur La Peste, qui paraîtra en 1947