Princesse Zelda

L .A 1 : La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette : Intro : Siècle de Louis XIV→ Classicisme. Elle s’inspire de la cour de Louis XIV dans ses œuvres. 1ère a instaurée le roman psychologique→ « La princesse de Clèves » elle fréquentait les salons littéraires de l’époque→ préciosité→ phénomène social→ salons mondains. Œuvres→ rigueur du style, respect des bienséances. => Ce qui a donné au classicisme sa langue pur, son goût de l’ordre et des conventions. Scène clé du roman→ Acmé. Mme de

Question : Analyser les moyens narratifs mis en œuvre par l’auteur pour dramatiser la scène. Dans ce texte, l’auteur met en valeur l’existence des relations entre mère et fille.Le texte qui est écrit par Mme de Lafayette intitulé  la princesse de Clèves, édition Livre de Poche, page 91-93.Dans le déroulement de l’histoire, l’auteur expose une manière de raconter l’histoire pour dramatiser la scène.On se demande alors quels moyens narratifs mis en œuvre par l’auteur peut-on analyser pour

Question : En quoi le personnage de roman peut-il constituer un exemple ? Intro : cette extrait est issu du roman la princesse de Clèves, écrit par madame de la Fayette et publier en 1678. Dans ce passage, la 1er arrivée à la cour de Mlle de Chartre, la future princesse de Clèves y est décrite de façon exemplaire. Pour traiter la problématique suivant ; ……………………………………………………………………………………………………………………………………………….. On traitera dans un premier temps l’image exemplaire de la vertu, plus l’exemple social

Lecture analytique : La Princesse de Clèves (le bal) REMARQUES : dans la forme, c’est une lecture analytique-type (je n’ose pas dire exemplaire - enfin si, un peu quand même, mais dans la forme), en tout cas dans la manière de procéder - partir des premières impressions de lecture pour organiser l’explication - et reproduire ce mouvement (grand balayage => analyses de détails) dans chaque point abordé. Tu as là une version qui comprend les questions, les réponses ainsi que des commentaires

publier cependant sous le nom de Segrais. En 1670 la publication de Zaïde qu'elle a rédigé en patenariat avec La Rochefoucauld et Segrais. Signée par le poète de l'académie francaise. Et c'est enfin en 1678, que fut la publication de son roman La Princesse de Clèves . Après la mort de son fidèle ami La Rochefoucauld et de du Comte, la Comtesse confectionnera les mémoires de la cour de France 1688 et 1689. Madame de la Fayette mourut le 26 mai 1693 «  avec une piété admirable » comme l'écrira Racine

La princesse de Clèves 1678 Introduction - Ce que donne l’épopée dans le monde moderne. Monde du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste

quand, participe présent. Allitération en [R] tout au long du poème jusqu’au râle final de l’appel de la mort. Allégorie de la mort comme un peintre qui efface la clarté de la vie à la demande de l’amante. Cf la mort de Monsieur de Clèves dans La Princesse de Clèves Structure : Deux phrases : la première des vers 1 à 9 parcourt les quatrains. La seconde commence à la charnière et est introduite par la conjonction « mais » : une forte opposition syntaxique structure le poème. Proposition subordonnée

son œuvre « La Princesse de Clèves ». Le XVII eme siècle est une époque où l’église a une place importante, donc la peur du péché et de la mort sont omniprésentes ce qui entraine aussi une peur du jugement des autres, notamment dans la Cour du roi Louis XIV. Madame de Clèves tente d’incarner l’idéal de « l’honnête femme » dans ce monde de libertinage. Madame de la Fayette met en mots les inquiétudes du Grand Siècle à travers l’histoire de « La Princesse de Clèves ». La Princesse de Clèves étant

]de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large" (soit environ 70 mètres par 30), "deux files chacune de mille musiciens", "édifices publics élevés jusqu'aux nues" ( = qui s'élèvent jusqu'au ciel), aussi hauts que ceux de Babylone, voir La Princesse de Babylone du même auteur, "galerie de deux mille pas" (environ 1500 mètres) "toute pleine d'instruments de mathématique et de physique" * une énumération qui montre le raffinement de ce pays : " fontaines d'eau pure", "fontaines d'eau rose"

d’entretisser des relations vitales, qui mettent en jeu les mouvements les plus profonds de sa sensibilité et les visées essentielles de son art. Les perpétuelles équations qu’il pose établissent entre eux des rapports systématiques. Si par exemple, la Princesse de Clèves = le Pérugin, et Pierre de Cortone = Villemain, c’est que, comme il l’explique à Balzac, l’histoire de la littérature répète l’histoire de la peinture et les mêmes péripéties affectent successivement les divers discours expressifs, qu’ils