Principe de Copernic

souvent eux-mêmes prêtres (par exemple Copernic, Lemaître), ont pu, grâce à leur éducation, faire des découvertes scientifiques révolutionnaires. La réputation anti-science des églises chrétiennes (principalement Eglise Cahtolique) est-elle donc justifiée? Y-a-t-il vraiment une incompatibilité entre le Christianisme et la Science? Dans quel état d'esprit le savant religieux se montre -t-il face à la science? Le savant religieux part du principe que toutes les choses du monde et toutes

l'imprimerie (1450), la découverte de manuscrits avec l'exode des grecs en Europe après la prise de Constantinople (1453), l'exploration des nouveaux continents avec Christophe Colomb (1492) et les découvertes grandes découvertes en astronomies avec Nicolas Copernic et de Galilée donne un nouveau regard sur l'homme et l'univers …. et Dieu. Quelques humanistes Pétrarque (1304-1374), Boccace (1313-1375), Léonard de Vinci (1452- 1519), Jean Pic de la Mirandole (1463-1494), Erasme (v. 1466-1536), Guillaume Budé

que toutes leurs connaissances semblaient confirmer cette idée : le dogme religieux, mais aussi l’observation courante et même, la science, lorsqu’elle s’appuyait sur Aristote ou Ptolémée. Pourtant, les découvertes de quelques-uns, à commencer par Copernic ou Galilée, ont fini par montrer que tout le monde se trompait. Alors, suffit-il d’être certain pour être dans le vrai ? (problématique) "Être dans le vrai", c’est à première vue connaître la vérité, c’est-à-dire que ce que l’on pense ou ce que l’on

A proprement parlé on ne peut le définir. On peut former une analogie du Bien avec le Soleil (d'après Platon). C'est à la fois la cause des choses sensibles et ce qui rend possible notre vision de ces choses. Le Soleil peut être compris comme le principe des Essences et ce qui rend possible notre contemplation des essences. En ce sens, le Bien joue dans le domaine de l'intelligible le même rôle que le Soleil dans le domaine sensible. Le Bien est aux Essences intelligibles et à la science ce que le

une métaphysique des moeurs, l'auteur met ainsi un terme à son travail sur la première de ses trois Critiques. COMMENT TROUVER LA VOIE SÛRE DE LA SCIENCE ? § 1. À quoi reconnaît-on que des connaissances rationnelles (mettant en oeuvre des principes inhérents à la raison, qui ne sont donc pas tirés de l'expérience) forment une véritable science ? L'auteur répond dans un premier temps de manière négative: les hésitations, les désaccords sont la preuve qu'il s'agit encore de tâtonnements et non

les intérêts particuliers et collectifs tel que le décrivaient les philosophes du Contrat Social ou Karl Marx)? Et qu’est-ce qui est spirituel, mon esprit, ma subjectivité, ma perception ou un esprit pluriel, global, Dieu ou le premier (ou dernier) principe de l’univers, l’Un, l’Absolu, l’Infini, L’Idée ? - Cette complexe et éternelle question de la vérité est philosophiquement liée à une autre, celle de l’Être, qu’est-ce qui est ? (moyen de poser les mêmes questions que précédemment). Il est communément

rappeler le contexte qui a permis l’émergence des idées philosophiques du XVIII° ; - montrer que les fondements de ces idées poussées à l’extrême ont provoqué l’exclusion de l’homme : - énoncer une utopie capable de redonner force et vigueur à nos principes. Claude Levi-Strauss affirme : « Aucune civilisation ne peut se penser elle-même si elle ne dispose pas de quelques autres pour servir de terme de comparaison ». N’est-ce point ce qu’a connu le XVIII° ? On oublie trop souvent que les bouleversements

désirs initiaux que nous éprouvons de notre nature « animale », désirs « tabous » en totale opposition avec les aspirations morales et esthétiques de la personne). Nous sommes donc tous naturellement régis par ce que Freud nomme « le principe de plaisirs ». Or, « le principe de réalité », c'est-à-dire, la présence d’autrui, d’un monde social à partager, nous impose à une bonne éducation, soit nous contraint à la répression (éduquer > réprimer ses pulsions). Mais, comme l’individu ne saurait renoncer

études, il en arrive à la conclusion que le développement scientifique dépend en partie d’un processus de changement qui n’est pas une simple croissance, mais une révolution. Il y a de grandes révolutions comme celles qui sont associées aux noms de Copernic, de Newton ou de Darwin, mais la plupart sont beaucoup plus petites, comme la découverte de l’oxygène ou celle de la planète Uranus. Ce qui prélude ordinairement ce changement, d’après l’auteur, c’est la prise de conscience d’une anomalie, d’un événement

moderne . Celui ci va instaurer des nouveaux principes notamment dans les universités pour que l 'éducation change mais aussi dans les différents domaines variés qui ont pus se développer grâce au Humaniste. Désormais le monde sera plus ouvert sur les connaissance que basé uniquement sur la religion comme au MA. En quoi l'humanisme constitue une rupture dans l'évolution de la société au XVIeme s. ? Il sera développé dans une première partie les grds principes de l'humanisme, ds une 2eme les domaines