Principe de D'Alembert

aristocrates et l'Eglise( c'est ces 2 classes sociales qui partageaient le pouvoir); le ROI doit être obéi et respecté puisqu'il est choisi par Dieu pour guider le peuple, etc. DOGME-idée ou conception qui refuse toute discussion, toute critique des principes qu'elle énonce. Exemple: Dogme religieux- l' Eglise a longtemps considéré que l'homme ne doit pas chercher à comprendre le monde( pas de science ou de recherche par la raison). Au Moyen Âge, la seule chose qui pouvait conduire l'homme vers la Lumière

siècle, Newton, assigné à résidence dans son village natal par une épidémie de peste, énonce les trois principes fondamentaux de la dynamique qui lui permettront d’expliquer à la fois la chute des pommes dans son verger et le mouvement des planètes. Dans ces lois il définit l’interaction du système étudié avec un ou plusieurs autres systèmes, par la variation de son vecteur vitesse. D’Alembert préfère définir cette interaction par la variation du vecteur quantité de mouvement. L’étude du mouvement

et c'est ici une grande perfection du philosophe, c'est que, lorsqu'il n'a point de motif pour juger, il sait demeurer indéterminé. [...] L 'esprit philosophique est donc un esprit d'observation et de justesse qui rapporte tout à ses véritables principes; mais ce n'est pas l'esprit seul que le philosophe cultive, il porte plus loin son attention et ses soins. L'homme n’est point un monstre qui ne doive vivre que dans les abîmes de la mer ou au fond d’une forêt: les seules nécessités de la vie lui

Pensées philosophiques » publié en 1746 (condamné à sa parution) « Entretient d’un père avec ses enfants ou Du danger à se mettre au-dessus des lois » publié en 1772. « L’Encyclopédie » qu’il a commencé en 1747 et terminé en 1765 et écrite avec D’Alembert publié de 1751 à 1772. Montesquieu : son vrai nom est Charles Louis de Secondat. Il est né le 18 janvier 1689 à Brède et mort à paris le 10 février 1755. Les trois textes principaux de Montesquieu : « Lettres persanes » en 1721

d’un Discours sur le bonheur. Elle meurt le 10 septembre 1749 à Lunéville. Ses œuvres : * Dissertation sur la nature et la propagation du feu (1744) * Réflexions sur le bonheur, dans Opuscules philosophiques et littéraires (1796) * Principes mathématiques de la philosophie naturelle traduction de Newton (1766) Chénier : André Chénier est né en 1762 à Galata d’une mère grecque et d’un père français. Il passe quelques années à Carcassonne, traduit dès l’adolescence des poètes grecs et

Mme de Warens à Annecy (Rousseau a alors seize ans). Il s'installe à Paris en 1742. Il invente une méthode de notation musicale mais ce fut un échec. Après cela, il fréquente le milieu littéraire et rencontre notamment Diderot, Condillac, Grimm, d'Alembert avec qui il se lie. Rousseau rédige des articles de musique pour l'Encyclopédie. À Paris également, il rencontre Voltaire en 1744 (avec qui il se brouillera plus tard). En 1749, il mit dans le journal (Le Mercure de France) le sujet d'un concours

(1715-1789), dont le but était de dépasser l'obscurantisme et de promouvoir les connaissances. Des philosophes et des intellectuels s’opposant à la superstition, à l’intolérance et aux abus des Églises et des États. Le siècle des Lumières débuta en principe au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, et prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789. Cette période se caractérise, d'une part, par un fort mouvement de remise en question ainsi que par l'établissement d'une plus grande tolérance

la vie à la cour et des Mémoires sur différents sujets de mathématiques, ces derniers jetant les bases de sa notoriété, comme mathématicien... Il rencontre à cette époque Jean-Philippe Rameau et collabore à la rédaction de sa Démonstration du principe de l'harmonie (1750) L'Encyclopédie L'année 1747 marque le début des pleines responsabilités de Diderot dans le vaste projet éditorial de l'Encyclopédie. Il s'installe alors rue de l'Estrapade sur la montagne Sainte-Geneviève. Le Prospectus

composés d'officiers qui ont acheté leur titre de charge, possèdent le droit de remontrance : ils peuvent faire modifier un édit royal. Certes, le roi peut l'ignorer, mais il a souvent besoin de l'appui de ses parlementaires. La loi n'a pas de principe universel : certaines villes sont dites « franches » et ne paient pas l'impôt. De fait, certaines parties du territoire français semblent moins soumise à l'autorité absolue. Les limites du pouvoir du roi ne sont pas institutionnelles, il a effectivement

feinte. Contexte philosophique Cet ouvrage s'inscrit dans un débat important du XVIIIe siècle sur le fatalisme et l'existence du mal. Depuis longtemps déjà, Voltaire est farouchement opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, du « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maitresse, pour laquelle il éprouve beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet est une leibnizienne convaincue5. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le