Principes Et Critiques Du Taylorisme Et Fordisme

consommés par plusieurs personnes en respectant deux caractéristiques : - Le bien public est indivisible : c’est le principe de non-excluabilité, qui signifie qu’il n’est pas possible de fractionner la production, ni la consommation du bien. Le bien est produit pour tous les citoyens et nul ne peut se l’approprier (ex : éclairage public) - Le bien public est extensible : c’est le principe de non-rivalité qui signifie que la consommation des uns ne diminue pas la consommation des autres (ex : éclairage

des entreprises du pôle de compétitivité Arve Industries. Nous avons proposé, tout d’abord, d’introduire les principes de la culture européenne dans une démarche d’amélioration facilitant la réussite d’une démarche de progrès. Par ailleurs, afin de favoriser l’application des cartographies de chaîne de valeur, nous avons développé une nouvelle approche d’identification des ressources critiques. Un modèle analytique de la quantité optimale à produire a également été proposé pour répondre aux spécificités

plus complexe. Avantages et inconvénients de la croissance Lié au phénomène de taille : l’effet taille : phénomène d’économie d’échelle (principe que lorsque l’entreprise gère plus de volume : donc diminution des coûts fixes, pouvoir de négociation plus important, phénomène de la d’apprentissage (plus on produit dans le temps plus on est efficace). Masse critique : position dominante, et que l’on peut mieux maîtriser la filière. Inconvénients : problème managérial, plus elle est complexe à diriger

Epoque ») 1895-1918 Forte croissance économique (expansion) ; deuxième révolution industrielle ; transformation du monde ouvrier (conditions de vie, de travail, d’organisation) ; nouvelles méthodes d’organisation du travail (taylorisme, fordisme) ; économie pendant la guerre. Chapitre 3 Les Années Folles 1918-1931 Folie festive ; folie économique (croissance considérable) ; folie monétaire (dépréciation et fluctuations monétaires) ; « rationalisation » (modernisation

la doctrine Monro qui dans un discours a présenté les contours de la politique estrangère Américaine. 3 principes : 1er principe : Le territoire Américain doit être considéré comme fermé pour toute tentative de colonisation 2ème principe : toute intervention d’un pays Européen sur le territoire Américain sera considéré comme une manifestation inamicale vis-à-vis des Etats Unis. 3ème principe : toute intervention Américaine dans les affaires européenne sera exclut. 2 Systèmes d’alliance : La

qu’on retrouve parmi les acteurs de la révolution industrielle anglaise … 3.3.2. De nouvelles idées politiques et économiques C’est le philosophe John Locke (1632-1704), précurseur de l’idéal des Lumières du 18e siècle, qui exprime le premier les principes : - de tolérance religieuse : la religion est une affaire privée, la liberté de culte doit donc être complète => le processus de sécularisation (la séparation du politique et du religieux) des sociétés européennes est enclenché - de révolution politique

Suisse : les pays « industrialisés précoces » 2. Allemagne et Autriche-Hongrie : 2e vague (2 empires à l'époque) 3. Espagne, Italie, Russie, Suède : les pays « tard venus » 4. Pays peu (ou pas) industrialisés au 19e siècle. 3. Remarques et critiques Spécificité de la voie britannique: ce qui passé fin 19e. Cas singulier des USA : pays jeune, peu peuplé à la base, mais terre d'immigration qui en quelques années a rattrapé son retard; lien contrasté avec l’Angleterre. - Régions précoces dans

trouve réévalué, particulièrement par Alliot, à partir d’une observation minutieuse de l’évolution des rapports sociaux dans l’industrie au Japon puis en Occident, où les entreprises performantes sont celles qui ont réussi à remplacer le fordisme et le taylorisme, dans la rigidité de leur fonctionnement vertical, par un modèle plus participatif de l’ensemble des membres d’une entreprise. Alliot souligne en outre le renouveau du service public en Occident, qui a résulté de l’interactivité horizontale

laboratoires dans les entreprises permet aux découvertes scientifiques d'être appliquées. Les usines deviennent gigantesques (ville-usine comme celle de Krupp à Essen), les sociétés se concentrent et produisent en masse grâce à des méthodes nouvelles (fordisme, taylorisme). Elles ont donc besoin de capitaux, qu'elles obtiennent en devenant des sociétés anonymes par actions. L'internationalisation des entreprises et des échanges s'accélère. L'essentiel : A partir du 18e siècle, la Grande-Bretagne initie

l'art de l'organisation et du management deviendra rapidement une nécessité. Au début du XXe siècle, le taylorisme, et un peu plus tard le fordisme, ont mis en place l'OST (organisation scientifique du travail). Pour Taylor, la motivation est la conséquence du salaire, et il ne tient pas compte des motivations intrinsèques du salarié, ce qui déshumanise le travail. " Les conséquences du taylorisme sévissent encore maintenant dans nos entreprises ", bien que l'on sache aujourd'hui que le salaire n'est