Principes Et Limites De La Loi De Say

la satiété (intensité ➘ au fur et à mesure de la consommation) → besoins relatifs paraissent illimités → A. MASLOW : Pyramide des besoins : 1) Besoins physio, fondamentaux (primaires) 2) Bien être (secondaire) 3) Mieux être (tertiaire) B&R = LIMITES → biens éco = biens rares : nécessitant sacrifice pour être produit Biens matériels / immatériels → biens non éco = biens libres : abondants La rareté impose des choix : rareté des ressources => impossibilité de produire tous les biens nécessaires

Histoire de la pensée économique resuméHISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE « Paradigmes » : de la chréma2s2que d’Aristote aux premiers grands courants de pensées en économie poli2que (Mercan2lisme et Physiocra2e) » « Un paradigme est — en épistémologie et dans les sciences humaines et sociales – une représenta7on du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent du monde qui repose sur un fondement défini. » Epigones = Successeur, imitateur. Le statut d’un courant de pensé renvoie

Richesse des Nations en 1776 et se termine avec la publication en 1848 des Principes de John Stuart Mill. Cette pensée est historiquement développée en France et en Grande-Bretagne. C'est Karl Marx qui inventera le terme classique en opposant les économistes classiques aux économistes vulgaires. Les classiques étant ceux qui ont cherché à déterminer l'origine de la valeur. L’ensemble des économistes qui adhèrent à la loi de Say font partie de l'école Classique. Trois générations d'auteurs vont se succéder:

HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Introduction Le terme « économie » apparait dans la Grèce antique et signifie « la loi de la maison ». Peu à peu, l’économie s’impose comme une science de gestion de la rareté. Comment s’organiser pour produire, répartir, distribuer et consommer au mieux les richesses ? Les Libéraux s’intéressent à la production pour augmenter l’offre, et les politiques de gauche sont axées sur la répartition. Cette définition rend l’économie universelle et intemporelle. Dès

et sociale est le plus sûr moyen d'enrayer l'augmentation rapide de la population. Malthus est aussi l'un des premiers à se rendre compte de l'importance de la demande comme stimulant de la production ; cette thèse infirme pourtant en partie son principe de population. 3) David Ricardo : La théorie de la valeur : Elle se fonde sur la théorie de la valeur travail qu'il a reprise à Smith en l'approfondissant. Selon cette théorie, la valeur d'échange des marchandises dépend de la qualité de travail

 Année universitaire : 2013 /2014 I – les grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique

dans la croissance économique. Le terme « malthusianisme » se réfère aujourd’hui aux théories qui préconisent une limitation des naissances ou, d’une façon plus générale, de l’offre. Ses écrits Essai sur le principe de population (1798), éd. Seghers, 1963 ; éd. Flammarion, 1992. Principes d’économie politique, considérés sous le rapport de leur application pratique (1820), éd. Calmann-Lévy, 1969. David Ricardo (1772-1823) La première intervention de Ricardo dans le débat public a lieu en 1809

s’interprète en recourant à la loi des rendements décroissants = elle précise que dans une combinaison productive (quantité de travail, quantité de capital et quantité de produits), s’il y a plus d’un facteur qu’un autre, alors le rendement (productivité) baisse. Ce processus a permis aux pays émergents de refaire leur retard sur les pays les plus avancés en puissance de productivité (les USA rattrapés au début du XXe). Ces pays ont eu recours à l’imitation des principes de Taylor et Ford (diviser

sont le résultat d’une transformation des ressources qui sont plus ou moins disponibles, c’est-à-dire rares. 1. Production : Activité de rationalisation de travail qui a pour but d’ajuster le niveau des ressources, et donc des biens, par nature limités à celui des besoins qui sont par nature illimités. 2. Caractéristiques : 1. Existence d’un besoin que le bien peut satisfaire, 2. L’utilité des biens, 3. Rareté des biens, 4. Reproductivité des biens, 5. Existence d’un marché. 3. Bien libre :

seulement se limiter à trois fonctions : * Armée : Protéger la nation contre les autres ; * Police, Justice : Protéger les individus contre l’injustice ; * Communication : S’occuper des travaux d’infrastructures nécessaires au développement économique mais que le secteur privé ne peut prendre en charge par manque de rentabilité (construction de ponts, creusement de canaux, etc.). Jean-Baptiste SAY : (1767-1832) Dans son « traité d’économie politique » paru en 1803, Say y développe