Prisonnier d'opinion

criminels dangereux de la société. Celle-ci serait bien sur tempérée dans la société d’aujourd’hui, et ne serait appliquée que pour les crimes graves. Les sanctions d’aujourd’hui sont trop laxistes avec les remises de peine le prisonnier n’a même pas le temps de réfléchir à son acte. Cela donne plus de marge de manœuvre au procureur pour obtenir, par la menace, d'autres informations de l'accusé. C'est le seul moyen de défense efficace dont dispose la société

et baillonée - Le rationnement de l’essence et des vivres - Les ruptures de stock, la pénurie de papier - Les problèmes de ravitaillement - « fours crématoires » et « camps d’isolement » -Les sentiments et les souffrances éprouvées par les prisonniers de la peste. Exposé qui montre que par son aspect totalitaire et arbitraire, "La Peste" peut ainsi être envisagé comme un roman explorant la notion d'emprisonnement sous toutes ses formes. Au-delà du récit fictionnel présenté dans ce roman

en travers de son itinéraire oculaire. Par contre, sans doute le caractère sordide du toit lui fait songer davantage à la beauté de l’Azur. La calme du ciel risque de paraître un peu monotone. Il pourrait contribuer à accentuer l’ennui du prisonnier. La tranquillité pourrait tourner à la déprime. Du coup, le poète voit un arbre en maintenant son regard vers le haut. L’arbre est un être, peut-être moins animé que l’être humain ou animal. Mais c’est un être, c’est-à-dire une vie. Cet arbre

Brutus (dit Brutal), Dean H aident chaque prisonnier à passer ses derniers jours dans la dignité et le respect, ils s’occupent au mieux des prisonniers sauf Percy, qui aime utiliser sa matraque et les martyriser juste pour le plaisir. Rien, ni personne ne peut l’obliger à obéir car c’est un jeune pistonné qui est protégé par sa famille (sa tante est la femme du gouverneur de l’Etat de Louisiane) Tout commence le jour où on lui amène un prisonnier noir, un véritable colosse JOHN CAFFEY («  comme

d’un condamné de Victor Hugo. - Le dernier jour d’un condamné est un roman qui raconte les derniers jours d’un prisonnier qui connaît déjà sa peine et le temps qui lui reste a vivre, très peu , car sa peine est l’échafaud. Dans se livre Victor Hugo ne fait pas connaître le prisonnier ou le crime qui la commis, car en faisant se texte il n’a pas voulu montrer la situation d’un prisonnier mais la situation de n’importe qu’elles hommes à qui l’ont va trancher la gorge dans peu de temps. L’histoire

chambres à gaz. A peine trois heures après leur arrivée ces juifs ressortaient du camp en fumé. Voilà leur destin. Monsieur Peraya est resté avec sa mère, ils ont étaient envoyés à Drancy en région parisienne ou sa mère se fit passée pour épouse d’un prisonnier de guerre sous le conseil d’un cousin rencontré là-bas. Ils restèrent à Drancy durant plus d’une année. Il avait l’habitude de se rendre au quatrième étage de ce bâtiment pour observer de loin les gens libres, il comprit alors la valeur de la liberté

que sa compagne est devenue fille de joie et que l'on est sans nouvelles de son enfant. C'est un bon travailleur, il est honnête. Rapidement, il acquiert une certaine aura sur les autres prisonniers : on le respecte au sein de la prison mais les geôliers le détestent. Claude a toujours faim. Un jour, un prisonnier, Albin, lui propose de partager sa ration de nourriture. Claude, ému, accepte. Une amitié sincère naît entre eux. Un jour, Albin est convoqué par le directeur et ne revient pas dans sa cellule

parle. Oui, le narrateur fait partie des personnages, c’est lui le personnage principal. Ce roman est une autobiographie donc le personnage principal, qui est l’auteur, a un état-civil (on sait qu’il est né le 21 janvier 1919, qu’il a été fait prisonnier le 13 décembre 1943…). Il n’y a pas de description physique du personnage principal. Le type social du héros est de classe moyenne. Le héros veut que tout le monde soit libre et égaux. Les personnages qui l’aident sont ces camarades de son groupe

(l.5) et "maintenant" (l. 19). Référence à une durée "voila cinq semaine" (l. 2) Epoque indéterminée, mais lieu précis: l'histoire se déroule en prison.  Les personnages: • Personnage principal: "Je", "je suis captif".(l. 19) Il est un prisonnier, il exprime ses pensées à la première personne du singulier. Personnage-narrateur. Identité précise? non. • Autres personnages: Aucun, le personnage est seul. mention de "jeunes filles" qui font référence à son passé, mais aucune mention de personnages

se comportent avec une politesse doucereuse : on l’« envoya prier », « tendrement ». Une fois encore on pourra noter le contre-emploi ironique de l’adverbe « sincèrement ». Le comble de l’ironie est atteint lorsque le père inquisiteur dit à son prisonnier : « qu’une autre fois il espérait que je serais plus à mon aise ». Cette innocence feinte ou réelle permet à Voltaire de mettre en place un décalage propice à la réflexion. Transition : L’ironie, installant un monde qui a la tête en bas, propose