Procédure Extraordinaire

FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES, POLITIQUES ET SOCIALES PROCEDURE PENALE (licence 3ème Année) (1er Semestre) Année Universitaire 2007/2008 Plan du cours de procédure pénale INTRODUCTION Définition de la procédure pénale Chapitre 1: Etat de la norme Section 1: Les sources de la procédure pénale I La loi et les règlements II Les règles non écrites A. Le Conseil

L1 droit UPB- Groupe n°6 Séance n°5 : Les effets du divorce. Cas pratique. Eléonore et Alain Fihdelle sont mariés depuis 20 ans. Ensemble ils ont eu quatre enfants âgés de 3 à 15 ans. Ils sont propriétaires d’une maison valant 400 000 euros. Eléonore, a choisi de ne pas travailler pour se consacrer entièrement à ses enfants ainsi qu’à l’entretien de son foyer. Alain, pour assurer le confort matériel de sa femme, a fait une donation de biens à venir portant sur l’ensemble des biens composant

prohibé par le mariage. On observe aussi des différences d’effets. Le Pacs engendre des effets essentiellement patrimoniaux (surtout dans la loi de 1999). Par ailleurs, la dissolution du mariage est beaucoup plus compliquée (il faut entamer une procédure de divorce ou une demande en nullité) que la dissolution du Pacs, qui peut se faire par déclaration conjointe des partenaires ou unilatéralement. Pour finir, les pacsés et les mariés n’ont pas les mêmes devoirs. Effectivement le Pacs n’oblige

anciens époux s’ils étaient tous les deux de bonnes fois ou de celui d’entre eux qui a été reconnu de bonne foi au moment de la célébration du mariage. Le mariage putatif produit les mêmes effets juridiques que s’il avait été dissout à la suite d’une procédure de divorce : article 197 et suivant du Code Civil. La bonne foi : c’est la croyance qu’à une personne de se trouver dans une situation conforme au droit et la conscience d’agir sans léser les droits d’autrui. La bonne foi se présume, c’est à celui

sur la personne de l’enfant se double d’une autorité sur les biens de celui ci (administration légale). 1-2. Dans la famille séparée Qu’il s’agisse d’un couple marié (séparation de fait, séparation légale : séparation de corps, ou au cours d’une procédure de divorce ou après le prononcé du jugement de divorce) ou d’un couple non marié (séparation de fait), le principe demeure le même : art. 373-2, C. civ., l’exercice de l’autorité parentale reste conjoint, la séparation des parents étant sans incidence

Mathilde lui a dit que ce n’était pas son enfant mais sur le coup il ne l’a pas cru. Puis, il a fini par la croire. Puis il ne l’a plus jms revu. Francoise Elle était au courant que Pierre la trompait mais n’avait pas eu le courage de finir la procédure de divorce qu elle avait entamée.

uniforme portant organisation des procédures collectives d’apurement des passifs. On peut déceler, à la lecture des dispositions de cet acte uniforme, une volonté de soumettre tous les créanciers à une discipline collective afin d’éviter l’anarchie des poursuites individuelles. Il ne suffit pas cependant d’opter pour une procédure collective pour régler tous les problèmes ; il faut aussi prendre parti sur la manière d’organiser la procédure. Faut-il organiser une procédure orientée vers le paiement des

fonction de chacun dans cette entente. 5 ans en cas de préparation à un délit puni d'au moins 5 ans de prison. 10 ans en cas de préparation d'un crime ou d'un délit puni d'au moins 10 ans de prison. En matière de procédure pénale, la loi du 9 mars 2004 qui a mis en place une procédure pénale dérogatoire pour la délinquance et la criminalité organisée est applicable à l'incrimination d'association de malfaiteurs. L'état et le législateur consacrent une grande importance à la lutte contre l'entente

au grès des contraintes procédurales imposées au justiciable dans un but de célérité de la justice, une réforme de la procédure du prononcé du jugement justifie la reformulation suivante: « donnez-moi les faits et le droit[1], je vous ferai parvenir mon jugement ». En effet le “cadeau de Noël” des procéduriers était en avance en 2004 par une réforme importante de la procédure civile apportée par le décret du 20 août 2004[2]. Ce dernier modifie plusieurs dispositions. Il connait d'abord, de l'annulation

dont l’objet est de permettre un accord entre un débiteur et ses créanciers, sous le regard du tribunal, mérite d’être encouragé dans un cadre contractuel. Il doit cependant être mieux défini et distinct de la procédure collective. [...] La possibilité d’ordonner, au cours de la procédure, la suspension provisoire des poursuites sera supprimée » Après analyse du problème, le ministère de la Justice dit : « la suspension provisoire des poursuites a été depuis très peu utilisée ; elle