Procédés Du Comique

COMIQUE, HUMOUR ET IRONIE L’humour et l’ironie sont tous deux des facettes du comique. Ce sont des regards faussement naïfs et ils se distinguent du comique vraiment involontaire causé par des « coquilles » et autres étourderies, qui lui aussi repose sur des propos équivoques ou contradictoires… On va analyser quelles sont leurs fonctions, leurs différences et leurs procédés ? IRONIE A l’origine , une attitude intellectuelle, celle de SOCRATE : action d’interroger en feignant l’ignorance

Ecole des femmes acte1 scène 4 Nous étudierons tout d'abord quel portrait Horace peint successivement d'Agnès puis d'Arnolphe. Nous analyserons ensuite le glissement de la scène du registre comique vers un registre plus sombre. [Le portrait d’Agnès par Horace] les titres entre crochets ne doivent pas apparaître dans votre devoir Le quiproquo sur lequel est fondé l’extrait apparaît lorsqu’ Horace révèle le nom de celle qu’il aime, Agnès, à son interlocuteur. Le quiproquo vient de

ouvrage sur le théâtre qui sera une référence au cours des siècles et surtout au XVII intitulé La Poétique. Aristophane : dramaturge comique grec contemporain d’Aristote Plaute : dramaturge comique latin, 300 environ avant JC, auteur de La Marmite qui inspirera fortement L’Avare de Molière par exemple. Terence : dramaturge comique latin, 200 environ avant JC Les Labdacides : (mythologie) : dynastie légendaire des rois de Thèbes, fondée par Labdacos et à laquelle

Dilek KAHRAMAN Littérature 1ER L/ES Sources du comique dans Gargantua Gargantua, est une œuvre de François Rabelais écrites en 1534. Rabelais sait se diversifier dans les différents procédés comiques qu’il utilise. Une œuvre drôle et satirique parodiant les diverses personnalités de l'époque, qu'elles soient politique ou religieuse. Rabelais les critiques de façon implicite

Lecture Analytique n°1 Extrait du Roman comique de Scarron Introduction et informations utiles pour l'entretien  Extrait du Roman Comique (histoire d'une troupe comique au XVIIème siècle) de Scarron. Extrait = épisode bouffon (se raproche de la farce) du pot de chambre.  Scarron = représentant du roman baroque et burlesque vient de l'italien burla = plaisanterie. Burlesque (sens large du XVIIème siècle) = sorte de comique s'opérant de 2 façons : - traiter un sujet noble dans un

tragique diff è re-t-il de la tragédie classique ? Quels points communs trouve-t-on avec le Caligula de Camus ? Quel rapport tragique et comique entre t i e nnent- ils dans le cadre de l’absurd e ? 3/ L’écriture de l’absurde Quels procédés dramaturgiques et stylistiques les oeuvres du théâtre de l’absurde emploient-elles le plus volontiers ? Quel e ffet ces procédés peuvent-ils produire sur le spectateur ? > Éléments de réponse 1/ Identification du théâtre de l’absurde Deux dramaturges s’imposent

Que la peste emporte cette viande pourrie).) On appelle ce procédé le comique de répétition . 7. Que reproche Martine à Sganarelle ?Elle lui reproche de refuser de s’occuper des enfants et de la maison, de boire et jouer tellement qu’il est en train de tous les ruiner.8. Aux l. 37, 45, 49, 61, les répliques de Sganarelle sont-elles de bonne foi ? Qu’est-ce qui les rend drôles ? Comment appelle-t-on ce procédé ? Sganarelle est de mauvaise foi : il prend les

apparent intermède comique reflète-t-il un nouvel aspect de la psychologie de Dom Juan ? Introduction : 1. Ouverture : XVII siècle : bouleversement social amorcé. Noblesse traditionnelle supplantée par l’ascension sociale des bourgeois. Volonté de Molière de la montrer dans cette scène. 2. Présentation : D.J ébranlé par l’apparition de la Statue du Commandeur. Réception de Mr Dimanche => un bon moyen de montrer qu’il peut toujours dominer autrui. Scène bouffonne, comique simple mais efficace

Exposé sur le comique dans Bouvard et Pécuchet (27/04/2010) Introduction générale Des productions littéraires de Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet est l’une des œuvres majeures. Publiée en 1881 à titre posthume, l’œuvre a bien étonné critiques et amateurs. L’auteur avait d’ailleurs prévu un tel accueil à travers une correspondance à l’un de ses amis, Auguste Sabatier en ces termes : « (…) je n’écris pas un roman populaire. Si trois cents personnes en Europe lisent mon œuvre et en entrevoient

indifférent, et ne se soucie que de son cher Tartuffe. Forme Le comique repose ici sur deux procédés radicalement différents : la monomanie hébétée d’Orgon, qui ne pense qu’à son saint homme, et l’ironie caustique de Dorine, qui reflète et exprime celle de Molière. Annonce du plan Dans un premier temps, nous verrons comment la scène évolue selon un crescendo, commençant d’une manière apparemment neutre et finissant par une apothéose comique. Puis nous étudierons comment Molière, par l'intermédiaire