Procédés Du Comique

cette pièce est tragique ou comique, il est nécessaire de définir ces deux termes. Par le tragique, l’auteur cherche à rendre le sentiment de l’homme qui prend conscience que des forces le dominent, et, le cas échéant, l’écrasent malgré la résistance qu’il leur oppose. La comédie, quant à elle, est destinée à provoquer le rire. Elle est caractérisée par trois traits principaux : elle souligne des défauts humains, emploie des procédés comiques variés, tels que le comique de gestes, de mots, de situation

L 'exposition : Acte I, scènes 1 et 2 L'entrée d'Harpagon : Acte I, scène 3 Le conflit Euclion et Strobile, Acte IV, scène 5; La Marmite, Plaute (étude comparative) Les scènes de conflits : Actes I, 3 et 4 ; II,2 ; III, 2 ; IV,3 et 5 (extraits) Les procédés pour faire rire : Actes I, 3 et 4 ; II, 1 et 5 ; III, 1et 5 (extraits) Le monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes 5 et

Française, Gorgio Barberio Corsetti a choisi de mettre en scène tant le coté tragique que le côté comique de la pièce. Car comme l’écrit Robert Abirached au sein de la préface qui accompagne le texte théâtral ;  « C’est l’errance aveugle qui fait la tragédie et le vagabondage désordonné qui appelle le rire ». La prise de partie de Corsetti est donc de donner à voir la pièce dans tous ses aspects, autant comique que tragique dans un univers inquiétant, « un ailleurs poétique et troublant entre réel et illusion »

le comique de gestes : M.Jourdain qui essaye de dire/de prononcer les lettres comme lui propose le Maitre de Philosophie. Il exagere sur la prononciation le comique de caractère : M.Jourdain qui veut se faire passer pour quelqu'un qu'il n'est pas (il se prends pour quelqu'un de plus noble qu'il ne l'est) le comique de situation : M.Jourdain decouvre les lettres et pense qu'il s'agit d'une science (« A, ,E, I, I, I. Cela est vrai. Vive la science ! ») le comique de mots : La repetition des voyelles

comédie et la tragédie, ce qu'on retrouve dans l'expression "jouer la comédie", - le registre comique destiné à produire le rire, mais qui n'est pas réservé à la seule comédie : il peut y avoir des romans comiques par ex. - l'adéquation entre les deux : ainsi toute comédie n'est pas forcément comique, par ex. la comédie larmoyante, la comédie absurde, la comédie de moeurs... Elle n'est pas forcément comique tout le temps comme Dom Juan… - donc il te faut définir ce qu'est une comédie : choix des

Les formes du comique dans Le Cousin Pons (1) ENEAD - Université Sorbonne nouvelle Année 2020-2021 Master 2 Langue et littérature française Mme NOM : Malo (de Vincens de Causans) Prénom : Juliette N° d’étudiant : 2200609 Adresse : 9 rue du château Code postal : 08300 Ville : Thugny-Trugny Pays : France N° de téléphone : 0667237839 Mail : juliettedecausans@gmail.com Master 2 Code et intitulé du module : 2021/2022

Formes du comique I-Deux procédés comiques en regard : le burlesque et l’héroï-comique. Burlesque et héroï-comique reposent sur le décalage entre l’objet décrit et le niveau de langue choisi. 1- Burlesque : L’adjectif « burlesque » (du latin burla, plaisanterie) désigne un comique outré. Sous sa forme substantivée, il désigne un style très prisé au XVII° siècle qui traitait un sujet noble de manière familière. Ex : - Scarron, pour évoquer la princesse carthaginoise Didon, amante d’Enée

représente l'enfance, l'insouciance et le bonheur. Un univers parfait comme celui-ci donne une impression de bonheur à l'ouvrage. Certaines oeuvres littéraires utilisent des procédés comiques. Ces oeuvres utilisent des procédés comme le quiproquo, le comique de geste ou encore les jeux sur les mots. Molière utilisa ces procédés dans beaucoup de ces oeuvres, notamment dans Les fourberies de Scapin, paru en 1671. Cette pièce raconte l'histoire de Scapin, dont le maitre, Léandre est tombé amoureux de

dénouement. • Une attention portée aux jeux de scènes comiques. • Elle se donne pour but de divertir par le ridicule de la société, et de dénoncer les vices et corriger les mœur. -La comédie d’intrigue: l’auteur s’occupe surtout d’intéresser et d’amuser le public par une action fortement intriguée et par la multiplicité et la variété des incidents. Cette comédie repose sur : • Un très grand nombre de péripéties et de rebondissements. • L’utilisation de procédés romanesques. • Le recours { la théâtralité, c’est-à-dire

1 Les ressources de la comédie Les procédés qui provoquent le rire des spectateurs sont très variés, mais on peut les ramener à quatre types, généralementprésents dans tous les sous-genres de la comédie. Le comique de gestes est essentiellement lié à la mise en scène et au jeu des comédiens. Gifles, coups de bâtons, chutes, mouvements désordonnés se multiplient dans la farce, mais on les trouve aussi dans les comédies dites sérieuses. Le comique de mots exploite les jeux de mots, les répétitions