Production audiovisuelle

développer la position de Sonasid sur le marché marocain et lui faire bénéficier du transfert de technologies et de compétences d’Arcelor. Une alliance stratégique pour Sonasid qui s’adosse à un grand opérateur européen ayant l’ambition de renforcer la production de l’entreprise. Quelques mois plus tard, en juin 2006 le rapprochement entre Arcelor et Mittal Steel donne naissance au n°1 de l’acier : le Groupe ArcelorMittal. (1) Ainsi, depuis sa création, SONASID soutient le développement d’une industrie

1. Les cycles et crises économiques 1.1. Les phases d’un cycle Crises et fluctuations Production Expansion Crise Dépression Tendance - Avant la révolution industrielle les crises économiques étaient d’origine agricole De mauvaises récoltes (sousproduction) augmentations de prix des biens alimentaires. La crise se propageait aux autres secteurs. - Ensuite les crises ont eu des caractéristiques inverses, elles sont devenues des crises de surproduction accompagnées de ralentissement Reprise

contrôle de Gestion clientèle sur la mercatique. 1. Mercatique : ensemble des actions et des moyens mis en œuvre par une entreprise pour créer, susciter, renouveler les BESOINS du client, et ainsi adapter sa production. Par conséquent, penser mercatique c’est penser CLIENT avant de penser PRODUCTION. Le client est au centre des préoccupations de l’entreprise. 2. La phrase d’H. Ford montre qu’en fait le client n’a pas de choix possible. A cette époque, le client n’es pas au centre des préoccupations

LA CONTREFACON Dans nos sociétés développées, les échanges commerciaux se sont multipliés. Bien que la loi encadre ces échanges, la contrefaçon est un fléau en grande évolution. Une question se pose : Quels sont les risques de la contrefaçon pour les entreprises et les acheteurs ? La première partie de mon objet d’étude est de définir la contrefaçon et de citer quelques exemples de produits contrefaits. La seconde est d’indiquer les risques pour les entreprises, et la dernière partie

des charges) o Les capitaux propres (capital social + apport successifs + bénéfice cumulés placés non distribués) • Critère économique o La richesse produite dans et par l’organisation elle est évaluée par la valeur ajouté et PIB (valeur production – cout consommation intermédiaire pour produire) • Critère social o L’effectif (nombre de salarié cid-cdd)  0 à 9 salariés = très petite ets  1 à 19 salariés = petite ets PME 99 %  20 à 249 = moyenne  250 à + = grandes 1 %

chez le concurrent. I) Définition du concept A) Les notions de Mercatique Mercatique : c’est l’ensemble d’actions qui a pour objectifs : - Prévoir et constater les besoins de consommation : cela implique des études de marchés préalable à la production - Stimuler et renouveler les besoins : cela implique les actions de la consommation - Réaliser l’adaptation de l’appareil productif : produire en fonction des besoins détectés au marché - Réaliser l’adaptation de l’appareil commercial aux besoins

autant que nous de cette terre et qui contribuent à son bon fonctionnement, tout en nourrissant les hommes de manière simple et non superficielle. Le terme « bio » désigne un produit ou une denrée issue de l'agriculture biologique. Le mode de production agricole est naturel, et n'utilise aucun produit chimique de synthèse, comme les pesticides, herbicides chimiques, fertilisants artificiels ou les hormones de croissance. On utilise des matières organiques naturelles recyclées et le principe de

de l’entreprise est de faire du chiffre à tout prix. Il s’agit d’organiser la production et de faire le maximum de profit sans tenir compte de la pollution et de ses effets sur les différents partenaires. b) L’entreprise à des finalités multiples Cependant on peut considérer que l’entreprise à une finalité qui ne peut pas se réduire à la maximisation du profit. Elle pourra également se décliner en termes de production ou bien de services offerts à la clientèle. Pour de nombreux économistes l’entreprise

1) La crise financière a produit une forte baisse de la demande, les constructeurs automobiles ont donc réduit leur capacité de production de 2008 à 2009. Quand l'offre est plus forte que la demande, généralement, les prix chute. Afin de protéger leurs marges, les constructeurs diminuent leur production de véhicule ce qui permet de ne pas avoir un excès d'automobile invendable qui aurait mis en baisse les prix. 2) La vente de véhicules chute de 38% en 2009 et de 24% en 2010. Ceci s’explique

profite de l'effet d'expérience. o L'idée est que plus le DAS a une part de marché élevée, plus il va vendre, donc produire en plus grande quantité, ce qui lui permettra d'abaisser son coût de production (économies d'échelle). Dans cette logique, la rentabilité est directement corrélée au volume de production. • Chaque activité va connaître un résultat financier déduit des deux relations précédentes. o Ainsi si un DAS est arrivé à maturité et qu'il dispose d'une part de marché élevée, ses bénéfices