Productivisme

l'idéologie communiste[2] et considèrent que ces États n'étaient pas communistes ; pour eux, le communisme reste un projet de société qui n'a pas encore été réalisé. Ils mettent ces crimes et désastres écologiques sur le fait du totalitarisme, du productivisme ou bien encore pour une partie d'entre eux sur le stalinisme et ses dérivés.

psychopathologique et par le découragement. Et c'est donc bien le sens du travail qu'il faut réinterroger aujourd'hui (...) PLAN Introduction I) Techniques managériales et idéologie capitaliste : Quand le travail libérateur se fait aliénateur A. Un « productivisme moderne » qui ne prend pas assez en compte la dimension humaine B. Evaluation et performance : Quand « trop de gestion, tue la gestion » C. Une individualisation grandissante qui déshumanise les organisations II) Une évolution préoccupante

nous voulons demain un gouvernement qui combattra le diktat financier des banques et des marchés.” 3éme photo: “Le capitalisme nous conduit à une catastrophe écologique planétaire. Nous n'avons pas de planète de rechange. Face à la tyrannie du productivisme, nous enclencherons la transition écologique de l'économie.”         4éme photo: “Ce nouveau mode de développement, respectueux des hommes comme de l'environnement, constituera un puissant moteur de relance industrielle, d'emplois et d'innovation

certaines agricultures vivrières et a accentué les famines locales. • Elle a développé la commercialisation des semences transgéniques avec tous les problèmes sanitaires qui en résultent. • Elle a favorisé par la diffusion d’un esprit de productivisme les crises récentes dans l’agro alimentaire (vaches folles) • Elle a fait reculer sensiblement les grandes famines mondiales (sans pour autant régler tous les problèmes régionaux) • Elle a créé une forte interdépendance politique et

(traité de Rome) : soutient agris financièrement +politiques nationales => +de rendements =>autosuffisance alimentaire (atteinte 1980). PRODUCTIVISME. → surprod (70s) dc pols de quotas (lait) & remplace surprod / nvl prod (vignes arrachées) → 75% du budget euro (60s) → 60% (80s). Réforme (92) → aides direct agris pr export. → crise productivisme (90s) : vache folle. PAC chère => réforme → baisse PAC ds budget → exclusion pays euro de l’est pr 10 ans de la PAC. B. L’UE dans le

Michel Peyret 28 août 2010 DE ANDRE GORZ A L'ECOSOCIALISME Ici, il sera question d'écologie politique. Allons immédiatement à un questionnement essentiel: l'écologie est-elle soluble dans le productivisme et le capitalisme? Pour André Gorz, la réponse ne fait aucun doute: l'écologie politique doit être ancrée dans la critique du mode de production capitaliste et de l'aliénation dans le travail, et loin de légitimer l'accroissement du pouvoir des experts, elle doit au contraire viser la

Recherche qualité) * Un modèle repris par les pays d’Asie (Dragons et Tigres) II – Les aléas de la conjoncture 1- Une nature hostile Le tremblement de terre de Kobe (1995) révélateur d’une crise politique et économique : - Désordres liés au productivisme à tout craint - Crise sociale et politique : la corruption à l’origine de vices de construction pour non respect des normes antisismiques. 2- Une économie trop fortement dépendante des succès de son commerce extérieur Au cœur de la réussite

consensus pfond entre les Français => nouvelle association d'idées : autorité, démocratie, gloire nationale. Projet bonapartiste fondé sur un retour à l'ordre => développement rapide de la France + prospérité. → s'inscrit dans la tradition d'un productivisme économique (J-B Say + saint-simoniens) : révolution / contre-révolution = produit du « sous-développement » ==> seule croissance + emplois nouveaux + prospérité = capables de faire reculer la « révolution » Les assises sociales du bonapartisme→

critique de l'agriculture productiviste. Il met notamment en avant les dégâts écologiques du productivisme, notamment à travers certaines pratiques telles que la culture du maïs ou les élevages hors-sol. Il souligne aussi que ce système économique pénalise avant tout les agriculteurs, mono-actifs, donc dépendants de leurs fournisseurs, et poussés à un endettement très fort. Il démontre aussi que le productivisme a fait perdre à l'Europe son indépendance alimentaire, contrairement aux idées reçues. Le

L’enjeu de la préservation de ces ressources doit être ressenti dans la formulation des politiques économiques contre tenu de l’impact important sur la croissance économique et le développement. Le débat se pose aujourd’hui dans un contexte de productivisme en outrance de consommation à grande échelle de surconsommation et même de gaspillage de ressource, de la dégradation des ressources, de la pollution, de l’explosion urbaine, l’industrialisation, les changements climatiques. Les politiques économiques