Produit manufacturé

voit promue au rang de capitale de la Lorraine. C’est dans ce contexte économique favorable qu’en 1877 Émile prend officiellement la direction des différents ateliers de travail du verre et de la céramique mis en place par son père dans diverses manufactures de la région. Il continue à travailler au sein de ces structures, mais dans un souci d’indépendance et de regroupement de l’ensemble de son activité, il crée à Nancy même, en 1885, ses propres ateliers d’ébénisterie puis, en 1894, sa cristallerie

exclusivement agricole. Les usines, au sens moderne, sont encore inexistantes. Cependant, certaines formes d’organisations annoncent la RI : par exemple, des marchands fournissent des paysans en outils et parfois en matières premières, puis récupèrent le produit fini pour le vendre en ville. Ainsi, les paysans recevaient eux aussi un complément de revenu. En réalité, c’est grâce à cette économie en germe que beaucoup d’innovations dans la production agricole permettront à la production textile de se transformer

déterminante : filature (Cartier-Bresson), verrerie (Cristallerie de Pantin), matériel roulant, chaudronnerie. Entreprises spécialisées dans le traitement des résidus animaux : Bourjois, Salomon, la savonnerie Ardot. Pantin devient un lieu de stockage de produits. Affectation de « grenier » de Paris renforcée par l’implantation, en 1880, d’un premier moulin à farine sur l’emplacement des Grands Moulins de Pantin. Une seconde phase se caractérise par l’implantation de grandes entreprises de métallurgie et

LIP, créateur d'un marché à très forte concurrence, la montre à Quartz. LIP, est une société horlogère fondée en 1867 par Emmanuel Lipmann. Petite entreprise de 15 personnes en Franche-Comté, elle s'est transformée en une des plus puissantes manufactures de l'industrie française. Elle devient une société anonyme en 1931, mais les directeurs restent ceux de la famille Lipmann : James, Fred et Lionel. Cependant, leurs parents sont déportés en 1943 à Auschwitz, et n'en reviendront pas. James et Lionel

VIVARTE NOTRE ACTIVITE Sur le secteur de la vente de chaussures et de vêtements, Vivarte est le leader incontesté en France. Tout au long de son histoire, le Groupe a su allier savoir-faire, produits de qualité et innovation. Vivarte : la mode accessible à tous Acteur incontournable du marché français de l’équipement de la personne (avec 4 500 points de vente), Vivarte propose une offre variée et accessible, capable de satisfaire tous les goûts. En centre-ville comme en périphérie

travail le plus simple, des ateliers urbains avec des artisans pour les tâches les plus complexes. Ainsi une vraie complémentarité se crée entre les campagnes et les villes. Le fabricant fournit la matière 1ère, puis les ateliers réalisent le produit qui est ensuite revendu aux négociants. L’artisanat urbain est regroupés sous formes de métiers ou de corporations (Jurandes) : Elles ont pour fonction de défendre leur membres contre la misère Elles ont un privilèges sur le marché

travail, son salaire est crédité à sa banque… jusqu’à la société de pompe funèbres. Les organisations nous devenues indispensables en même temps qu’elles nous tourmentent (souffrir). En tant que salarié, qu’usager d’un service ou encore client d’un produit, on risque de se trouver dans une situation désagréable. Il y a un siècle, les organisations étaient encore beaucoup moins nombreuses, beaucoup moins grosses. Elles ne satisfaisaient pas autant nos envies mais elles nous faisaient moins souffrir,

riche, c'est un port de commerce. Les philosophes à l'époque se mêlaient de tout. Platon a écrit sur le travail. Productivité par salarié = production / nb de salariés pas seulement la quantité mais aussi le coût → efficacité « De là qu'on produit toutes choses en plus grand nb mieux et + facilement lorsque chacun, selon ses aptitudes et dans le temps convenable, se livre à un seul travail, étant dispensé de tous les autres. » (La République) Un agriculteur doit faire un choix : Soit :

sera faite visite exacte de tous les vaisseaux qui partiront de Marseille et autres ports de Provence et de Languedoc. » Colbert ne veut pas que ce commerce du Levant se fasse tout en argent ; plutôt fallait-il « obliger de le faire partie en manufactures du royaume et partie en argent » et même « pour y porter [les commerçants], confisquer quelquesfois partie de cet argent, d'autant que ce commerce est préjudiciable au royaume lorsqu'il se fait tout en argent. » En NouvelleFrance on essaya de réprimer

plusieurs conditions. * D’abord il faut qu’il y ait eu un achat à titre onéreux. Cette première condition permet de considérer que l’agriculteur qui vend sa production ne fait pas un acte de commerce car il n’y a pas eu d’achat. Il a lui même produit les pommes par ex, il ne les a pas achetées. De plus si il y a eu donation ce n’est pas un acte à titre onéreux donc si il le revend, ce n’est pas un acte de commerce. * Ensuite, il faut que le bien acquis et revendu soit un meuble. Peu importe