Professeur agrégé de l'enseignement du second degré français

restreinte des « grands » économistes du passé, qui ont selon nous marqué l’évolution de la discipline en donnant une identité (et parfois leur nom) aux diverses approches : l’Anglais David Ricardo (école classique) ; l’Allemand Karl Marx (marxisme) ; le Français Léon Walras et l’Anglais Alfred Marshall (marginalisme) ; l’Autrichien Joseph Schumpeter (école autrichienne) ; l’Anglais John Maynard Keynes (keynésianisme). On doit y ajouter le fondateur reconnu de la discipline elle-même, l’Écossais Adam Smith

diffusée chez les jeunes, cependant le travail domestique est encore repartie de façon très inégalitaire. Il ne faut pas exagérer cette inégalité car certaines taches domestique sont prises e, charge par les hommes dans la grande majorité des couples français, il s’agit du déplacements du charbon, du bois et de l’entretien de la voiture 2nde raison : les hommes s’impliquent ed plus en plus dans des taches qui autrefois étaient exclusivement féminine , i y a une bonne volonté masculine, les hommes font

Elle reflète désormais une multitude de traditions qui sont parfois complémentaires et parfois opposées. A- Traditions juridiques divergentes: Il y a 2 influences juridiques majeures: la première est la philosophie analytique du droit et la seconde est le réalisme juridique. La philosophie analytique du droit: C'est une tradition qui pense que le droit peut être envisagé comme une science et abordée avec les outils de la science. On trouve la des approches fondalistes du droit. De ce

une institution inconnue. Pourquoi fait-on davantage confiance à la méthode proposée par un chercheur de Harvard qu’à une méthode proposée par un inconnu ? C’est certainement parce que dans le premier cas on pense que la méthode proposée par le Professeur de Harvard se base sur des principes pertinents et reconnus, alors que l’on peut émettre des doutes sur ce que nous raconte l’inconnu. On en arrive ici à la différence entre recherche scientifique et recherche non scientifique. La différence

pour être réunies dans ces actes publiés, grâce au concours du Groupe ESSEC, sont le fruit du travail du Comité Scientifique. Les membres du Comité Scientifique composé d’universitaires et de professionnels algériens, belges, canadiens, espagnols, français, italiens, libanais, marocains, sénégalais, syriens et tunisiens ont relu et évalué les contributions soumises. Chaque papier a été évalué par trois personnes. Les membres du comité scientifique ont également évalué les modifications légères ou lourdes

vise notamment à constituer une documentation et regroupe en particulier, au sein de la bibliothèque "Paul Harris", les ouvrages, articles, chartes ou codes, publiés dans le domaine de l'éthique et de la déontologie. Il veut également promouvoir l'enseignement dans ces domaines et encourager la recherche sur ces sujets ; dans cet esprit, il attribue notamment chaque année, avec l'appui du Rotary Club International, un prix récompensant une réflexion dans le domaine de l'éthique des affaires. Il sert

__________________________________________________________________ 17JUIN 2009 __________________________________________________________________ CompositionduJury: M meBARRERE Anne,Professeur,UniversitéParisDescartes,Rapporteur M .BODIN Domi ni que,Professeur,Université Haute Bretagne Rennes II, Rapporteur M .BRASSART DominiqueGuy,Professeur,UniversitéLilleIII M . DEM AZIERE Didier, Directeur de Recherche au CNRS, Université VersaillesSaintQuentin-en-Yvelines M .NUYTENS W illiams,M aîtredeconférences,HDR,Universitéd’Artois

théoriques : Boudon, Crozier, Bourdieu et Touraine. Chapitre 1 : Raymond Boudon et l’individualisme méthodologique. Raymond Boudon est né en 1934. Agrégé de philosophie, il consacre sa thèse de doctorat à l’analyse mathématique des faits sociaux où il défend une sociologie d’observation basée sur des enquêtes, des sondages et des statistiques. Devenu professeur à la Sorbonne, il va s’attacher à défendre une certaine conception de la sociologie et développer un programme de recherche en épistémologie des

préférable de les classer entre les différentes catégories précitées : efficacité socio-économique, qualité de service, efficience de la gestion. a) Les indicateurs d’efficacité socio-économique ou d’intérêt général Il s’agit d’indicateurs mesurant le degré d’atteinte d’un objectif d’intérêt général. Ces indicateurs, aussi intéressants soient-ils, peuvent souvent se heurter à un problème d’imputation : l’action publique et, plus précisément, celle des services placés sous l’autorité du responsable de

bien qu'il s'agisse de concepts proches. Le produit désigne le résultat d'une activité économique dès lors qu'elle a été réalisée à partir d'un travail rémunéré. Il se peut que ce produit ne soit pas vendu ensuite : c'est le cas, par exemple, de l'enseignement public, qui est un produit (les enseignants sont payés pour effectuer leur travail) financé par l'impôt, et non par une vente. Au contraire, la production débouche toujours sur une vente, et c'est le montant de cette vente qui permet de déterminer