Profit économique

sols infertiles. Le colonialisme a fait rapidement évoluer les peuples colonisés et cela a permis à ces peuples de s’ouvrir au monde extérieur. La relation était donc fructueuse pour le développement économique. Mais il ne faut pas oublier que les Européens étaient à la recherche de profits et ils se comportaient comme des maîtres, des supérieurs. Leur but était de ramener le plus de richesses pour leur nation d’abord, et de subvenir aux besoins de la population ensuite. Les colons affirment

Smith, les « lois » du marché, associées au caractère égoïste des agents économiques, conduiraient à un résultat inattendu : l’harmonie sociale. La confrontation des intérêts individuels mène naturellement à la concurrence, et cette dernière amène les individus à produire ce dont la société a besoin. En effet la forte demande provoque l’envolée des prix, cette dernière amène donc naturellement les producteurs avides de profits à produire le bien recherché. L’égoïsme d’un individu seul est nuisible

techniques, culturels, socioéconomiques, écologiques…dans notre société. L’entreprise est généralement définie comme une unité de production (combinaison de travail et de capital), une organisation composée d’individus et un système finalisé (maximiser un profit). La notion d’éthique est plus difficile à définir, à fortiori, celle d’éthique d’entreprise. L’éthique d’entreprise fait référence à des règles universelles relatives aux mœurs, à des valeurs liées au bien et au mal. Quelles sont les caractéristiques

augmente mais à un taux de plus en plus faible. Donc c'est une fonction croissante à un taux décroissant. Une entreprise arrêtera d'embaucher au moment ou le profit sera nul, donc au moment où la dérivée sera nulle. Profit = CA – coût = p*Y – w*N Profit = p.f(N) – w*N P' = p.f'(N) – w = 0 p.f'(N) = w f'(N) = w / p La condition d'un profit maximum est l'égalité de la productivité marginale du travail (f'(N)) et du taux de salaire réel (w / p). Donc les entreprises ne peuvent continuer à employer

deux ans à Genève au sein de la Commission Économique pour l’Europe, il fut nommé fellow puis professeur au King’s College à Cambridge. Il mourut en 1986. Kaldor était passionné par les problèmes pratiques de la politique économique. Il fut conseiller spécial du Chancelier de l’échiquier de 1964 à 1968 puis de 1974 à 1976. Bien qu’il fut partisan de l’économie de marché, il soutenait qu’une intervention de l’état est nécessaire pour rendre le système économique plus efficace et plus équitable. Kaldor

CHAP I. La pensée économique Historiquement les idées d’économie sont d’abord apparues comme liées à la philosophie, à la religion et à la politique. Platon et Aristote, deux philosophes liés à la religion. Le catholicisme prône la notion de partage, l’inspiration est derrière. La politique inspire l’économie, Antoine de montchrétien à écrit une lettre au roi pour faire notion du oicos nomos politicos pour lui dire la manière de diriger la cité. Puis la pensée économique est devenue autonome

désintermédiation (globalisation financière) dérèglementation de l’économie (l’état se retire) décloisonnement des marchés (mondialisation) II/ Les déterminants de l’investissement 1) L’importance du profit et des taux d’intérêts profit mis en réserve permet l’autofinancement le profit déjà réalisé facilite le recours au financement externe (externe indirect : rassure le préteur) (externe direct : actionnaires assurés avoir dividende) remarque : on parle aussi de niveau d’endettement

Libéralisme L’optique libérale : laisser faire ➢ Le système économique du XIXe siècle est le capitalisme. Il est fondé sur la propriété privée des moyens de production et sur l’industrialisation. ➢ Le capitalisme accroît donc les inégalités entre la bourgeoisie d’affaires et les ouvriers ou les petits paysans. ➢ L’industrialisation exige, au départ, beaucoup d’investissement. Les profits sont en priorité utilisés à acheter des machines et à construire de nouvelles usines. Dès

travail" désigne la répartition des activités de production entre différentes entités spécialisées dans des domaines complémentaires. Gain à l’échange : Le gain de l'échange est généré par une ré -allocation des ressources permettant à chaque nagent économique de valoriser au mieux ses facteurs et ses ressources, en fonction des prix de référence. Production marchande et non marchande : La production correspond à l'activité de création de biens et services destinés à satisfaire les besoins

façon la plus performante. Joseph Schumpeter (économiste autrichien) a montré que l'entrepreneur est au centre du développement économique car il est celui qui prend des risques pour innover et donc pour créer de nouvelles opportunités sur le marché. Les innovations engendrent une destruction créatrice qui est à l'origine du dynamisme industriel et de la croissance économique. De plus, il doit avoir certaines qualités, il doit être motivé, persévérant, indépendant, créatif, travailleur, … la création