Profit Et Valeur Ajoutée

L r o R fi s Dr Pr su et Ré la su De la t en m re 1984 1986 1987 1990 2004 2005 2006 2007 200? Train de la Réforme Fiscale 15 octobre 2008 PROGRAMME IMPOT SUR LES SOCIETES  IMPOT SUR LE REVENU  TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE  DROITS D’ENREGISTREMENT  IMPÔT DES PATENTES  TAXE URBAINE  TAXE D’EDILITE  IS 15 octobre 2008 IR TVA DE Patente TU-TE STRUCTURE Personnes assujetties/Champ d’application  Base imposable  Calcul de l’impôt  Paiement

répartissent les revenus primaires ? Revenu primaire, valeur ajoutée : composition et évolution La valeur ajoutée : Elle mesure la création de richesses dont elle est responsable. On l’obtient en déduisant de son CA(HT) l’ensemble des achats de biens ou de services qu’elle a dû effectuer pour fonctionner. Ces achats vont des matières premières aux produits semi-finis, en passant par les factures d’électricité ou d’assurance. La valeur ajoutée est appelée « brute » parce qu’elle est calculée avant

I. les modalités du partage de la valeur ajoutée a) les bénéficiaires du partage de la valeur ajoutée Les ménages qui sont rémunérés par les facteurs de productions : travail et capital. Ils possèdent des revenues du travail tel que le salaire et des revenues du capital tel que les intérêts, dividendes. Les administration publiques qui réalisent des prélèvements obligatoires ( impôts, cotisations sociales ). L'Etat et les organismes sociaux assurent le

Dans quelle mesure la demande est-elle un déterminant de l’investissement ? Les préoccupations actuelles des entreprises sont plus que jamais d’investir, afin de voir augmenter leurs profits. Qu’est-ce que l’investissement ? L'investissement est l'action d'investir, c'est-à-dire d'acquérir de nouveaux moyens de production, d'améliorer leur rendement ou de placer des capitaux dans une activité économique, dans une entreprise, etc.. La demande c’est-à-dire la quantité d’un produit ou service qui

qui produisent des biens et services destinés à être vendus sur un marché, et utilisant des facteurs de production s'échangeant sur un marché. L’objectif d’un entreprise est lucratif : les entreprises sont destinées à réaliser des bénéfices ou des profits. Ces entreprises peuvent être publiques (contrôlées par l'Etat ou par une administration, dans le cas d’une nationalisation, d’un monopole historique ou d’une mission de service public) ou privées (non contrôlées par l'Etat ou par une administration)

législation et la réglementation en vigueur, portant sur les titres suivants : • les valeurs mobilières inscrites à la cote de la Bourse des valeurs, telles que visées à l’article 2 du dahir portant loi n° 1-93-211 du 4 rabii II 1414 (21 septembre 1993) précité ; • les titres de créances négociables définis par la loi n° 35-94 relative à certains titres de créances négociables ; • les valeurs émises par le Trésor ; - des opérations de cession d’actifs immobilisés réalisées

hors taxe sur la valeur ajoutée. Ainsi, les sociétés exportatrices existantes au 1er janvier 2011 et qui n’ont pas encore épuisé la période quinquennale d’exonération continuent à bénéficier de cette exonération jusqu’à l’expiration de la durée de cinq (5) ans et peuvent être imposées au taux de 15% par la suite. De même, les sociétés qui ont épuisé la période quinquennale d’exonération bénéficient du taux réduit de 15% au-delà de la période précitée. 2- Taxe sur la Valeur Ajoutée • Exonération

un revenu donné. Valeur ajoutée : Valeur qu’une entreprise ou une administration ajoute aux biens et services qu’elle a consommée pour produire. Différence entre la valeur de la production et celle des consommations intermédiaires. La valeur ajoutée mesure la contribution propre de l’entreprise à la production du pays. Valeur nominale : valeur inscrite sur une monnaie ou un effet de commerce, correspondant à la valeur théorique mais pas nécessairement à la valeur réelle. Valeur réelle : Mesure de

conceptuels Valeur ajoutée Elle est généralement définie comme le supplément de valeur (marchande) que l'activité d'une entreprise donnée apporte à une marchandise qu'elle transforme. Si, à titre illustratif, le coiffeur, à partir d'une paire de ciseaux, d'un sèche-cheveux, de quelques lotions et de son savoir-faire, peut faire payer 300 dh à un client une prestation de service qui a nécessité pour 20 dh d'achats, il crée une valeur ajoutée de 280 dh. C'est cette création de valeur ajoutée qui justifie

ci-dessous afin de périodiser en 4 phases l’évolution du partage de la VA en France pour les entreprises. (1 point) Part des Part des Périodes Explications salaires(*) profits (**) 1949Forte croissance du PIB qui permet de soutenir les profits et de redistribuer une part élevée de la richesse créée sous forme de salaires. Salaires et profits croissent à un rythme élevé similaire, le partage de la VA est stable. -1983 1983La pression de la concurrence internationale du fait de l’ouverture croissante