Programme De Boulanger 1889

lendemain). Leur chef est Thiers. Il impose l'idée de soutenir un candidat : Louis Napoléon Bonaparte. Certains journaux soutiennent ce candidat. Le meilleur soutien de Louis Napoléon Bonaparte est le prestige de son nom, qui évoque l'empereur. Son programme est général. Il défend l'amnistie. Le scrutin a vu la victoire écrasante de Louis Napoléon Bonaparte. Il recueille plus de 5,5 millions de voix. Cavaignac arrive 2ème de l'élection. Le 20 décembre 1848, Cavaignac, candidat vaincu, remet ses pouvoirs

l’inquiétude suscitée par ses projets. Mais Jules Ferry, ministre de l’Instruction publique dès 1879, deux fois Président du Conseil, met en œuvre la réforme de l’enseignement afin de mieux diffuser l’instruction publique, conformément aux principes du programme républicain de Belleville de 1869 : gratuité de l’enseignement primaire public, école obligatoire, laïcisation du personnel enseignant. Certaines mesures visent à une sécularisation de la société : fin du repos dominical obligatoire, légalisation

monarchistes désireux de renverser la République se rallient autour du général Boulanger. Celui-ci se présente aux élections présidentielles de 1888 avec pour programme la revanche sur l’Allemagne et l’avènement d’une nouvelle politique sociale et est élu. Cette élection ne plaît aux républicains qui décident de réagir. C’est ainsi que le ministre de l’Intérieur Constans pousse Boulanger à la fuite. Aux élections de 1889, les républicains reprennent la majorité avec 366 républicains contre 210 conservateurs

même idéal les regroupe, ainsi qu’un programme. Des mesures sont envisagées pour modifier la société : mesures symboliques : drapeau rouge, retour au calendrier révolutionnaire. On a aussi des mesures concrètes dans le but de changer la société : abolition de la conscription ; séparation de l’Eglise et de l’Etat (qui montre une tendance anti-cléricale forte) ; un certain nombre de mesures sociales comme l’interdiction du travail de nuit (surtout pour les boulangers) ; l’instruction laïque, gratuite

anti-parlementaires.    1. La crise boulangiste Boulanger est un général qui vers 1888 va devenir ministre de la guerre, il est très populaire car il améliore la vie des soldats et promet la revanche dans ces discours. Le programme politique : il veut que le président soit élu par le peuple, diminué le pouvoir législatif, en faveur du référendum. L’issu du mouvement : en 1889, les boulangistes gagne les élections municipales. Malgré la pression de ces partisans, Boulanger refuse de prendre le pouvoir par la

prix, en 1858, l'année de l'arrestation de son père, il est ovationné par les assistants [8]. A partir de 1883, Clemenceau sera un membre-fondateur actif de l'Association des anciens élèves du lycée de Nantes (section parisienne) où il rencontrera Boulanger[9], son condisciple en 1852-53, mais beaucoup plus âgé (élève de classe préparatoire à Saint-Cyr). Son nom sera donné au lycée dès 1919. Il obtient le baccalauréat ès-lettres en 1858. Il s'inscrit ensuite à l'école de médecine de Nantes. En 1861

des déjeuners gratuits et des parties de cartes. La grève commença le lendemain. Ce fut une grève joyeuse. La victoire était plus qu'assurée: est-ce que tout le monde ou presque n'appartenait pas aux Chevaliers du Travail? Les bouchers, les boulangers et les fabricants de chandelle, les médecins, les pasteurs, les épiciers et les tenanciers de pension. Quoi de plus facile? À partir du moment où tout le monde arrêterait le travail, il était évident que la ploutocratie se rendrait. En plus, il

partir de 1870, le vote sous contrainte d’une autorité sociale va progressivement devenir plus politique. Cette politisation du vote va résulter du fait que de nouveaux candidats vont se présenter et s’efforcer de se faire élire en fonction de leur programme politique et non de leur nom. Ils vont dénoncer la domination des puissants et politiser le discours. C’est l’élection qui va précéder la politisation.
1913= introduction de l’isoloir dans les bureaux de vote.
C’est la fin du processus de démocratisation

la Révolution Française, se réclame des idéaux de 1789 mais réfute la terreur, la violence. FERRY, républicain modéré, est de cet avis. Un courant républicain plus à gauche ne veut pas quant à lui séparer 1789 et 1793. 1869 Programme de Belleville (TD) de Ferry, Gambetta (centre droit) et Clémenceau (centre gauche) 1870 défaite de Sedan dans la Guerre franco Prusse. Perte de l'Alsace / Lorraine → par la suite il y aura idée de revanche dans les années 1880

populaire à une république réactionnaire. Situation ambiguë de Napoléon, il a la fois le soutien des ouvriers, des conservateurs, neveu de Napoléon 1er et qui admire son oncle et veut le même système, quand il s’est présenté, il n’avait pas de programme mais un nom, il disait vouloir la gloire du peuple, réunissant peuple et conservateur, il va au-delà des clivages. Louis Napoléon Bonaparte va dire ces mots en 1951, qu’il est pour le soutien de l’ordre mais qu’il va faire des réformes égalitaires