Programme sur l'homme et la biosphère

 interfacultaire  en  environnement     1   Pourquoi est-ce que la protection de la biodiversité est plus qu’une simple question d’identification ou de conservation et de gestion des zones naturelles, non touchées par l’homme ? Les Nations Unies consacrent les années 2011-2020 comme étant la décennie pour la biodiversité. A travers la mise en place d’un plan stratégique et des objectifs associés, l’ONU tente de mettre sur le devant de la scène l’importance de prendre en

améliorent les qualités d’un sol : _la biodiversité : le sol est un écosystème particulier, biotope de la microflore de la faune du sol ainsi que les vegetations.les microorganismes qui vivent et participent au fonctionnement du sol plus large la biosphère des cycles biogéochimiques sont très nombreux et divers. Les bactéries interviennent dans les premières étapes de la formation d’un sol et jouent un grand rôle dans la minéralisation des matières organiques.les nématodes représentent la biomasse

donnée par l'ADN. Molécules ; nucléotides ; ADN ; information génétique ; Biodiversité Diversité des êtres vivants qui peuplent notre planète. Biosphère ; espèce ; biocénose : biotope Biomasse Masse totale de matière vivante par unité de surface dans un écosystème ou ensemble des substances organiques pouvant devenir des sources d'énergies. Biosphère Enveloppe externe de la Terre constituée par l'ensemble des êtres vivants et de leurs milieux de vie. Biodiversité ; espèce ; biocénose : biotope

atteindre un état marqué par « la paix mondiale, la prospérité universelle et la marche vers un degré supérieur de compassion et d’accomplissement ». Ces fortes paroles se trouvent dans le document officiel américain qui a lancé en juin 2002 un vaste programme interdisciplinaire, richement doté en fonds fédéraux, dénommé Converging Technologies, mais plus connu sous l’acronyme NBIC : la convergence dont il s’agit est en effet celle des Nanotechnologies, des Biotechnologies, des technologies de l’Information

Possèdent un ancêtre commun La myoglobine de l’ancêtre a subi des mutations au cours du temps et s’est donc modifiée. Plus l’ancêtre est lointain ; plus la protéine est différente. Le chimpanzé présente le plus de similitudes par cette protéine avec l’homme. Le requin en présente moins. Ces similitudes sont plus importantes entre les mammifères. Page 89, point 3.3 : Parentés établies par l’étude de caractères moléculaires. Les techniques récentes de biochimie permettent d’établir la séquence

une proposition de l’assemblée générale des Nations Unies, et confiée à Mme Gro Harlem Brundtland et de présider une commission spéciale et indépendante chargée d’examiner ce problème crucial pour la communauté mondiale, et ayant pour mission « un Programme global de changement » dans l’objectif de : • Proposer des stratégies à long terme en matière d’environnement pour assurer un développement durable d’ici à l’an 2000 et au-delà; • Recommander des méthodes pour faire en sorte que l’intérêt porté

(DGESCO – IGEN) Sciences et vie de la terre – Enseignement de spécialité – Thème 2 Atmosphère, hydrosphère, climats : du passé à l’avenir Page 1 sur 39 Préambule Comme les autres thématiques de spécialité, l’objectif de cette partie du programme est de préparer les élèves à une poursuite d’études en renforçant l’acquisition de connaissances et les démarches spécifiques qui y sont associées. La thématique du climat, souvent abordée dans les médias, permettra ici d’apporter aux élèves des

et il est à craindre que le souhait de croissance des pays du Sud vers un état de prospérité similaire, édifié sur des principes équivalents, n'implique une dégradation encore plus importante et accélérée de l'habitat humain et possiblement de la biosphère. Ainsi, si tous les États de la planète adoptaient l'American way of life (qui consomme près de 25% des ressources de la Terre pour 7% de la population) il faudrait 5 ou 6 planètes pour subvenir aux besoins de tous selon l'association écologiste

d’organisation, depuis la molécule jusqu’aux individus, peuplements, populations, communautés, écosystèmes, paysages et zones biogéographiques, c’est-à-dire de la diversité génétique à la diversité des formes qui permettent l’organisation générale de la biosphère. Au-delà des seuls scientifiques, les sociétés humaines sont fortement concernées par la biodiversité puisqu’elles en dépendent comme source d’aliments, de médicaments et de matériaux divers. Des molécules variées et des gènes utilisables dans

plus en plus, les scientifiques essayent de resituer la biodiversité dans une perspective environnementale plus large et on assiste à une intégration de la biodiversité dans les problèmes de société. Il y a d’abord une prise en compte du rôle de l’homme, soit en termes de dépendance directe (pour ses ressources biologiques, pour ses ressources alimentaires), soit en termes de dépendance indirecte par rapport aux services écologiques que rend la biodiversité (interférence avec les climats, bien-être