Progres Technique Industrie Automobile Française

L’industrie automobile en France depuis 1950 : des mutations à la chaîne Thierry Méot* En 2008, l’industrie automobile mondiale a été brutalement rattrapée par la crise en fin d’année. En France, les immatriculations de voitures particulières neuves, qui étaient en hausse de 4,5 % sur les 6 premiers mois de l’année, chutent de 6,3 % sur les 6 derniers mois. En moyenne pour 2008, la production de la branche automobile recule de 9,3 % en volume ; pour la première fois depuis soixante ans, son commerce

Chapitre I : Généralités I-1-L’industrie automobile au Maroc/Introduction : L’industrie automobile au Maroc constitue une activité économique importante amenée à se développer de manière croissante au cours des prochaines années. Dans son ensemble, le marché Marocain offre en effet des perspectives de développement soutenu : le parc automobile est en mutation, son âge moyen est en baisse et les ventes de véhicules neufs ne cessent de croître depuis quelques années, et ceci grâce à une demande

et 2009, le marché automobile a été fortement impacté par le ralentissement économique. Néanmoins, ce dernier a connu un rebond en 2010 et l’on s’attend à ce que le marché automobile soutienne une croissance forte jusqu’à 2015 inclus. De plus, d’ici 2030 le parc automobile mondiale devrait augmenter de plus de 500 millions de véhicules.En 2010, le segment de voitures était l'industrie la plus lucrative, elle représentait 61,5% de la valeur complète de l’industrie. Une industrie à forte valeur ajoutée

mettre en place l’industrialisation ? - La croissance a-t-elle été continue et en quoi cette croissance est-t-elle un facteur de progrès ? Introduction Doc 1 Page 21 Nature : photo en noir et blanc de journaliste sur la modernité d’une entreprise en fonderie à Pont-à-Mousson. L’entreprise montre le moteur de la croissance française par la métallurgie (1932) dans un contexte difficile de crise économique du au « Krach » de 1929 Doc 2 Page 21 Nature : photographie

désindustrialisation française ou plutôt de mutation du système productif? Ces évolutions ont d’une part conduit à un bouleversement du système productif, entre crise et mutation (I), et d’autre part à une recomposition de l’espace industriel dont le bilan reste en demi-teinte (II). I. Le bouleversement du système productif : crise ou mutation ? Face à une production et une productivité en augmentation constante, il est difficile de parler de crise de l’industrie française. Néanmoins, les chiffres

l’historien Mokyr. Celle-ci « est portée […] par un renouvellement constant des techniques ». Ainsi, les US « déposent 2 fois plus de brevets que l’Europe ». Celle-là « indexe la prospérité d’une économie à la taille de ses marchés », et « favorise les regroupements, rationnalisent les tâches à l’échelle de continent ». Et ces 2 choix ne s’équivalent pas : « ce n’est pourtant pas la même chose d’utiliser des techniques existantes […] et de chercher à innover ». Plus loin, Cohen compare chaque croissance

1.1. Les tendances lourdes de l’industrie automobile 3 1.2. Le champ organisationnel de Peugeot-Citroën 4 1.3. La synthèse SWOT du contexte de Peugeot-Citroën 10 II. ANALYSE DU MODELE CULTUREL DE PEUGEOT-CITROËN 11 2.1. Les traits de la culture d’entreprise de Peugeot-Citroën 11 2.2. La culture d’entreprise de Peugeot-Citroën 13 2.3. Les recommandations 13 CONCLUSION 15 INTRODUCTION Le groupe Peugeot-Citroën, constructeur automobile français, après de multiples tribulations l’ayant

(moissonneuses, batteuses, charrues), dans les transports (chemins de fer, bateaux à vapeur). Les secteurs clés de la 1ère révolution industrielle sont la métallurgie et le textile. Les besoins de l'agriculture et de l'industrie stimulent les progrès techniques et les innovations se multiplient. On entre dans l'ère du machinisme. Le développement du chemin de fer permet de transporter plus vite et des quantités plus importantes, il met en contact villes et campagnes, permet la création d'un marché

perte de l’emploi industriel. Plusieurs pressions majeures s’exercent sur l’emploi: la course à la baisse des prix et les changements techniques qui débouchent sur la modification considérables des moyens de production (ce que Joseph Schumpeter appelait la destruction créatrice). Plusieurs causes sont à l’origine de ce phénomène, les nouveaux procédés techniques, l’évolution du secteur tertiaire, les importations des pays du Sud, la délocalisation et la sous-traitance. II) Causes :

combinaison productive (0 et 1) (qui peut être évalué par la part du capital dans la valeur ajoutée). Mesure l’efficacité de la contribution du travail et du capital à l’appareil productif = résidu de SolowCe qui fait de la PGF la mesure du progrès technique (même si on évalue mal l’amélioration de l’organisation du travail, des externalités positives de la recherche, de l’amélioration de la qualification de la main d’oeuvre).La baisse du travail s’est accompagné de croissance économique