Progrès Civilisation Commerce

Le commerce désigne l'activité d'achat et de revente de biens et de services[1], en particulier l'achat dans le but de revendre avec un profit ou un bénéfice[2]. Le commerce a ses lois propres qui sont recueillies dans les Code de commerce et ses propres juridictions nationales ou internationales. Ayant d'autres finalités que de faire un profit, beaucoup d'activités économiques ou professionnelles comme l'éducation, la police, la culture, la médecine, la justice, l'architecture, la religion, etc

XVIe siècle: la Renaissance, vue générale On entend par Renaissace le vaste mouvement qui renouvelle du XIVe au XVIe siècle toute la civilisation de l'Europe occidentale, et par lequel le monde moderne se substitue au monde médiéval. Le terme est adopté seulement à la fin du XVIIe siècle. Le XVIe siècle: la Renaissance, vue générale Trois domaines du progrès  Dans les sciences, où Copernic (1473 - 1543), Képler (1571 1630), Gallilée (1564 - 1642), renouvellent la conception de l'univers, et

dans les produit de luxe épices, tissus, arts…). Le commerce s’intensifie. De grandes familles apparaissent : - Les Médicis à Florence - Les Sforza à Milan Elles permettront de développer le mécénat (on encourage des artistes dans l’art, les lettres et les sciences. B. Les relations internationales Les échanges se multiplient, les villes riches de l’Italie, au nord et en bord de mer, sont en contact avec d’autres civilisations. C. Le berceau de la Renaissance : La ville de

biologique mais aussi d’un héritage culturel. Le travail et la technique Le travail a pour but la maitrise technique du monde, et par cela de passer d’un monde naturel sauvage à un monde technique, humain. C’est ce travail qui a conduit notre civilisation a de plus en plus transformer notre environnement avec pour stade ultime les métropoles, univers totalement artificiels. Le travail Le mépris du travail dans les sociétés antiques Une malédiction Il est considéré comme une malédiction

contenu. Le style de Montaigne est constitué de digressions. Ainsi ce chapitre 6 des Essais est initié par une réflexion de Montaigne sur les différents types de transport. Puis de fil en aiguille, il aborde la question de la confrontation entre les civilisations. Les grandes conquêtes coloniales ont fait émergé de nouvelles interrogations et des débats sur le statut des indiens. Montaigne a assisté à ces débats et lut énormément de récits de voyage menés par des explorateurs ou des penseurs. Ici il prend

MARCHANDISES Le développement rapide du commerce et le progrès technique en matière de transports et de communication se sont mutuellement stimulés. Les coûts de transport ont considérablement diminué. La facilité et le volume des échanges se sont accrus, les flux se sont mondialisés. Le monde est en quelque sorte rétréci et plus fluide mais toujours aussi inégal. 1) Les flux de marchandises : une croissance rapide a) Forte croissance du commerce international en volume depuis 1945

étroit entre les universités et le monde industriel allemand. Importance de la religion avec le piétisme de Philippe-Jacques Spener (luthérien) qui créa « collegiae pietatis » où on étudie la Bible sans les dogmes mais vers un accomplissement du progrès qui se traduit par + on pousse la science et + on trouve la connaissance de Dieu. A Brandebourg, l’économie se développe vite et au royaume de Prusse, est mise au point l’éducation populaire. Il y a un développement de la maîtrise de soi (+ hygiène

marionnettes, lanterne magique. Joie de vivre, raffinements et plaisirs trouvent leur écho dans le poème Le Mondain. Mêlant les pensées épicuriennes aux scènes burlesques, Voltaire illustre, dans Le Mondain, cette idée provocante : les raffinements de la civilisation augmentent le bonheur des hommes. Il fait l'éloge du luxe et de la légèreté. Il s'oppose ainsi au pessimisme de Pascal pour qui l'homme est un « monstre » incompréhensible, « égaré dans ce recoin de l'univers ». Il répond par avance aux tristesses

est singulier: elle a précédé et influencé les Lumières françaises naissantes, mais ses intellectuels n'ont pas prétendu se substituer au gouvernement ou à l'Église; sa classe dirigeante est restée imprégnée de puritanisme et s'est plus préoccupée commerce que de philosophie : elle s'est satisfaite des acquis de sa révolution de 1689. Voltaire dans les Lettres anglaises, Montesquieu dans l'Esprit des lois ne sont à proprement parler ni républicains ni démocrates. Voltaire a vu l'Angleterre, rapidement;

chargées de fers. Le monde moderne nous offre un spectacle complètement opposé. Les moindres états de nos jours sont incomparablement plus vastes que Sparte ou que Rome durant cinq siècles. La division même de l’Europe en plusieurs états, est, grâce aux progrès des lumières, plutôt apparente que réelle. Tandis que chaque peuple, autrefois, formait une famine isolée, ennemie née des autres familles, une masse d’hommes existe maintenant sous différents noms, et sous divers modes d’organisation sociale, mais