Proie

5 vers pour mimer l'ampleur des dégâts). – Faiblesse du monarque comparé à un « fantôme » (v20) – Du vers 19 à 26 : image grotesque et risible (« L'Europe [...] vous regarde en riant ») d'une Espagne en proie à l'hostilité, au mépris et à l'avidité des voisins européens qui lorgnent sur cette proie mourante. Se dessine en filigrane l'image de la curée à venir des pays voisins personnifiés (verbes généralement construits avec un sujet humain : « hait », « regarde », « riant », « partagent », « vous

plus de deux millions de têtes. Le Gnou noir est actuellement en grave danger d'extinction. La femelle du gnou est encore appelée la maroufle, et les petits sont des gaous. Les gaous naissent généralement en février. Ils deviennent alors une proie facile pour les prédateurs, bien qu'ils soient capables de courir seulement trois minutes après leur naissance, sitôt débarrassés du placenta. Pour séduire les femelles, les gnous poussent des sortes de coassements, et se battent entre eux. Lorsqu'un

l’agriculture à l’aide de substances chimiques pour surproduire les denrées alimentaires. Mais aujourd’hui, faut-il toujours suivre un modèle défectueux où la répartition illogique de la surproduction laisse des millions de personnes en disette ou en proie à la maladie ? Suite à son épanouissement, cette politique de transformation nous a conduit dans une dégénération de type social et environnemental. D’ailleurs la consommation excessive de ressources naturels, l’empoisonnement de la terre et de

d’avoir des nouvelles de No, en vain, les deux jeunes gens commencent à se rapprocher sérieusement. Cette histoire aura donc changé les vies de Lou et de Lucas traversées par celle, plus turbulente, de No. Mais la situation se dégrade pour No. En proie à ses vieux démons, elle se remet à boire et à prendre toute sorte de cachets. Elle semble ne plus exister psychiquement, paraît complètement absente. Un soir, le père de Lou trouve des bouteilles d’alcool dans sa chambre. Une dispute éclate : No ne

vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. " A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. " Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait

d’enfermement puis passage au paysage intérieur ccl=> « sur l’esprit gémissant en proie au long ennuie » Ce ciel se referme sur un état d’esprit marqué par la douleur => « gémissant » Ce paysage créé et entretient une sensation d’angoisse Le paysage extérieur joue un rôle négatif sur le poète => il renforce le spleen «  gémissant » « esprit gémissant en proie au long ennuie »esprit victime du spleen => c’est une proie et le paysage extérieur vient accentuer le spleen retour au paysage extérieur

certaines espèces, la salive—déployée à l’occasion d’une morsure de bec—peut également paralyser une proie. Le poulpe se meut dans l’eau par la propulsion à jet : il aspire l’eau et l’éjecte de force, utilisant le manteau musculaire de son corps (la couche de tissu qui recouvre le corps) pour former un entonnoir. Il utilise habituellement cette méthode seulement pour fuir le danger ou capturer une proie. Il est également capable de ramper sur des surfaces dures à l’aide de ses bras et, effectivement

de Phèdre dévoile le visage d’une reine en proie à une passion incestueuse dévorante et que l’aveu condamne à un destin tragique. Conclusion -> Confirmation : Donnant d’elle-même l’image d’un monstre en proie à une souffrance inouïe, possédé par une passion tout aussi dévorante et criminelle qu’irrépressible et incestueuse, Phèdre est l’évocation d’une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions. -< Synthèse : C.I. : Phèdre est en proie à une passion coupable qu’elle ne peut réprimer

es le plus fort, je céderais ; mais si tu te laisses abattre, je te déchirerais, je planerais sur toi, et je battrai des ailes, comme le vautour sur sa proie. » S’il est ainsi dis-je à mon tour, il faut lutter ensemble ; et nous nous prîmes corps à corps » L7 à 10. Ici l’auteur compare la souffrance à un vautour qui volerais autour de sa proie s’il se laisse abattre et fait de la souffrance un humain avec qui l’on pourrais discuter avec une personnification « la douleur me dit […] » L 7, le vieille

faite des trois succubes met en lumière leur bestialité, le narrateur est alors dans la position d'une proie possible, retenue prisonnière par ces jeunes femmes. Les jeunes femmes ont un comportement qui peuvent nous faire penser à des prédateurs. Jonathan écrit dans son journal : "elle […] m'entoura d'un regard d'envie", la jeune femme a un comportement proche de celui d'un animal qui regarde sa proie et se prépare à l'attaque. Le narrateur utilise aussi une comparaison pour nous faire apparaître cette