Proie

, p.64, Léon Vanier, 1896)    • La Nature se joue terriblement des explications plus ou moins saugrenues que nous prétendons donner d'elle, qui n'a peut-être elle-même aucune conscience de ce qu'elle est.  Edmond Thiaudière (La Proie du Néant (Notes d'un pessimiste), p.9, Paul Ollendorff, 1886)    • À supposer qu'il y ait un Dieu juste, on se demande pourquoi, tout dépendant de sa volonté, il n'est pas clair, mais ténébreux dans sa providence. Au lieu d'avoir

« vaines précautions ») le champs lexical de la fatalité du destin en témoigne également (v 300 «  fatale hymen ») la reine se présente comme une victime de la vengeance de Vénus . La déesse est présentée comme un prédateur (v 306 « sa proie attachée ») dont elle est la proie. .Le discours comporte une rhétorique de la douleur et contribue au tragique . En effet la ponctuation est expressive et manifeste la souffrance du personnage , on relève une expression hyperbolique des sentiments

rendre " qui à elle seule induit que la volonté royale peut se transformer en loi. C'est en roi que Pyrrhus se pose face à Andromaque, en tant que vainqueur de Troyes : le champ lexical du combat "armes, haines, ennemi, trahir " rappelle le statut de proie de guerre qu'incarne la veuve d' Hector et à ce titre Pyrrhus peut exercer son emprise sur elle. La rime " larmes / armes " aux vers 3-4 , corrobore ce rapport de force entre les deux. Il est un ennemi puissant , homme orchestre du bonheur ou du malheur

détermination est quelque chose de naturel car il est présent dès la naissance et chez les animaux aussi, par exemple quand le léopard chasse dans la nature et qu’il trouve une proie plus rapide que les autres c’est la détermination et l’acharnement a attraper cette proie qui vont faire que cet animal vas au final attraper la proie, c’est donc un comportement inné. La détermination permet au héros de réussir du point de vue qu’il se détermine a réussir, devant le mur qui le sépare de sa finalité, de son

"Que voilà ma patrie !". Déclassé du vieux monde,être sans foi ni loi, Despérado ! Là-bas, là-bas, je serai roi !... Oh ! Là-bas, là-bas, m'y scalper de mon cerveau d'Europe! Piaffer ! Redevenir une vierge antilope, Sans littérature, un gars de proie, citoyen Du hasard et sifflant l'argot californien! Un colon vague et pur ,éleveur, architecte, Chasseur, pêcheur, joueur au-dessus des Pandectes, Entre la mer et les états mormons ! Des venaisons Et du whisky ! Vêtu de cuir, et le gazon Des

mais en réalité, il se cache dans un fourré. Commère partit au village pour trouver une autre proie. Lorsqu’elle vit sur la place qu’un cochon était en train de griller, elle fonça à toute allure sur ce repas inattendu ; elle arracha un bout de viande qui flambait encore. Elle retourna chez elle, encore plus vite qu’à l’aller car elle se brûlait. Lorsqu’elle passa au-dessus de son nid, elle lâcha sa proie et alla se refroidir les serres dans la rivière qui se trouvait à quelques mètres. Pendant ce

d’un autre passager au teint bronzé. A quel moment passe-t-on d’un récit à l’autre? Que diriez-vous des points de vue employés dans chacun des récits. Justifiez. Dans le 2nd récit, relevez les expressions qui montrent que les personnages sont en proie à la peur. Plusieurs expressions traduisent la peur des personnages : L39 : les femmes ne bougeaient point. L65 66 67 : les femmes retombèrent à genoux dans leurs coins en se cachant le visage , leur fils reprirent la hache. L79 80 : les femmes

d'entre elles lui sont lancées en même temps, il peut s'avérer presque impossible pour un prédateur de capturer une proie au milieu d'un groupe qui bouge dans toutes les directions. D'un autre côté, les plus grands groupes peuvent présenter le désavantage d'être plus facilement détectable aux y eux des prédateurs. On peut donc se poser la question suivante: est-il préférable pour une proie d'appartenir à un grand groupe, où il y a plus de chances d'être détecté en tant que groupe, mais peut-être moins

dernière est montrée par une personnification ou l’epsagne est comparée à un animal agonisant sans ucune aide « membre énervé »v1135 L’utilisation de la métaphore « triste comme un lion mangé par la vermine »v1138 montre bien que l’Espagne est en proie aux corrupteurs que sont les ministre sindignescités au tout début de la tirad de RB. L’Espagne persxonnifié est prcohe de la mort. L’alexandrin au vers 1132 au rythme binaire traduit bien l’oppostion entre l’Espagne passée et l’Espagne actuelle.

DE Phèdre I, 3 v. 255 à 306 I. UN AVEU TRONQUE 1) Le refus de sa culpabilité une famille maudite : “sang déplorable” (v. 247) ; “déplorable race” (v. 266) un destin contraire : “Puisque Vénus le veut” (v. 257) ; “C’est Vénus tout entière à sa proie attachée” (v. 306) 2) Un aveu arraché - les répliques d’Oenone = stichomythiques => le rythme s’accélère // tension dramatique : elle harcèle presque Phèdre pour obtenir son aveu - emploi des périphrases “Ce Fils de l’Amazone,/Ce Prince si longtemps