Projet De Cabane Dans Les Arbres

brisé et de barbelés. Le large portail en bois était ouvert. Du trottoir d'en face, Alex aperçut une cabane protégée par une vitre de sécurité et, derrière, les piles branlantes des épaves. Tout ce qui avait la moindre valeur en avait été enlevé, et seules subsistaient les carcasses rouillées, entassées les unes sur les autres, qui attendaient de nourrir le broyeur. Un gardien était assis dans la cabane, en train de lire un journal. Au loin, une grue se mit en mouvement avec un hoquet, puis s'abattit

pour elle. Cela montre aussi que l’auteur prend parti pour Mireille, il la respecte en tant que personne et respecte aussi la demeure qu’elle s’est créée et qu’elle veut garder. 4- a) Ce sont les forestiers qui interviennent pour couper les arbres. b) Non, ils ne préviennent pas Mireille de l’imminence de la destruction. c) Ils ne se soucient d’elle à aucun moment et personne d’autre ne vient aider Mireille au quotidien. d) Plus globalement, les forestiers peuvent représenter

la chute. Il permet aussi de donner aux élèves un bon exemple d’humour noir. On pourra approfondir avec eux la « stratégie » du narrateur, qui consiste à distiller très progressivement les informations concernant la personnalité, le passé et les projets du personnage principal. Réponses aux questions 1. On ne connaît pas le nom du personnage principal ; il restera anonyme tout au long du récit, désigné par le pronom « il ». On connaît cependant son âge : « aujourd’hui il allait fêter son quarantième

roman d'un illustre inconnu. En 1932, l'introduction de la langue populaire en littérature reste rare et il est encore moins fréquent que ce soit le narrateur qui parle cette langue, d'habitude réservée aux seuls dialogues. Céline frappe fort. Le projet a été longuement mûri, depuis Semmelweis, Progrès ou L'Eglise. Voyage correspond à l'aboutissement et la maturité d'une écriture que son auteur travaille depuis de nombreuses années. Voyage se divise en deux grandes parties. De façon très simpliste

devons d’aucune manière alarmer les habitants du sanctuaire. — Je te le promets. Briag aida son compagnon à se lever, et ils quittèrent la pièce ensemble. — Tu pourrais commencer à l’implorer maintenant, chuchota le Sholien. — Un mot de plus et je te projette dehors sous la pluie, grommela Hawke. Ils se séparèrent devant la salle de recueillement. Hawke s’arrêta sur le seuil en se demandant s’il pouvait vraiment adresser une requête semblable à un dieu. — Hawke ! l’interpela Isarn. — Vous n’êtes plus

y compris aux personnes sans domicile et les exclus. Low et Smith (2006) expliquent dans leur rapport que contrôler l’espace public est une stratégie fondamentale du néolibéralisme. Cette tendance ressort assez clairement de l’analyse de certains projets de revitalisation urbaine, dont la norme consiste à déplacer et à évacuer les personnes sans domicile et les structures qui les prennent en charge, ce qui n’est compréhensible que dans le cadre d’une politique de la propriété dont la réussite passe

brisé et de barbelés. Le large portail en bois était ouvert. Du trottoir d'en face, Alex aperçut une cabane protégée par une vitre de sécurité et, derrière, les piles branlantes des épaves. Tout ce qui avait la moindre valeur en avait été enlevé, et seules subsistaient les carcasses rouil ées, entassées les unes sur les autres, qui attendaient de nourrir le broyeur. Un gardien était assis dans la cabane, en train de lire un journal. Au loin, une grue se mit en mouvement avec un hoquet, puis s'abattit

partis de ces hameaux pour la journée, tous, pour une fête à l’autre bout du canton, et qu’ils nous eussent laissé en confiance tout ce qu’ils possédaient, leur campagne, les charrettes, brancards en l’air, leurs champs, leurs enclos, la route, les arbres et même les vaches, un chien avec sa chaîne, tout quoi. Pour qu’on se trouve bien tranquilles à faire ce qu’on voudrait pendant leur absence. Ça avait l’air gentil de leur part. « Tout de même, s’ils n’étaient pas ailleurs ! — que je me disais — s’il

partis de ces hameaux pour la journée, tous, pour une fête à l’autre bout du canton, et qu’ils nous eussent laissé en confiance tout ce qu’ils possédaient, leur campagne, les charrettes, brancards en l’air, leurs champs, leurs enclos, la route, les arbres et même les vaches, un chien avec sa chaîne, tout quoi. Pour qu’on se trouve bien tranquilles à faire ce qu’on voudrait pendant leur absence. Ça avait l’air gentil de leur part. « Tout de même, s’ils n’étaient pas ailleurs ! — que je me disais — s’il

francophone et la leur et, d’autre part, de leur fournir le bagage linguistique nécessaire pour parler en français de leur propre culture. À la fin de cette double page, les élèves seront amenés à réaliser une activité de production sous la forme d’un Projet. • Pour clore chaque escale, une page bilan Fais le point reprend les contenus de l’escale et permet de travailler la production et la réception orales et écrites pour se préparer à l’examen du DELF junior niveau B1. Elle donne l’occasion aux élèves