Prologue Antigone Anouilh

composition d’une pièce de théâtreLe prologue :Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale , de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d' Antigone de Jean Anouilh. Un acte :

musicien chez Cocteau, mais poète. La pièce peut être considérée comme la conciliation du mythe et de la religion orphique. L'objectif de Cocteau est de débarrasser la tragédie de son caractère solennel. 5. La dramaturgie de J. Anouilh et d’A. Salacrou. I. Jean Anouilh (1910 – 1987) Production jusqu'aux années 80 du XXe s. Il a été secrétaire de Louis Jouvet, influencé par l'esthétique de ce metteur en scène. Théâtre formé de quelques périodes différentes : 1) pièces inspirées par la mythologie

L’ARGUMENTATION 4. Dans le prologue du Pantagruel, Alcofribas prétend que ce roman est « un peu plus objectif et digne de foi » que la Chronique gargantuine (célèbre livret de colportage) : où se situe le vrai et le faux ? Il ajoute qu’« il ne [lui] advint jamais de mentir ou d’assurer une chose qui ne fût véritable » alors qu’il a annoncé les « horribles faits et prouesses épouvantables » d’un personnage folklorique, « roi » d’une peuplade imaginaire. Ce prologue est donc construit sur un jeu

Don Juan • Lenau, Don Juan (p. 492 L/ ES/S) Les XXe et XXIe siècles : modernités SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre », du XVIIe à nos jours • Jean Giraudoux, L’Impromptu de Paris (p. 156 ES/S et Techno / p. 158 L/ES/S) • Jean Anouilh, La Répétition ou l’amour puni (p. 158 ES/S et Techno / p. 160 L/ES/S) • Jean-Luc Lagarce, Nous, les héros (p. 160 ES/S et Techno / p. 162 L/ES/S) • Olivier Py, Les Illusions comiques (p. 162 ES/S et Techno / p. 164 L/ES/S) • Bertold Brecht

guerre d'Espagne (1936 - 1939), où les partis progressistes et l'URSS luttent contre le coup d'État réactionnaire de Franco et les soutiens que lui apportent Benito Mussolini et Adolf Hitler. La défaite des Républicains espagnols apparaît comme le prologue de la défaite de la France en 1940 face à l'Allemagne nazie qui, ayant conquis l'Europe, entreprend bientôt une extermination raciale des « sous-hommes », et au premier chef, des Juifs. La Shoah reste comme la marque absolue de l'abomination nazie

| |- Marivaux, L’Île des esclaves, scènes 1 et 2 |intense. Vous justifierez votre choix. | |- Anouilh, Antigone, extrait |Commentaire : Koltès, Le Retour au désert | |- Sartre, Les Mains sales,

Paris - Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs Annexe : Giraudoux, L’Impromptu de Paris HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 Conflits, débats et affrontements (L - mars 2006) - Marivaux, L’Île des esclaves, scènes 1 et 2 - Anouilh, Antigone, extrait - Sartre, Les Mains sales, 6ème tableau, scène 2 - Koltès, Le Retour au désert HATIER Annabac 2008 HATIER Annabac 2007 HACHETTE Annales Bac 2009 Invention : Vous avez étudié cette année une pièce de théâtre. Vous souhaitez la mettre

Paris - Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs Annexe : Giraudoux, L’Impromptu de Paris HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 Conflits, débats et affrontements (L - mars 2006) - Marivaux, L’Île des esclaves, scènes 1 et 2 - Anouilh, Antigone, extrait - Sartre, Les Mains sales, 6ème tableau, scène 2 - Koltès, Le Retour au désert HATIER Annabac 2008 HATIER Annabac 2007 HACHETTE Annales Bac 2009 Invention : Vous avez étudié cette année une pièce de théâtre. Vous souhaitez la mettre

perd du terrain (elle ne forme plus qu'un demi-cercle) et sert de "parterre" aux spectateurs de marque. 2/ il faut des signes clairs pour que le public comprenne la pièce et son déroulement : un acteur sur le proscenium dit un résumé de la pièce (prologue) et la formule finale est toujours la même. i. Le public Le public se divise : se constituent deux publics et deux types de théâtre. a/ Le grand public : La scène romaine populaire privilégie le "grand spectacle", la mise en scène fastueuse

aux parties dialoguées, les parties dansées et chantées du chœur et les interventions du coryphée, le chef de chœur, dans les épisodes (actes) font du théâtre grec un spectacle complet, entre notre opéra et notre théâtre. Plus précisément, après un prologue servant d’exposition, a lieu l’entrée du chœur (parodos) ; puis les spectateurs assistent à une alternance de d’épisodes dialogués et de chants du chœur ; la tragédie se termine par la sortie du chœur (exodos). 48 Séquence 4 – FR20 © Cned