Prologue Sophocle

Antigone dans la mythologie antique • en grec ancien Ἀντιγόνη / Antigónê • tragédie grecque de Sophocle • écrite vers 441 av. J.-C. • appartient au cycle des pièces thébaines, avec Edipe roi et Edipe à Colone • Antigone est la dernière pièce • tragédie en sept actes • dans la pièce de Sophocle le personnage tragique n'est pas Antigone, mais Créon • Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen et Créon la victime • il existe une

utilise ces anachronismes, dont en voici les principaux. Le premier anachronisme du texte, se remarque dés le prologue. « Enfin les trois hommes rougeauds qui jouent aux cartes, leur chapeau sur la nuque, ce sont les gardes. » Sophocle est né en 495 Av JC et meurt en 406 Av JC, les premières traces de jeux de cartes remontent au VII° siècle. Il est donc très peu probable que Sophocle y est déjà jouer. Cet anachronisme, met en valeur l’indifférence des gardes de ce qui ce passe autour d’eux dés

par des événements, par des forces trop puissantes. Oedipe roi de Sophocle incarne bien l’homme aux prises avec la fatalité, avec la volonté des dieux. 3) La structure de la tragédie grecque La structure d’une tragédie grecque se déroule en 5 actes : • acte 1 : l’exposition • acte 2 à 4 : action dramatique • acte 5 : le dénouement ( toujours malheureux, la mort) Prologue : Dans le sens antique, le prologue est une forme naïve de l’exposition. À l’origine du théâtre, chez

contexte de l’Occupation allemande il reprend l’oeuvre de Sophocle- Antigone. Comme il dit : « Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions en train de vivre ». Il forme ainsi un nouveau aspect de la tragédie d’Antigone qui se révolte contre la décision du roi de Thèbes et finit par être punie de mort malgré l’effort de Créon de la sauver. Cette pièce commence, comme dans le théâtre grecque, par le prologue. (La lecture du texte) Dans la suite, on va s’intéresser à

recherche ! Les rapports avec Œdipe-Roi : Outre le fait que Wallas, l'enquêteur, est en réalité l'assassin qu'il recherche - et l'on aura reconnu la trame de la tragédie de Sophocle -, Alain Robbe-Grillet a semé de nombreux indices qui nous font penser à Œdipe-Roi : Le roman commence par un prologue, au cours duquel apparaît un personnage récurrent ensuite : il s'agit d'un ivrogne qui a la manie des devinettes ; or celles qu'il pose font directement allusion soit à la légende de la

: Créon p. 68 reconnaît en elle l’orgueil d’Œdipe. · Evoquer les origines d’Antigone, c’est insister sur la fatalité d’un destin tragique. 2- Le personnage de la jeune fille réécrit par Anouilh : Dès le début de l’Antigone d’Anouilh, le prologue dresse son portrait (voir p.9-10). Ce portrait est repris par Créon p. 69 et 73 : la jeune fille amenée à accomplir un destin tragique est décrite comme un être frêle, fragile. Pourtant, ce qui la caractérise, ce sont les défis qu’elle tente de relever

grand succès qui provoque une certaine polémique compte tenu de contexte historique : l’occupation allemande de la France. Mais voyons d’abord quelles sont les caractéristiques de cette pièce. Antigone est une réécriture de l’Antigone antique de Sophocle qui nous montre une héroïne braver les interdictions de son oncle Créon afin de pouvoir enterrer son frère. La pièce raconte l'histoire d'Antigone, une jeune fille, qui après que ses deux frères se soientt entretués décide de se revolter contre la

Commentaire composé sur Oedipe Roi de Sophocle La tragédie grecque « Œdipe Roi » a été écrite par Sophocle et représentée entre 430 et 420 avant Jésus Christ. Le registre tragique, apparu en Grèce dans l'antiquité, connaît son apogée au 5ième siècle avant Jésus Christ. Les tragédies grecques sont connues grâce à 3 grands auteurs qui sont Euripide, Sophocle et Eschyle et ces pièces avaient surtout un but religieux, jouées lors des fêtes de Dyonisos et les histoires faisant donc souvent appel aux

                                              Samedi 26 mars à 20 h 30                                                                Théâtre de Tarascon                        Mise en scène de C. Kleinbort Avec, par ordre d'entrée en scène, |le Prologue |Philippe Souiller |Créon |Sébastien Vilar | |Antigone |Florence Kleinbort |le garde |Antoine Cortès | |la

Occupation allemande. Elle fait partie des Nouvelles pièces noires avec Jézabel (1932), Roméo et Jeannette (1946) et Médée (1953). L’Antigone d’Anouilh est inspirée du mythe antique, en rupture avec la tradition de la tragédie grecque. « L'Antigone de Sophocle, lue et relue, et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges1. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de