Prométhée enchaîné

nature, on peut se référer au mythe de Prométhée tel qu’il est repris par Platon dans Protagoras. Le mythe raconte comment Zeus charge le titan Epimêthée de distribuer entre créatures mortelles les qualités nécessaires à la survie. Epimêthée donne aux uns la vitesse, aux autres la force, etc…Le frère d’Epimêthée, Prométhée découvre que dans le partage une espèce a été oubliée : l’Homme. Celui-ci est resté nu et vulnérable, condamné à l’extinction. Prométhée vole alors au dieu Héphaïstos le dieu forgeron

symbolise très nettement le mythe de Prométhée, de façon métaphorique, l’homme a été « oublié » dans la distribution des instruments de survie (Epiméthée, le frère de Prométhée, ayant déjà tout donné aux animaux). Grâce au vol du feu et des techniques, Prométhée cherche à réparer une première injustice et à parer aux risques de violence et de destruction de l’humanité. Le « vol » semble pourtant répondre à une injustice par une autre. Sans oublier que Prométhée n’ayant pas eu le temps de dérober à

habitable –car la nature ne l’est pas immédiatement, alors la technique lui en donne les moyens). L’homme serait donc en partie défini par cette aptitude à inventer et à utiliser des techniques. Trois auteurs vont dans ce sens : 1) Dans le mythe de Prométhée, (dans le dialogue intitulé Protagoras), Platon suggère que, sans les techniques (qui sont une sorte de « don divin » ), l’homme ne pourrait pas vivre : il a été en quelque sorte « oublié » lors de la distribution qui à chaque animal a attribué « ce

Psychanalyse du feu il nous invite à aborder les différentes expériences et phénomènes liés au feu, notamment les rêves, les instincts sexuels, l’énergie du feu dans l’alcool ou l’idéalisation de force purificatrice du feu à travers les mythes de Prométhée, d’Empédocle, de Novalis ou de Hoffmann. L’Homme qui rêve sur la flamme relie les expériences vécues, son propre mémoire avec son imagination. L’imagination humaine est très puissante parce qu’elle est liée avec des structures, des complexes cachés

c'est-à-dire des traits communs à tous les hommes ou alors si pour l’homme tout ne serait pas transmis ou donné par l’éducation et le culture. La question est celle de savoir si l’homme est un etre de culture pas nature ou le contraire. Mythe de Prométhée : Prométhée fait rentrer l’homme dans la culture en lui apportant le feu. La culture aide l’homme à survivre par rapport a sa faiblesse, elle est donc une réponse a la faiblesse de l’homme ( culture se substitue a la nature . Rousseau : Pour lui la

fréquente avec lui Lord Byron et voyage en Suisse et en Italie. Un soir, la famille Shelley ainsi Byron et son secrétaire Polidori se lancent le défi d’écrire l’histoire la plus effrayante qui soit. C’est donc cette nuit que naît Frankenstein ou le Prométhée moderne. Mary Shelley est influencée par les théories du Siècles des Lumières notamment Le mythe du bon sauvage de Rousseau. Elle s’est également inspirée des progrès scientifiques et technologiques comme la médecine et l’invention de l’électricité

Il lui confie une besace pleine de protections (fourrure, cornes, sabots...) Mais le Titan est distrait, imprévoyant et lorsqu'il arrive à la race humaine, n'a plus rien à donner aux hommes. Nus et fragiles, les hommes sont voués à disparaître. Prométhée, constatant la négligence de son frère et ne voulant pas que les humains périssent, vole l'habileté à Héphaïstos et Athéna et le feu à Zeus pour les donner aux hommes et ainsi leur permettre de survivre. Grâce à l'habileté et au feu, l'homme « fut

de Prométhée Epiméthée, frère de Prométhée, distribua injustement les talents et dons aux créatures terrestres laissant l’homme démuni, sans armes ni protection. Prométhée vola le feu aux dieux pour le donner aux hommes, leur offrant ainsi la capacité technique pour survivre et se protéger. Mais Prométhée sera puni par Zeus. Ce mythe dit encore aujourd’hui l’ambiguïté d’une technique utile mais que l’homme ne parvient pas à maîtriser entièrement. (Pensons à Frankenstein, genre de Prométhée moderne

2nde2 ORIGINE : Certains traits de caractères de Don Juan sont également inspirés de mythes tels que celui de Orphée (le séducteur : celui qui, pour une raison particulière ou par un charme spécial, sait plaire) et de Prométhée ou encore Faust (le profanateur : celui qui défie Dieu/les dieux pour assumer sa liberté et son humanité). Avant que le personnage ne reçoive le nom sous lequel nous le connaissons aujourd’hui et ne sois repris par plusieurs auteurs, trois pièces furent jouées en

Un animal ne travaille pas et le travail va contre la nature : il est bien ce qui nous extrait du règne naturel, ce qui nous différencie de l’animal.. Le mythe de Prométhée (Platon, Protagoras, 320c-321c) questionne l’origine des techniques (et du travail lui-même). Le mythe raconte que deux dieux, nommés Epiméthée et Prométhée, avaient eu pour tâche de doter toutes les espèces d’attributs nécessaires à leur survie. Or, arrivé à la fin, il resta à Epiméthée, qui avait tout voulu faire seul, l’homme;