Prométhée

agir. • désirer : Tendre vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. • impossible : Fait qui ne peut être réalisé, qui sort des limites du possible. Irréalisable. Improbable. [pic] Le mythe de Prométhée, qui dérobe aux dieux le feu sacré de la connaissance, témoigne d'un certain désir de l'homme de dépasser sa condition et de porter son désir justement sur ce qu'il ne pourra jamais obtenir : le désir étant justement ce qui ne se satisfait pas de

Mythes, tel que le mythe de Prométhée est le mythe de référence en matière de la création de l’Homme, il est dit dans ce mythe que bien avant les Hommes mortels vivaient déjà les Hommes immortels autrement dit les dieux, qui décidèrent à un moment donner de créer les hommes à partir de Terre et de Feu, et de charger tout les êtres vivants de qualités naturelles, sauf que par l’insouciance d’Epiméthée il ne restait plus de qualités pour distribuer à l’Homme, lorsque Prométhée aperçut cet accident, il

chargèrent Prométhée et Épiméthée de leur distribuer les qualités leur permettant d’assurer leur subsistance. Épiméthée commença alors à donner à chacun des qualités selon ses attributs, comme par exemple des ailes pour s’envoler quand on est petit, des fourrures en guise de couverture, une forte fécondité pour les espèces fragiles vouées à disparaître. Mais dans sa répartition, Epiméthée oublia l’homme qui restait nu sans vêtements ni armes. Afin de lui donner le moyen de se conserver, Prométhée vola

Protagoras dans le Protagoras de Platon. Zeus, ayant confié à Épiméthée et Prométhée le soin de doter les animaux de l'outillage nécessaire pour leur conservation, Épiméthée aurait oublié l'homme dans sa distribution : celui-ci ne court pas vite ; il n'est pas fort ; il n'a pas de cornes pour se défendre ; il n'a pas de fourrure pour se protéger du froid, de sabots pour ses pieds... C'est pourquoi, pour compenser cette bévue, Prométhée doit voler au dieu Héphaïstos et à la déesse Athéna la connaissance

suggère que les vents sont semblables à des dieux, notamment dans deux expressions voisines au milieu de l'extrait : « une sorte de fanfare prométhéenne » et « Qui les entend écoute Pan ». « Une sorte de » établit une comparaison entre les vents et Prométhée, le Titan qui rendit les hommes maîtres de la nature en leur faisant don du feu. Mais cette image est aussitôt balayée par une phrase qui se passe de la comparaison pour nous introduire de plain-pied dans le monde des dieux : les vents ont la même

certains métiers. On peut alors parler de science appliquée. De plus la technique est l’une des grandes composantes du savoir-faire artisanal et industriel. La technique est selon sa définition une amélioration de la vie de l’homme. Le mythe de Prométhée explique bien la signification de cette amélioration. C'est-à-dire que quand Épiméthée distribue chacune des capacités, il oublie de munir l’homme alors l’homme ne dispose d’aucune supériorité sur le reste de la nature, il fait parti intégrante de

hantée par le désir d'atteindre cet impossible. Confronté à une nature dont il dépend, l’homme se libère des contraintes en inventant des technologies qui lui donnent autant de moyens de les dépasser. Le feu et la métallurgie, dans le mythe de Prométhée, illustrent bien ce caractère libérateur de la technologie : c’est désormais l’homme qui choisit de fabriquer telle ou telle chose, de donner telle ou telle forme. Plus les hommes gagnent en habileté technologie, plus ils dictent leur propre loi

Horla. - La parodie : reprise des procédés d'écriture d'un auteur demanière comique pour rédiger un nouveau texte. Le plus souvent, on peut les développer ou crée un décalage entre le style et la situation. Ex : inspirez-vous du mythe de Prométhée pour évoquer vos soucis d'organisation dans la vie quotidienne. -Comprendre la consigne et identifier les caractéristiques du texte (au brouillon) Analyser la consigne pour déterminer la nature de la réécriture. Identifier les caractéristiques

contrairement à ce que pouvait soutenir Protagoras dans le mythe de Prométhée, l’homme n’est pas cet être démuni, faible et désavantagé par la nature. Le mythe raconte comment à l’origine, les dieux ont réparti entre les espèces, les capacités leur permettant de survivre dans la nature. Victime de l’inconséquence d’Epiméthée qui a effectué la répartition sans réfléchir, l’espèce humaine se retrouve démunie. Pour compenser ce handicap, Prométhée vole aux dieux les arts et le feu pour que l’espèce humaine

= ensemble acquis. I – L'homme : un être en rupture avec la nature A – Le mythe de Prométhée • Explication mais pas rationnelle , imagination d'une histoire pour expliquer des situations réelles : mythe. • Origine : aucune différence entre l'homme et les animaux puisque tous mortels face aux Dieux. A cause d'Épiméthée : inférieurs aux animaux car démunis physiquement = condamné à disparaître. Prométhée donne le feu. L'homme va devenir supérieur. Feu = intelligence , capacité de fabriquer.