Promiscuité

vêtements hachés et sanglants, de paquets de chair humaine ». Il y expose les dures conditions de vie, « j'ai été pendant 4 jours souillé de terre, de sang, de cervelle ». Les soldats vivent dans le froid, la boue, la puanteur, l'humidité ambiante, la promiscuité, mais surtout dans la peur de l'ennemi, la peur de la mort qui est omniprésente, qui les terrasses. Le manque de sommeil mène parfois à la folie. De nombreuses maladies se développent dans les alentours des tranchées où gisent les corps de ceux

: ils font des cauchemars et revivent les assauts, leur repos n'est donc que partiel. Ce document, et particulièrement l'extrait 2, montre donc les horribles conditions de vie des soldats au front, notamment à cause du manque d'hygiène, de la promiscuité entre les morts et les vivants et de la configuration du lieu où ils devaient vivre : dans les tranchées, en pleine air, sans protection aucune. Cependant, ce document ne montre pas uniquement l'aspect des conditions de vie des soldats mais

Au XlXème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures : privés d’argent, affamés, ils manquent de logement sain, et vivent dans une horrible promiscuité. Les sciences et les techniques se développent considérablement. Les machines se perfectionnent sans arrêt. Malheureusement, les machines n’améliorent en rien les conditions de travail des ouvriers. Ces ouvriers veulent-ils une démocratie ouvrière oubliée depuis bien longtemps ? Veulent-ils leur liberté ?

Ruy Blas qui se plaisait dans ce monde de noblesse. Tout d’abord dans la scène précédente Ruy Blas déclare son amour à la reine qui, de plus, est réciproque comme en témoigne d’une part les dialogues mais aussi la mise en scène qui souligne la promiscuité du duo et la sincérité de leur amour. Cependant, dans la scène que nous étudions le retour de Don Salluste que n’avait pas envisagé Ruy Blas est marqué au début de la scène par la didascalie : « effaré » qui marque l’étonnement du personnage et

persan sans que personne ne le regarde. Or, dans une de ses précédentes lettres, il avait décrit Paris comme une ville bâtie en l’air donc extrêmement peuplée. En fait, les Parisiens vivent dans un même espace mais ne partage pas cet espace. La promiscuité n’entraine pas la proximité. On peut faire une analogie entre le couple proche et lointain. Les passants sont proches géographiquement de Rica mais pour autant, ils demeurent très lointains de lui. Ainsi, il semblerait que l’espace ne peut pas être

« bidonville » l'ensemble de baraques construites avec des matériaux de récupération: bois, carton, moquette, tapis, bâche, pour protéger des intempéries. Il peut y avoir jusqu'à une dizaine de personnes logées dans une seule cabane, dans ce cas, la promiscuité est un facteur favorisant la prolifération des maladies transmissibles. De plus, les terrains où les familles sont contraintes de s’installer sont souvent très boueux, dans ces conditions, il difficile de préserver la propreté des lieux, malgré

laisse emporter cette popularité. Mais un soir lorsqu’il a invité l’Archi-chantre de Canterbury (une personne très importante) et d’autres personnes pour voir le « sauvage » celui-ci ne veut pas sortir car John est épouvanté par l’Etat Mondial et la promiscuité de Lénina. L’Archi-Chantre, outré qu’on l’ait dérangé pour rien décide de partir sans oublier d’insulter indirectement Bernard. Bernard perd alors toute sa popularité et la rumeur de l’alcool dans son pseudo-sang alors oubliée réapparait. John s’attache

familiale, puis individuelle, et donc un besoin d’instaurer une distance à l’autre (pour l’épanouissement individuel). Chaque individu ne peut exister qu’en se distanciant des autres. Au sein de la bourgeoisie se développent une hantise de la promiscuité à la fois physique et morale, et un besoin accru d’espace dans l’habitat et dans la ville. On observe ainsi une dilatation des espaces, et l’apparition de la notion de seuil. Mais malgré toutes ces évolutions, les modes de vie collectifs anciens

intentions d'écrivain ? J'ai voulu peindre la déchéance fatale d'une famille | |ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l'ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la | |famille, les ordures de la promiscuité, l'oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement la honte et la mort. C'est de | |la morale en action, simplement. | |L'Assommoir

existe une hiérarchie entre les groupes humains, les races. Comportement qu'ont bien les Blancs à l'époque coloniale. Ainsi le cercle de Dangan se compose de deux entités distinctes: le quartier indigène fait de taudis et de cases en chaume, lieu de promiscuité, d’insécurité et de pauvreté; puis le quartier résidentiel abritant les services administratifs et les domiciles des chefs blancs. C’est un ensemble de bâtiments modernes à l’architecture coloniale avec toutes les infrastructures européennes [vestibule