Pronom indéfini

laisse prévoir, il a démissionné.Étymologiquement le mot rien est issu du latin rem, accusatif du nom féminin res, la « chose ». Dans une phrase, il peut avoir un rôle de pronom, de nom ou d'adverbe.Utilisation pronominale[modifier | modifier le code] Par son utilisation récurrente avec l'adverbe négatif ne, le pronom indéfini rien a pris en français moderne le sens négatif de « nulle chose » : « Je n'ai rien à vous dire. » (même si, à l'oral, cette phrase a tendance à être prononcée : j'ai rien

P2. Règle qui est une anti-règle et qui résume le 1er paragraphe où l’on constate une antithèse règle vs liberté, l’anaphore de la conj de sub. « quand » et le parallélisme qui insiste sur l’idée que tout acte relève de l’initiative personnelle : pronom « leur » et emploi de la négation redoublée « ni » (conj de coord.)/ « nul » (déter.ind.). -         règle faisant échos au sens étymologique du nom de l’abbaye. B - Son fonctionnement vie organisée par des activités avec importance du corps :4/5

deux interjections « Horreur ! » au vers 10 et 11, avec des points d’exclamation. « Sous sa pierre » est une allégorie de la pierre tombale donc la mort. 3- C’est seulement à la fin du poème que l’on comprend que c’est le poète qui parle avec le pronom de la première personne du singulier « moi » au vers 15. Tristan s’adresse à quelqu’un avec les verbes « Viens » (vers 6) et « Vois le » (vers 9). C’est quelqu’un de proche, puisqu’il n’y a pas de vouvoiement. Les tirets marquent le dialogue, seulement

noms Verbes V verbes Déterminants D articles, adjectifs démonstratifs, adjectifs possessifs, adjectifs cardinaux, adjectifs ordinaux, adjectifs interrogatifs, adjectifs indéfinis, adjectifs exclamatifs Pronom pro pronoms personnels, pronoms relatifs, pronoms possessifs, pronoms démonstratifs, pronoms interrogatifs Adjectifs A adjectifs qualificatifs Adverbes Adv adverbes Prépositions P prépositions Conjonctions C conjonctions     II Représentations de

affectée. II- « Le  désert des hommes » 5)      a)La figure de style utilisée est une anaphore : la répétition d'un mot ou d'un groupe de mots en tête de phrase : « on ne me… » b)     Le pronom « on » représente les hommes et les femmes qui croisent G.Sand. c)      A plusieurs reprises le pronom indéfini « personne » remplace « on ». d)     Les Parisiens sont désignés par « une immense foule » et « les passants affairés ». 6)      a) « Comme une chose » est une comparaison : G.Sand se compare

41 „la jouissance d’un temps si court“) -les arguments se l’auteur sont accompagnés par l’exemple concret-celui d’Émile (l.6 „Émile n’aura ni bourrelets, ni panier roulants.“) -Le texte est écrit á l'aide de pronom "on" jusqu'á la l. 37 oú Rousseau interpele le lecteur en utilisant le pronom"vous" („ Soyez humains, c’est votre premier devoir“) -Il s'adresse à chaque parent et à chaque maître comme à l’individue (l.44 „Pères, savez-vous“) -Il appele á la sensebilité des parents(l.37, 43) -Il nous

va beaucoup jouer tout a long du poème sur les pronoms qui concerneront l'humanité, où il usera du pronom « nous ». L'usage du « nous » est très important car le poète aurai pu utiliser « vous » ce qui l'exclurait, cependant en usant du pronom « nous » il s'inclue dans la réflexion et ne se considère non pas comme un guide, un mage, comme Victor Hugo, mais se rapproche du peuple et se concerne par la question qui est soulevée dans ce poème. Le pronom « nous » révèle aussi dans ce poème que l'on parle

pas à identifier cette femme et, donc, à décrypter ce rêve : « je l’ignore », v.9. II/ Une muse entre présence et absence 1° Une femme insaisissable Cette femme paraît insaisissable car le poète ne donne aucun indice d’identification : L’article indéfini « une » n’apporte aucun indice pour la caractériser. L’adjectif « inconnue » du 2ème vers conforte son caractère mystérieux. Il y a une absence de repère physique et de repère nominatif. Il y a une fausse information concernant la précision de son

- il répond sans émotion - acceptation de son sort (souligne l’horreur) est efficace a l’argumentation pour qu’on se révolte à sa place. - « nous » (esclave) -> pronom qui intègre toujours le locuteur et l’interlocuteur -> on s’identifie - « on » (maître) -> pronom indéfini -> le lecteur ne s’identifie jamais - « c’est à ce prix … » : - phrase cinglante - culpabilise le lecteur qui est européen - c’est comme

avantages » , tous les privilèges l.5.6 « Emplois lucratifs » l.6 - Système judiciaire et policer favorable l.9 à 13 «  toujours sur de l’impunité » Pouvoir social et politique l.13.14.l.17 18 parallélisme de construction avec utilisation du pronom indéfini «  tout » à valeur satirique dans «  Il dis un mot et tout se tait ». «  Il fait un signe et tout se range » Hyperboles «  toujours sur » «  toutes » «  aussitôt » +l.22 «  ils sont le droit de l’homme riche » : privilèges à priori indiscutables