Pronom indéfini

d'abord l'expression des sentiments personnels, intimes. On trouve ainsi de nombreux termes appartenant au lexique des sentiments. Ces sentiments sont bien ceux qu'a ressentis le poète : la première personne est fortement représentée dans le poème, le pronom personnel de première personne se trouvant quatorze vers sur les vingts que compte le poème. Et dans la préface, Victor Hugo parle de lui-même à la troisième personne, mais il précise bien que le livre est le résultat de sa propre expérience : « l'auteur

à la place de lʼindéfini « un » : « ce » devant « cheval », (1, 4), « ce » devant « monde » (5), sans présentation préalable de la situation dʼénonciation (à nous de la reconstituer) en employant un lexique flou pour évoquer les personnages : les pronoms personnels « leur » (1), « tous les trois », (1, 15), « eux trois » (7), ainsi que pour évoquer leur univers « leur coin de plaine » (6, 13-14) un univers 1 qui sʼinscrit dans un univers tout aussi vague « ailleurs » (9), le « monde » (9), le «

en vers il est en prose. L'étude de l'énnonciation indique que Prévert emploie le pronom"je" dans son poème et qu'il la tutois,cette personne s'appelle Barbara ,ce prénom éxprime une une relation de familiarité mais ce qui est surprenend c'est que l'auteur ne la connaît pas.D'ailleur l'auteur justifie d' avance qu'il n'est pas insolent:"je dis tu à tous ceux que j'aime,je dis tu a tous ceux qui s'aiment".Le pronom "il" se rapporte à l'homme qui attend Barbara sous un Porche,cet homme s'adresse à

impersonnelle l 3 « il manquait à ce pauvre homme » semble effacer la cause de l’emputation et les sentiments, les souffrances. *expression l 7 « c’est l’usage » : référence discrète au Code noir de façon neutre, sans contestation. *le pronom indéfini « on » dans le discours de l’esclave l 6, 9, 10... donne l’impression d’une objectivité, la responsabilité semble effacée. *une démonstration lignes 8 à 11 : la répétition du « quand » donne l’impression d’un enchaînement logique. L 11 terme

quintils), écrit en alexandrins, avec des rimes, sans ponctuation; cette structure est très régulière. Un discours - épitaphe. Le poème ressemble à un discours adressé à des absents, ou à une épitaphe pour ceux qui ne sont plus, désignés par le pronom personnel "vous" répété 6 fois (vers 1 à 11) Les qualités de ses absents, mises en avant dans la 1ère strophe, sont la dicrétion et la modestie. On le voit à la répétition de la conjonction de coordination "ni": Ces destinataires n'ont agi ni

et le temps de la situation de communication ou le point de vue du locuteur (les pronoms et déterminants de la première personne, l'aspect évaluatif et affectif des adjectifs dans ce texte) ; elle l'amène à étudier les actes de langage et le discours rapporté (les deux phrases en discours direct opposent ici un acte d'incitation à agir à un acte d'assertion). Enfin, quand on fait observer la reprise constante du pronom « je », en position thématique dominante dans ce poème, et l'organisation temporelle

la structure – La première phrase occupe les 4 premières strophes. La proposition principale figure au vers 16, et marque la nostalgie du bateau. Les vers précédents constituent des appositions diverses (noms, adjectifs, participes adjectivés, pronom personnel tonique+relative). Refaites le schéma de cette phrase afin d'être sûr de pouvoir l'expliquer. – La cinquième strophe est un retour au ton de la seconde partie du poème, consacré aux expériences. On note l'emploi du passé composé « j'ai

c'est la neutralité du ton qui frappe par l'emploi du pronom indéfini "on" au 2ème paragraphe. Tout est fait pour qu'au début on ne sache pas qui parle. Par la suite apparait la 1ère personne du pluriel à travers les pronoms ou les adjectifs possessifs "notre petite ville", "nos concitoyens", "chez nous" qui révèlent la présence explicite d'un narrateur inscrit dans le récit. Le narrateur appartient bien à la ville, l'indice est certain. Le pronom "nous" alterne avec "on", donc il faut se méfier de

nombreuses -> elles traduisent la valeur de certitude du discours de Vautrin. “ Tout ” + pluriel de généralité + présent de vérité -> discours universel “ la corruption est l’arme de la médiocrité qui abonde ”; présent de vérité général + pronom “ on ” (indéfini) -> universalité formule qui montre que le discours de Vautrin ne peut que se vérifier anaphores de “ vous verrez ” -> futur de certitude qui a valeur de vérité du discours -> discours “ prophétique ” (De plus on observe un parallélisme

POEME NARRATIF/LES ELEMENTS DU RECIT ● drame familial : V2-V3 = présentation du contexte, du cadre, insiste sur la simplicité du logis, « rameau bénit » = détail réaliste ● narrateur interne à l'histoire : indices d'énonciations : pronom personnel « on », pronom indéfini à valeur générale qui implique le lecteur dès le V3, « les notres » V18 (narrateur + les autres) ● personnages, « l'enfant » V1, puis les autres « une vieille grand-mère » V4, « nous » V5, qui implique encore le narrateur et les