Pronom indéfini

essentiellement comique de cette scène. Duel comique ; une rivalité amoureuse ? • Réplique 1 : Intervention de Pierrot physique et brutale qui se place en position de rival. Cependant il emploi des marques de politesse envers Dom Juan (cf. récurrence de pronoms vous).Pierrot se place supérieur à Dom Juan aussi bien physiquement que par le discours. • Réplique 2 : Dom Juan repousse brutalement Pierrot et il l’annule en faisant comme s’il ne l’écoutait pas. L’urgence physique existe bien chez Dom Juan.

L’utilisation de l’imparfait de valeur itérative vient renforcer l’idée de répétition et de lassitude : « on sortait, étaient chargés, il fallait… ». Emma est également seule, elle ne se mélange pas aux autres comme Flaubert le montre en utilisant les pronoms indéfinis « on » et « tout ». En effet, on peut être étonné de voir que les humains sont évoqués comme des objets : « tout rentrait chez soi. » Ils forment donc un bloc dont Emma ne fait pas partie. Un sentiment d’enfermement est également perceptible

l’exploitation des champs de canne à sucre. « Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main : quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe » Parallélisme de construction. On : pronom personnel indéfini à valeur généralisante. On suppose que cela désigne les esclavagistes autant que les maîtres. « Vanderdendur » : allitération en r et en d ce qui signifie la dureté et la méchanceté. (Vendeur dents dures) Phrase clée de ce passage : « c’est

« assourdissante » et elle hurle vacarme de la rue moderne, rencontre dans un café « je buvais » * Deux premiers quatrains : rencontre entre le poète « moi » et « une femme » * Présence pronoms personnels « moi, je » met en valeur poète avec irrégularité du rythme au premier hémistiche 1/3/2 * Titre poème, article indéfini « une » et adj possessifs « sa » et « son » décrivent femme * Contraste immobilité poète et mouvement femme, temps verbaux imparfait marque durée « buvais » ; emploi passé simple

mot passion, (que nous avons compté en trois syllabes, comme le veut la règle classique de la diérèse étymologique) apparaît à une place de choix comme équivalent attributif permettant de qualifier le mot tabac rappelé anaphoriquement par le pronom indéfini sujet (c’), premier élément du présentatif c’est, lui aussi opérateur de mise en relief. Cette équivalence est tout simplement une métaphore à but définitoire, choisie dans le domaine médical. En effet, ce mot vient du grec (pathos ‘souffrance’)

numéraux Les pronoms numéraux en français et en espagnol Difficultés de traduction Conclusion INTRODUCTION Nous allons étudier les adjectifs et les pronoms numéraux. Il s’agit d’une étude comparative entre la grammaire française et espagnole ainsi que des éventuelles difficultés de traduction LES ADJECTIFS NUMÉRAUX EN ESPAGNOL Les adjectifs numéraux délimitent avec exactitude l’extension quantitative du nom précédent. Quand ils remplissent la fonction de pronoms, ils remplacent

(L18) a une valeur d'irréel qui reprend la phrase de Carmen (L9) changement des pronoms et l'adverbe de temps « encore » est celui de son espoir. Le narrateur insiste sur ses actions désespérées: (L16) rythme ternaire de phrases courtes juxtaposées qui marquent sa totale soumission dans cette attitude de suppliant. José va jusqu'à faire des promesses folles (L17) car il en perd la raison, plus répétition du pronom indéfinie « tout », qui peut avoir une valeur hyperbolique. Face au refus persistant

engloutirait » => avaler avec avidité par excès de gourmandise et avec une rapidité excessive ; « on les engloutirait sans rien en laisser perdre » procédé d’insistance puisqu’on a deux verbes qui veulent dire la même chose et qui sont précédés par le pronom indéfini « rien » : jouissance de tout poussée à l’extrême. - Tous les pluriels : « les tripes », « des bœufs », « salaisons », « trop de gaudebillaux » : adverbe intensif « trop » qui suggère l’idée d’abondance + « en abondance », « copieuses »

collaborateurs, accumulation de 4 noms Collaborateurs = Allemands   4)A qui s’adresse le poète ? Quel est le registre de langue utilisé ? Comment peut-on qualifier le ton de ce poème ?   S’adresse à V.Hugo : « Père Hugo », adj possessif « ton », pronom personnel « tu ». Registre de langue familier : « Père Hugo », « te retourner » (expression familière), « racaille », « le bonhomme ». Ton familier. Hugo semble très proche (cf. « voici »), présenté comme le père des Français, le père de la patrie

de la société. Il porte un regard de moraliste sur le monde et utilise le registre didactique afin de persuader lelecteur de la vanité de la Cour. Le présent de vérité générale (très utilisé pour les maximes et sentences), et l’usage du pronom personnel indéfini « on » (« l’on court … l.1 l’usage du « l’on »transforme l’accusation en proverbe) permettent au lecteur de s’identifier avec les propos de La Bruyère, d’entendre sa critique et d’adhérer à ses sentences morales. Il utilise des phrases injonctives