Pronom indéfini

étranglé » = maladresse ridicule ex : « ils firent une ronde » + « farandole » = caractère enfantin des religieux, en décalage avec la situation et la tristesse des proches de Chloé. 3. Une cérémonie déshumanisée ex : « quelque chose » = pronom indéfini masculin : corps de Chloé assimilé à une chose + imprécision ex : le corps de Chloé = désignée par son corps, n'est plus un être humain. ex : « le déclic » + « vieilles salopettes d'huile » = les employés sont assimilés à des mécaniciens + le

Sujet qui est une expression de quantité Beaucoup de, Dizaine, douzaine et centaine, Fraction et pourcentage, Moins de deux, Peu, Plus d'un, Somme d'argent, Tant de Sujet qui est un pronom relatif Qui, précédé d'un attribut, Un des… qui, un de ceux qui… Page 2 sur 26 Sujet qui comporte un indéfini Aucun, Chacun, Tout le monde Sujets joints par une conjonction De même que, En collaboration avec, L'un et l'autre, L'un ou l'autre, Sujets neutres coordonnés, Sujets unis par autant

rencontrée.B- Une femme mystérieuse et duelle. (deux cotés.)- Charme → mystère qui l'entoure. Ni le titre, ni le poème ne donne d'indication précise sur l'identité de la femme (article indéfinie « une », titre et vers 3)- Le poète ne fait que la voir. - Dualité de sa personnalité . (Vers 8) construction parallèle= nom + pronom relatif + verbe. Mais en force contradiction. Dualité = femme dans l'univers baudelairien → femme sœur/ mère et femme fatale. - (Vers 7) → violence terrible et destructive dissimulé

les personnes qu’il cherche à remettre en cause dans son réquisitoire, leur jugement, et cela de plusieurs façons.«L’état-major» on peut y voir ici une autre façon de parler des forces militaires dont Dreyfus est l’un des capitaines, « ils » un pronom indéfini qui est implicite, ou encore « Commandant du Paty de Clam » qui lui est cité très explicitement. Dans cet extrait le thème principal de l’argumentation d’Emile Z. est la contestation du contenu et de la conclusion du procès à l’encontre

le Loup est contredit par les mots connotés négativement qui sont associés à ce personnage. - l'argument final du Loup se développe sur trois vers, avec une énumération qui s'efforce, sans y réussir, de convaincre définitivement, avec un jeu de pronoms : "tiens" "vous" "vos" "vos" qui permet au Loup de généraliser abusivement ; il fait en sorte que cet argument ressemble à un argument d'autorité. - "on" "il faut que" : une sorte de rumeur non-identifiée. Son acte semble légitimé par une autorité

logos rhétorique ». Il tient donc un discours délibératif, ce qui confirme sa stature de chef politique. Toutefois, son propos est biaisé. L’usage qu’il fait des pronoms suggère son désir de pousser une tierce personne à se sacrifier à sa place. L’emploi de la 1ère personne du pluriel (v.18, 19, 21, 23, 24) et celui du pronom indéfini « on » (v.22) laisse entendre que la démarche qu’il initie doit être suivie par tous et que le plus coupable est probablement quelqu’un d’autre. Sa péroraison est

(ligne 1 et 2 : On fait... les entend). La thèse est implicite : hostilité de Rousseau à l'apprentissage des fables de La Fontaine par les enfants. Il critique donc une pratique éducative, déjà à l'époque, bien implantée à l'école. D'ailleurs le pronom indéfini « on » désigne les professeurs, les éducateurs, et les maîtres d'école. Dans ce même paragraphe, Rousseau va étayer son point de vue sur 2 arguments qu'il développera par la suite : les enfants ne peuvent pas comprendre les fables même si c'était

On a un poème en trois strophes inégales, sans rimes et sans signes de ponctuation. C’est une étude linéaire qui est proposée. Première strophe · On a la répétition/anaphore « un homme est mort »… Pourquoi « un » ? Article indéfini, ce n’est pas un homme nommé, universalisation du héros, généralité. · Notion antithétique de la mort et de la vie. Les trois relatives « qui… » souligne l’humanité du héros et son pacifisme. · On remarque également le passage

mon père " ma mère" .. Expériences personnelles du locuteur " j'étais prisonnier" A Perdu tout son "cher" passé "( on m'a volé ma femme .. ) Victime, martyre de la guerre : identification d'homme du XXème siècle, mieux saisir le message. Pronom indéfini " on" : qui représentes les coupables ? Reprend toutes les personnes à l'origine de ce mal. L'expression de la révolte est bien caractérisée dans ce texte. Avant d’écrire ce poème la France ce trouver dans le contexte de la fin de la

histoire sur une suite d’images ; faire des hypothèses sur le contenu d’un livre au vu de sa couverture et de ses illustrations. Dans tous les cas, Echanger, s’exprimer - Entrer en relation avec autrui par la médiation du langage. - Utiliser le pronom « je » pour parler de soi. - Répondre aux sollicitations de l’adulte en se faisant comprendre. - S’exprimer, dire des comptines très simples, chanter devant les autres. - Commencer à prendre sa place dans les échanges collectifs. - Se faire comprendre