Pronom indéfini

féminité et « je » qui est le poète. Le personnage féminin est mystérieux. Il est simplement désigné par le pronom personnel. La jeune fille est à peine décrite : deux traits la caractérisent : - la beauté : « comme une fée » - l’aspect négligé ( « déchaussée », « décoiffée » et « pieds nus ». L’adjectif donne un caractère sensuel à la scène. Le personnage masculin est d'abord évoqué par le pronom personnel « moi ». Il s'agit du poète. Il est, comme souvent dans les poèmes de V. Hugo, un passant,

des ravages de la misère et de l'alcoolisme. Misère sociale, mort bref la réalité. Dans cet extrait : La défunte "Gervaise" et le père Bazouge dit le "consolateur des dames". On peut aussi noter la présence d'autre personnage anonymes avec le pronom indéfini "on". - Lecture extrait. - Idée générale : - Dégringolade de Gervaise vers la mort. - Structure générale : -5 paragraphes et 2 parties : - Focalisation zéro qui se concentre sur Gervaise et sa vie dégradante, comment elle

population vers la zone libre, population poursuivie par « la haine » vers 10 → présence de l'ennemi sur le territoire français « sur nos plaines » vers 1 C. un ennemi mystérieux → ennemi non nommé (Allemagne nazie) → utilisation du pronom personnel indéfini « on » vers 2 → différentes désignations : « ennemi » au singulier vers 4, la « haine » vers 10, « les corbeaux » vers 1 (corbeau symbole de mort ≠ aigle noble et royal) → ennemi associé à la couleur noire vers 1 et vers 15, couleur de

petite » « pâle » « une étoffe qu'il avait vue sur plusieurs femmes » « ternes »), plus Aurélien semble être marqué par elle : l'obsession apparaît avec la mention du verbe « repenser » et la gradation « remettre en tête » « hanter » « obséder ». Les pronoms de la troisième personne sont omniprésents. L'amour est donc placé sous le signe du paradoxe et ne se dévoile que de façon détournée et subtile. 3) L'annonce paradoxale d'une relation amoureuse La digression finale semble faire progresser l'intrigue

que souligne le recours au déterminant possessif « ses » dans le groupe nominal « ses gens », qui réduit les domestiques à de simples possessions dont il peut user selon son bon vouloir. De la même façon, dans le groupe verbal « lui devaient », le pronom personnel en position de COI témoigne de ce que le vieillard se prend pour l'unique centre d'intérêt de son entourage dont le verbe devoir souligne les nombreuses obligations. La vie des autres doit tourner autour de la sienne. L'image de « l'état

personnel de l’auteur. a)un récit à la première personne : Il s’agit d’un récit à la première personne. La présence insistante d’indices personnels de 1° personne marque la volonté de l’énonciateur de se donner une place dans la scène : les pronoms personnels «je » (3 fois) et « moi » ; l’adjectif possessif « le mien ». b)un narrateur qui s’identifie clairement à l’auteur : La précision « j’allais à la Chambre » suggère d’identifier le narrateur avec l’auteur lui-même : une note nous

système dʼénonciation. En particulier, vous devez relever et commenter les pronoms (ou autres) qui permettent de savoir qui parle, et donc «dresser la liste» des divers intervenants, Vous étudierez également les figures de style les plus marquantes (champs lexicaux, vocabulaire) et vous direz en quoi elles permettent dʼéclairer le point de vue de Prévert sur le fait rapporté. 2.1 Etude de lʼénonciation Malgré lʼabsence de pronoms personnels renvoyant directement aux rôles du locuteur et et du/des récepteurs

et des ensembles plus complexes : syntagmes prépositionnels et subordonnées. 2.1. Délimitation du SN D'une manière générale, on peut délimiter les frontières d'un syntagme par la pronominalisation ; l'ensemble des unités qui sont reprises par un pronom appartiennent au même syntagme : 23. [Les enfants] sont sortis [Ils] sont sortis [Les enfants de Marie] sont sortis [Ils] sont sortis *Ils de Marie sont sortis => de Marie appartient au SN [les enfants de Marie] [Les filles que j'ai vues hier] sont

consiste à remplacer un mot ou une phrase par : 1- Un pronom personnel : il, elle, ils, elles, le, la, les, l’, leur, lui, me, te, se, nous, vous, en, y (pronoms adverbiaux)… 2- Un pronom possessif : le mien, la tienne, les siens, le nôtre, la nôtre, le vôtre, la vôtre, le leur, la leur, les leurs, les nôtres, les vôtres… 3- Un pronom démonstratif : celui, celle, ce, ceux, celles, celui-ci, ceci, ceux-là, celle-ci, cela, ça, celles-là… 4- Un pronom relatif : qui, que, dont, lequel, laquelle, lesquels

scène dépeint le portrait du libertin de mœurs qu’est Dom juan. Dans un premier temps nous verrons comment Dom juan généralise son propos , puis comment fonction cette éloge et en quoi est il paradoxale. 1. dans un premier temps du pronom personnel indéfini « On », et personnel « nous » : « qu’on se lie », « qui nous prend », les caractère impersonnel et universel. Ensuite il employe première personne du singulier : « Pour moi », « je cède facilement »…il montre qu’il expose une conviction personnelle