Pronom possessif

souhaite montrer qu’elle souffre en utilisant ces termes. Dans ce texte il n’y a pas l’utilisation de la troisième personne mais de la première personne du singulier avec le pronom et les adjectifs possessifs présent dans ce texte : « Mon » (v 271), « Mes » (v 275), « Je » (v 270, 275, 280…). Avec l’utilisation de ces pronoms, le personnage raconte et explique ce qu’il endure. Puis ce texte est représenté sous forme de monologue. Seule Phèdre s’exprime dans cet extrait. Le monologue est présent seulement

l’expression d’un « je ». On relève donc des indices de 1ère personne (V6/V10), des déterminants possessifs (V7/9). S’ajoute a cela les deux points d’exclamation qui marque l’émotion du poète qui est dû a l’apparition de la jeune fille. II) La description de la jeune fille A) Evocation de la jeune fille La jeune fille n’est pas nommée dans le poème. Elle reste inconnue. Apparaisse seulement le pronom « Elle » v1, la répétition du mot « jeune fille » et également « la seule » : Elle est unique et

Cependant, c’est un individualiste en puissance doublé d’un opportuniste = c’est un texte centré uniquement sur ce personnage cf pronom « il ». Phénomène doublé par les jeux de miroir. Le miroir reflète son image : ça le rend plus présent qu’il ne devrait l’être cf « c’était lui même » « en lui même » + possessifs = marques de l’égocentrisme « son » « sa » « ses » + pronoms réfléchis « se regardant » « il s’étudia » « se tendit la main » « se contempler » « s’affoler » capacité à s’observer, estimer

l’envahissement de la passion qui occupe tout : corps + âme  c’est une forme de dépendance. On oublie le reste du monde. Celui qui provoque la passion est absent (déréalisé) car il n’y a pas de marque de la 2ème personne. Le pronom "je" apparait treize fois, en plus des pronoms et adjectifs possessifs de la première personne (me, mon, ma). C'est donc bien une lamentation, mais centrée sur elle-même. La femme souffre d'un tourment qui ne peut venir que d'un homme (ou peut-être de plusieurs?) •Utilise-t-on une

déterminant : un, l’, quel, cet, son, aucun, leur des, les, quels, ces, ses, trois, leurs -L’opération de substitution permet de savoir si un mot est un déterminant ou non. Ceci permet de distinguer notamment les articles « le, la, les » des pronoms personnels qui prennent la même forme. Exemple : La tortue sauta sur l’escargot et l’écrasa (l’escargot et l’écrasa se ressemblent)  La tortue sauta sur un escargot et un/une /son/chaque…écrasa (la substitution est impossible, « l’ » n’est donc

s’instaurent entre Rilke et Kappus dès le début de la correspondance. On remarque : →l’abondance de « vous », pronoms personnels sujet ou complément (surlignés en orange dans le texte) et son corollaire d’adjectifs possessifs de la deuxième personne « vos vers », « votre vie ». On remarque l’anaphore initiale martelant le pronom et instituant la relation maître élève. →la rareté des pronoms personnels de la première personne désignant Rilke voire totalement absent dans une grande partie de la lettre

Français collaborateurs, accumulation de 4 noms Collaborateurs = Allemands   4)A qui s’adresse le poète ? Quel est le registre de langue utilisé ? Comment peut-on qualifier le ton de ce poème ?   S’adresse à V.Hugo : « Père Hugo », adj possessif « ton », pronom personnel « tu ». Registre de langue familier : « Père Hugo », « te retourner » (expression familière), « racaille », « le bonhomme ». Ton familier. Hugo semble très proche (cf. « voici »), présenté comme le père des Français, le père de

lyrisme au 16ème siècle. V9 « Ainsi Amour inconstamment me mène » * +La nature (métaphores naturelles : eau ;feu ;végétal) V1  « je me brûle et me noie » V8  « je sèche et je verdoie » * Expression de l’amour à la 1ère personne ,importance du pronom « je » dès le début du poème V1  « je vis ,je meurs ;je brûle et me noie » (3 occurrences) * Champ lexical de l’affectivité Plaisir ( je vis,je ris) souffrance (je larmoie ;j’endure ;je meurs) b) Dualité des sentiments * Organisation

l’abbé. L’expression « il excellait en basses intrigues » est une hyperbole : il exagère le diabolisme de l’abbé. Elle est aussi proche de l’oxymore, en effet on ne peut pas exceller dans l’horreur. Il y a donc la présence d’ironie. La répétition du pronom personnel « il » aux lignes 11 et 12 est une anaphore qui rythme le texte, tel un animal qui gratterait la terre. Ce procédé fait parti de la métaphore filée qui tend à l’animalisation dans les lignes 11 à 16. Elle est amorcée par les mots cheminant

le spectateur. On perçoit les sensations du comédien sur scène. Le lecteur ou le spectateur a des informations sur les pensées, les réflexions du personnage. D'autre part, on remarque qu'il y a l'utilisation répétitif du pronom personnel "Je, j'ai" ainsi que des pronoms possessifs "Mon, Ma.." qui montrent que c'est un monologue. 2) Le texte de Samuel Beckett mélange tragique, comique et lyrique. En effet, on peut dire qu’il est tragique car leur destin est fatal « Venais à mourir » ( l10), « Plus