Pronom possessif

faire le son [s] entre deux voyelles il faut mettre deux s. Un seul s entre deux voyelles donne le son [z]. La lettre s entre une consonne et une voyelle donne le son [s] Règle n°12 : On / Ont On remplace quelqu'un, il ou elle. C'est un pronom qui accompagne le verbe. Ex : On frappe à la porte (Quelqu'un, il, elle) frappe à la porte. Ont est le verbe avoir au présent. Il peut être remplacé par avaient. Ex : Ils ont terminé le journal Ils avaient terminé le journal. On

; il croit être « le plus beau du monde » et commet là une « erreur profonde » Cet homme antipathique se vante de sa prétendue beauté: il est narcissique. Dans sa moquerie, La Fontaine instaure une connivence avec le lecteur par l’emploi du pronom possessif « Notre » dans la métaphore « Notre Narcisse » (vers 11), qui est une référence au mythe de Narcisse, dont cette fable s’inspire directement. Toutefois, on remarque que le mythe est inversé : si dans les Métamorphoses d’Ovide, Narcisse, très

Exemples choisis « On sait assez que ce n’est pas la campagne que se commettent les grands crimes, excepté peut être quand il y a trop de fêtes, qui forcent l’homme à l’oisiveté, le conduisent à la débauche ». Ce premier exemple est introduit par le pronom personnel « on » qui donne une impression de vérité : le verbe qui suit « sait » est d’ailleurs conjugué au présent de vérité générale. Par la ponctuation, Voltaire réalise une gradation positive et met en scène le rapport cause/conséquence d’un point

exhibe son amour dès la première réplique comme le montre la phrase « Je t'aime, Rosette !». Celui-ci exhibe également l’image du couple à travers l’emploi du pronom de la deuxième personne du pluriel « nous » : «approchons-nous », « nous reparaissons », « Nous vois-tu tous les deux » ainsi que par des adjectifs possessifs et des pronoms de première et deuxième personne du singulier dans pratiquement chacune de ses phrases : « nos beaux jours passés », « notre amour », « prends ta part de ma vie

L'Arabe → Article défini / Majuscule pour le nom commun : illusion de nom propre qui définit. Camus désigne l'Arabe, c'est celui là et pas un autre. A tiré → Verbe d'action au passé composé : Référence à l'arme à feu / Son couteau : Déterminant possessif + arme blanche → marque la violence de l'Arabe Il m'a présenté → le sujet est l'Arabe, le COI qui désigne Meursault est placé devant le verbe au passé composé : Meursault subit l'action Dans le soleil → CCM : 1ère apparition de l'environnement

foule, troupe, La majorité, la minorité, La plupart, Nombre de Sujet qui est une expression de quantité Beaucoup de, Dizaine, douzaine et centaine, Fraction et pourcentage, Moins de deux, Peu, Plus d'un, Somme d'argent, Tant de Sujet qui est un pronom relatif Qui, précédé d'un attribut, Un des… qui, un de ceux qui… Page 2 sur 26 Sujet qui comporte un indéfini Aucun, Chacun, Tout le monde Sujets joints par une conjonction De même que, En collaboration avec, L'un et l'autre, L'un ou

« Je suis né sous le signe de Saturne », dans l’antiquité un dieu considéré comme redoutable : le titre rappelle l’idée d’une malédiction qui pèserait sur lui. Le titre du poème, lui, »Mon rêve familier », traduit, par le choix de l’adjectif possessif, l’expression personnelle, et évoque un état récurrent. On pourra donc y lire la vérité profonde du poète. Comment le rêve devient-il la représentation de l’idéal amoureux ? LA PRÉSENTATION DU RÊVE Le sonnet s’ouvre sur la présentation du rêve

n'arriverait que le lendemain.   (jour) prochain => Le (jour) suivant Il a terminé par: 'j'espère qu'elle n'arrivera pas quemardi prochain'! Il a terminé en lui disant qu'il espérait qu'elle n'arriverait pas le mardi suivant. Les modifications des pronoms dans le style indirect en gardant toujours les concordances de temps précédentes. Vous voyez qu'il faut être logique avec la situation. Il/elle m'a dit : 'Je suis là' Il m'a dit qu' il/elle était là Il m'a dit : 'Tu viendras aussi!' Il m'a dit

« Je suis né sous le signe de Saturne », dans l’antiquité un dieu considéré comme redoutable : le titre rappelle l’idée d’une malédiction qui pèserait sur lui. Le titre du poème, lui,  »Mon rêve familier », traduit, par le choix de l’adjectif possessif, l’expression personnelle, et évoque un état récurrent. On pourra donc y lire la vérité profonde du poète. Comment le rêve devient-il la représentation de l’idéal amoureux ? LA PRÉSENTATION DU RÊVE Le sonnet s’ouvre sur la présentation du rêve

qui rappelle le lyrisme. II / - Le lyrisme 1)L’expression personnelle _tous les « je » + « ma joie», « mon malheur » = « je » : pronom personnel ; mon/ma : pronom possessif intimité installée, on se sent plus proche (=caractéristique du lyrisme) _présent de vérité générale ? (Ou de narration ??) = >universel (en effet on peut penser que l’état de la passion est toujours identique)