Pronom

 sur état sud où ségrégation + virulente  II.Un discours qui cherche à persuader (stratégie argumentative)    A) Implication de l’orateur   ­ ​ omniprésence du pronom “je” → engagement narrateur  ­​  références religieuse “crédo” (l.5) et citations bibles (l.24 et 25)    B) Implication des auditeurs   ­​  pronoms “vous” (l.1)  ­​  pronoms “nous” omniprésent (l.27/30/54)  ­​  apostrophe “mes amis” (l.1) → interpellation → proximité   ­ ​ adverbe “ensemble” (l.30/32)    C) Appel à des valeurs patriotiques 

jusqu’au vers 955, où il demande explicitement à Elmire de décider de son bonheur. 2°) Les pronoms de la première personne passent du pluriel de généralité au singulier de Tartuffe. Le passage se fait très rapidement, après trois vers au pluriel (933-935), l’occurrence suivante (941) est au singulier : « L’amour qui nous attache » « nos sens » « n’étouffe pas en nous » / « et je n’ai pu » Les pronoms de la deuxième personne passent du pluriel vague incluant la troisième personne (les femmes 

belle folâtre » V11, « la belle fille » V15), ce qui semble lui suffire pour tomber amoureux. Le personnage féminin est indiqué par le pronom « elle », tandis que le personnage masculin est indiqué par le pronom « je ». Nous supposons donc que ce dernier est l’auteur et c’est une autobiographie, un souvenir de jeunesse. On trouve, tout au long du poème, un jeu de pronoms, et les deux personnages ont une importance équivalente : au V1, « Elle » est deux fois sujet ; au V3, « moi » et « je » sont sujets ;

inconnue »), le pronom personnel (« elle » - pronom répété six fois), les déterminants possessifs (« son », « sa »). Elle est le sujet de la plupart des verbes. La polysyndète (= répétition d’un mot de liaison plus que la grammaire ne l’exige) : en effet, la conjonction de coordination « et » (répétée onze fois) relie tout à cette femme, comme les fils d’une toile dont elle serait le centre. 3° Une femme idéale Une femme qui incarne l’amour sensuel : amour dont elle est l’objet (pronom relatif COD

contre les Européens en plusieurs étapes et par différents éléments. Le pronom « nous » désigne le vieillard et les Otaïtiens, créant la force du discours et illustrant la cohésion du peuple. Le vieillard oppose au « nous » le pronom personnel « tu », qui désigne le navigateur Bougainville. En effet, le vieillard déclare qu’ils sont « deux enfants de la nature » et donc qu’ils sont égaux pour blâmer leur violence. Les deux pronoms « nous » et « tu » s'opposent. Le « tien » et le « mien » véhicule la

est un nom précédé d’un article défini ou d’un partitif : Argan est un malade de M. Purgon. Enfin, cette information peut avoir une valeur d’identification avec un attribut constitué d’un article défini et d’un nom, d’un nom propre ou encore d’un pronom démonstratif. Les deux termes mis en valeur renvoient à la même identité et la relation peut-être inversée : M. Purgon est mon médecin / mon médecin est M. Purgon. L’attribut exprime donc la qualité ou la propriété que l’on attribue à un autre terme

Le poète espère un temps pouvoir s’unir avec cette passante et nouer une relation avec elle. Le désir d’union se matérialise de différentes façons dans ce sonnet . Le chiasme « car j’ignore où tu fuis , tu ne sais où je vais », fait alterner les pronoms « je » et « tu » de manière symétrique , comme si le poète cherchait à les rapprocher l’un de l’autre. Les rimes embrassées des deux quatrains peuvent également corroborer ce désir d’union. De même l’alternance de rimes féminines et masculines dans

infinitif passif (= soumission) « être battue »). · Humour noir, chez le Curé : chiasme v22 et 23 ; association avec « tous deux », « de compagnie » ; euphémisme -> mort (chp lexical du déplacement, de l’accompagnement ; verbes de mouvement) ; pronoms possessifs qui lient le Curé et le Mort jusque dans le trépas. · Cruauté : au paroxysme de la joie survient l’accident (« Perrette là-dessus saute aussi, transportée » : »Sur cette agréable pensée »). Responsabilité : le Curé subit (« un heurt survient

entre sujet et objet, évitée grâce à l’emploi de la préposition12. Ce trait concourt à une confusion que l'on rencontre dans l'usage des pronoms compléments directs et indirects (phénomènes qualifiés de Leísmo, laísmo et loísmo, le premier étant considéré comme correct dans certains cas d'un point de vue académique). L'espagnol fait fréquemment usage d'un pronom complément indirect redondant en cas de présence du groupe nominal référent : le digo a Carmen : « je dis à Carmen » (littéralement : «

encadré par des guillemets. Parfois, dans un dialogue : un tiret et pas de guillemets pour encadrer les paroles. Dans le cas d'une citation, les guillemets peuvent aussi être remplacés par le discours mis en italique. . Un système particulier des pronoms personnels et des temps verbaux : je / nous (locuteur) ; tu / vous (interlocuteur) ; il / elle / ils / elles = celui / celle / ceux / celles dont on parle. Les temps verbaux sont ceux de l'énonciation au moment où la parole est produite. Une ponctuation