Prosopopée

le personnage semble provoquer la mort de son entourage comme le sous-entend la périphrase euphémistique « triste fin pour tes cheveux gris » (l. 19-20).Cette réplique se clôt dans un double mouvement par une question rhétorique introduisant la prosopopée : « tu es la mère de nos malheurs ». Ce procédé permet de souligner la situation pathétique dans laquelle se trouve Marie et le malheur dont elle se sent accablée. Précisément, ce malheur est si vif qu’elle en désire la mort comme le montre la question

Rousseau I)Présence de l'énonciation -"je" se prend comme objet de son écriture -le texte seul ne montre pas que c'est une autobiographie, il faut s'aider du paratexte -présent d'énonciation -allusion à l'apocalypse "la trompette sonne" -prosopopée (faire parler quelqu'un qui n'est pas présent II) la promesse d'une sincérité unique -il parle d'une entreprise= commencer quelque chose -cette page a put être écrite à la fin du livre -lexique de la vérité de la nature:"tel que je fus"

paraître, sembler, ressembler à, avoir l’air, prendre l’allure, faire penser à, on dirait que, de même que, ainsi que… Ex : la route se déroule ainsi qu’un ruban / les tiges blanches semblaient une rangée de fantômes. * La personnification ou la prosopopée: elle consiste à faire d’un objet ou d’un être inanimé un être vivant. On prête tout ce qui appartient à l’humain (gestes, paroles, sentiments…) à des êtres inanimés, des animaux, des choses. Ex : L’arbre étend ses bras dans la nuit froide / les

contre le temps, tout d'abord par la domination omniprésente du temps dans ce poème et ensuite par la menace de la mort qui s'y associe. I- Le temps dominant 1) Le temps et ses attributs Le temps est personnifié dans tout le poème: - par la prosopopée de l'horloge, c'est elle qui parle tout au long du poème au discours direct ==> Mise en scène du temps, ce qui lui donne de l'importance - on a un discours dans le discours (mise en abime) vers 10 "la Seconde chuchote" et vers 11"Maintenant dit:

qui témoigne une insistance excessive pour montrer une qualité, un avantage pallier (+cod) : déguiser, présenter sous un jour favorable en dénaturant la vérité, atténuer plaidoyer : exposé oral ou écrit en faveur d’un système ou d’une idée prosopopée : figure de rhétorique qui consiste à faire parler un mort, un animal, un personnage imaginaire ou une chose personnifiée récuser : refuser d’accepter (en tant que juré, expert ou témoin), contester, n’accorder aucune valeur registre : tonalité

mémorialiste précis. De Gaulle utilise beaucoup d'images pour amplifier son personnage et l'image de la France, en effet, il utilise notamment des métaphores, de la poésie ou encore certains registres. Il fait parler la nature cela se nomme une prosopopée , cela se situe dans l'excipit, se trouve également un parallélisme, les phrases sont égales, avec l'anaphore « vieille », cela montre un rythme ternaire. De Gaulle se place au dessus des combats stériles, il a une volonté stérile, celle du cycle

tolère la religion chrétienne 372 : Le christianisme devient la religion officielle de Rome Pour les latins toute image possédait une force présentielle appelée MANA. Toute image de lʼempereur devient lʼempereur, par une personnification (prosopopée). Charles Peirce décompose lʼimage en 3 catégories : -L'icône : Renvoi au modèle par ressemblance. -Lʼindex, Lʼindice, Lʼempreinte : Constitue une présence par lʼabsence. -Le symbole : Renvoi au modèle par convention. Quelques exemples : -Les

pluriel met l'accent sur la répétition tout comme l'adverbe « quelquefois » : comme si le roi en avouant le plus grave s'attirait l'indulgence( faute avouée, faute à moitié pardonnée, dit-on). la morale est un constat , Cruauté de la justice Prosopopée: faire parler les morts → héroïsme/ déesse divinisée. Anthithèse dans le vers suivant : » eut un présent, bien loin d'être puni » Ces deux fable nous montrent un roi féroce et cruel. La morale dénonce la cour et sa lâcheté ainsi que la responsabilité

pièce3 volets : « Le sang des femmes » ; « La dernière vertèbre » ; « Le don des larmes »Scènes numérotées qui portent chacune un titre (qui donne déjà des pistes d’analyse)Certaines des scènes sont des récits de personnages, parfois sous forme de prosopopée (1er volet : sc. 10, p. 51-53 ; 2e volet : sc. 1, p. 73 ; sc. 3, p. 80-80 ; sc. 15, p. 113-114 ; 3e volet : sc. 1, p. 117-118 ; sc. 5, p. 126-129).La temporalité et les divers moments de l’intrigue (contextualisation) :« Le sang des femmes » :·

arts (1750) Le Discours, (il faut prendre encore ce mot dans son sens latin: discursus, exposé, dissertation) se compose de deux parties : la première est un exposé historique, une suite d’exemples tirés de Sparte, d’Athènes, de Rome (ici se place la prosopopée de Fabricius) et des États modernes ; la seconde est l’explication théorique et philosophique de cette loi constatée par l’histoire : les lettres et les sciences corrompent les mœurs. Toute science, tout art, est né, dit-il, d’un vice correspondant