Prosopopée

de tous. Ed parle de  « ça » Nan « faites le » paroles rapportées de son père. Pronom personnel anaphorique sans antécédent. Bess évoque ce qu’elle a fait Personne ne met un nom sur la chose, personne ne prononce le mot d’anthropophage. B. Prosopopée. Nan pense à son père mort et croit l’entendre lui parler pour l’encourager à cet acte inouï elle imagine le pragmatisme de son père- voix sincèrement entendue ou inventée pour la cause ? Parodie de Jeanne d’Arc. C. La religion Pat détourne

obtenu l’assentiment de la cité, font ils du tort à des gens à qui ils devraient le moins en faire, oui ou non? Et persévèrent ils dans la voie dont ils sont convenus qu’elle était celle de la justice, oui ou non? Argumentation des Lois Par la prosopopée entrent maintenant les Lois. Premièrement, les Lois affirment qu’un État ne peut subsister et ne pas chavirer lorsque les jugements rendus y restent sans force et que les particuliers se permettent d’en saper l’autorité. Deuxièmement, les Lois affirment

frère » « son Jacob » « celui qui a le droit a la juste querelle » opposition a « le plus fort, orgueilleux », ce voleur acharné » « cet Essau malheureux » « l'autre » 2.La malédiction de la France envers ses enfants ; un anathème -v32-34= prosopopée= faire parler la France qui maudit ses deux enfants ; imprécation= appel a la colère divine -mélange entre les deux lexiques de la violence et la nourriture « Vous avez.... ensanglantée/le sein qui vous nourrit » = association mise en valeur pr

VERBE, COMPLÉMENTS (directs, indirects, circonstanciels). À la place du complément, il y a parfois un attribut. Exemples : Rares sont les vrais amis. (A V S) À l'automne, les feuilles tombent. (CC, S V) • La personnification ou la prosopopée Figure de style dans laquelle on prête tout ce qui appartient à l'humain (gestes, paroles, sentiments, etc.) à des êtres inanimés, à des animaux, à des choses. • Le pléonasme Addition de mots qui ne sont pas indispensables à la phrase,

ce lœss, ah qu’on m’évente tout ce leurre ». III) Ce qui fonde le droit du poète à ce substituer ainsi à ce qui se tait Spécificité de l’instrument dont il dispose, du langage poétique. 1) Le rôle de figures majeures de la personnification (prosopopée, allégorie et symbole, correspondances). 2) sous genre de la poésie proprement consacrés à redonner parole à ce qui n’en a plus (tombeau, morts rappelés à la vie ou au souvenir par la voix du poète. Pour parler à la place de ce qui n’a pas d’humanité

de l’auteur Prise de position envers le loup. Nous connaissons les pensées du loup, pensées internes. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup. La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot. Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté. III- la morale. 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient

de l’atténuation Accumulation Hyperbole Gradation (et inverse) Euphémisme Litote Asyndète Thème des jeux de mots Allitération-Paronomase-Syllepse-Antanaclase-Métaplasme Thème de la personnification Réification-personnification-Allégorie- Prosopopée Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme

II- Une fable classique a) Par sa forme → Personnage qui représentent une catégorie de personne (Roi=Estomac et le peuple=Membres) → Récit court ( 18 vers, du v6 au v23) → Amusant et didactique → Une morale b) Les figures de style → Une prosopopée ( faire parler un absent ou un mort) par le personnage de Ménénius « v.33: Ménénius le sut bien dire » → Une mise en abîme «v.10: Nous suons, nous peinons,comme bêtes de sommes.» c) Un roi defendu a travers de Messire Gaster → Apologie du

la compassion du peuple. I – Le rapprochement de plusieurs mondes 1- La situation d'énonciation

- Emploi du pronom «nous» pour évoquer l'énonciateur : «nous» désigne les pendus (12,15,17) ou leurs os (8), l'énonciation prend alors la forme d'une prosopopée. «nous» désigne je + d'autres. - Présence d'un double destinataire : le lecteur «frères humains» (1-11), «vous» et «tous» (31), «hommes» (34), mais aussi Dieu, mentionné dans l'envoi (31)

vers 43 est à double sens : il met en valeur le  courtisan aux yeux du lion, mais est également empreint  d’une cruelle ironie (le cerf a un vieux compte à solder,  v. 26-27) et peaufine sa vengeance. À partir du vers 44,  le cerf utilisant une prosopopée, rapporte les propos de  la reine. Celle-ci apparaît satisfaite de son sort (v. 46),  comblée (puisque devenue une sainte). Le discours de la  lionne s’achève sur une coquetterie en forme de pointe.  Le cerf utilise donc un argument d’autorité