Prosopopée

il a vécu cette période terrible puis dans un second temps nous nous pencherons sur la question de la transmission et de ce que la génération suivante peut faire d’un héritage aussi lourd que la liberté. Dans « Epitaphe », il s’agit bien d’une prosopopée, ce poème est le message d’un être qui a disparu et qui parle à la première personne. Le titre du poème est très clair mais, Robert Desnos tient dès les deux premiers vers de la première strophe à le repréciser par une hyperbole, par « depuis mille

l’animal qui lui correspond). Il donne aux chats, un caractère mystérieux. L’auteur effectue une prosopopée en faisant parler une pipe. Il exprime l’effet de l’acte de fumer sur son être. LXVII. LES HIBOUX L’auteur décrit les hiboux et s’appuie sur leur caractère pour exprimer une idée morale sur l’Homme (il conserve son mal être en tout lieu). LXVIII. LA PIPE L’auteur effectue une prosopopée en faisant parler une pipe. Il exprime l’effet de l’acte de fumer sur son être. LXIX. LA MUSIQUE

devient agressif en voyant son ami se faire tuer. La vue l’a provoquée et lui a permis d’agir de manière encore plus violente vers l’ennemi pour se venger. Ainsi, le narrateur précise que le sang d’Alexandre bouillonne de colère, on retrouve ici une prosopopée. Dans ces deux passage, on voit comment le thème de la vue joue un rôle à travers la bravoure chevaleresque. Les exploits d’Alexandre sont bien exprimés. ³Chétien de Troyes,Cligès, in > , Paris , Le livre de poche, 2002, p.180 ⁴Chétien de

qui croit le cerf sans méfiance (« A peine on eut ouï la chose, Qu'on se mit à crier : Miracle ! Apothéose ! » v49-50). Afin de tromper le lion, il a recourt à un discours mensongé et démagogue. Il parvient à faire parler la lionne ( procédé de la prosopopée ), en rapportant ses paroles qui mettent en avant les qualités politiques du cerf. Son discours lui permet ainsi d'apaiser le roi (« le temps des pleurs Est passé ; la douleur est ici superflue. » v39-40) et de le flatter par des compliments (« Laisse

animé de Valère puis le combat épique d’Horace. Durant l’extrait, Valère raconte le combat des deux familles. La mise en scène du combat exprime la volonté de ménager le suspense. Valère revit le combat et le fait partager aux Horaces. La prosopopée d’Horace  " j’en viens d’immoler deux aux mânes de mes frères ;Rome aura le dernier de mes trois adversaires, c’est à ses intérêts que je vais l’immoler " fait de ce récit une scène vivante grâce au discourt direct. On relève le champ lexical du

mais aussi la Loi, la Liberté, la justice dans un vaste consensus + métamorphose effrayante du monde : la loi devient un “Spectre”, la justice une ”prostituée”, la Patrie une prisonnière et le Soleil, symbole de vérité, “ment”. La succession de prosopopée sur laquelle se fonde toute la scène, accentue l’épouvante (les morts se réveillent). II) Une scène de délibération 1) Un tribunal Personnages : représentants des parties civiles ; chacun s’avance pour déposer. Accusé : le tyran, allusion

commentaire de 17 a 24 Element pertubateur: le cerf ne pleure pas (v25 etv28). Le narrateur explique sa conduite avec l’analepse v26-27 Péripetie:delation v29 et la condamnation a mort du cerf invention du songe( la reine l’a obligée a ne pas pleurer = prosopopée de la reine qui relance l’interet de la fable) Element de resolution: hemistiche du v.50 on le croit Sit finale:le cerf possede un present v.51 La brieveté de la fable , la simplicité schematique de l’action et la mise en relation du récit

de style permettent selon les cas de renforcer la défense d'une thèse ou de donner du poids à une réfutation. Elles participent à la valorisation aussi bien qu'à la dévalorisation.

 - Les figures d'analogie (comparaison, métaphore, allégorie, prosopopée, personnification) et de substitution (métonymie, antonomase) sont utilisées pour induire une image valorisante ou dévalorisante et permettent le transfert de l'assentiment ou du refus sur un autre plan.

 - Les figures d'amplification et d'insistance

quel homme creuses-tuu cette fosse? ". Egalement, Hamlet dialogue avec le crâne que lui montre le fossoyeur, il lui donne même un nom et lui pose des questions, on imagine qu'il porte le crâne face à lui de façon à créer un “tête à tête“, c'est une prosopopée qui est une figure de rhétorique qui consiste à faire parler un mort, un animal, une chose personnifiée. C'est une façon pour l'auteur d'accentuer l'humour et l'ironie dans cet extrait: " Hélas pauvre Yorrick ! " , " Plus un sarcasme aujourd'hui

perpétuelle oscillation entre Spleen et Idéal. La boue et l’or sont les deux matériaux baudelairiens explicités dans le second épilogue de l’édition de 1867. La boue renvoie tout d’abord à Paris à qui il adresse son épilogue sous la forme d’une prosopopée. Détritus, fange, ou métaphoriquement le mal, la boue est le premier matériau poétique de Baudelaire. L’or, quant à lui, renvoie à la beauté : que ce soit la lumière d’un tableau comme dans les Tableaux parisiens ou le scintillement des yeux dans