Prosopopée

rhétoriques (ce sont des questions sans réponses) des lignes 10, 13 et 14 mettent en exergue (en évidence) la douleur de Gargantua et son incompréhension face à un tel malheur. - Les phrases exclamatives et les interjections. Les prières à Dieu. La prosopopée (parler ou faire parler un être absent, mort ou abstrait) quand ils’adresse à la mort elle-même. Tous ces procédés stylistiques mettent en exergue la douleur de Gargantua et son désespoir. La description méliorative (Qui a une connotation

Romantique. Ici, l’auteur évoque les malheurs que le temps nous fait ressentir : il revient, seul, en ce lieu, où auparavant il l’avait découvert en sa compagnie, avec elle. Il donne de la vie au texte en la faisant « parler » un instant, par une prosopopée de quatre strophes, où il reprend ses paroles d’avant, en suppliant le temps de s’arrêter, ne serait-ce qu’un court instant pour profiter de ce que la vie nous donne, et essayer de retarder notre heure de quelques instants. Nous proposons de voir

le consentement du peuple. C'est pourquoi l'orateur échoue : il brime ses auditeurs et ne sait pas rejoindre leurs goûts simples bien qu'il a raison. Question de rhétorique et exclamative Il gronde le peuple au lieu de s'en faire un allié... Prosopopée (prête la parole aux être inanimé)/Hyperbole « Il fit parler les morts » → Exagération, il décrit la force avec laquelle l'orateur défend son discours. 1.2) : Trop bruyante Rythme ternaire v.9 + gradation décroissante →le discours de l'orateur

Le discours de Rousseau est lui aussi construit sur le modèle argumentatif archétypal : on trouve une thèse, il faut savoir se préserver de la science, un argument, la science crée « le luxe, la dissolution et l’esclavage » et un exemple, la prosopopée de Fabricius. Rousseau adopte lui aussi un raisonnement inductif puisqu’il part d’un cas particulier, celui de Fabricius, et élargit son exemple à son époque : « Mais franchissons la distance des lieux et des temps » l.19. Ils utilisent aussi

Les Misérables Cette obscure clarté qui tombe des étoiles, Corneille, Le Cid Parallélisme : reproduction d'un même schéma syntaxique pour deux énoncés Et_ jamais je ne pleure et jamais je ne ris, Baudelaire, Les fleurs du mal, « La Beauté » Prosopopée : mise en scène d'êtres inanimés ou de morts que l'on fait s'exprimer Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Les fleurs du mal, « La Beauté » Rejet : procédé selon lequel un groupe de mots placés en fin de vers est complété par un

| | |Désir de perfection, d’absolu, idéal. | |« seul le silence est grand » ? |Discours direct, ton dernier regard disait. Prosopopée. | |Le message du loup (80)? |Force, ascétisme. | | |Pas de faiblesse : stoïcisme

Dans son poème le temps est représenté comme un temps dominateur et puissant. Nous voyons que dans ce poème l’horloge peut ainsi représenter le temps qui passe. Le deuxième poème que je vais vous présenter sera “la Pipe“, l’auteur effectue une prosopopée en faisant parler une pipe. Il exprime l’effet de l’acte de fumer sur son être. De plus l’objet révèle la souffrance de l’auteur et c’est en même temps un remède au mal du poète. La pipe est successivement personnifiée en mère et en guérisseuse

où la nature est belle. -l’amour inconditionnel qu’il éprouve pour sa femme. Il lui dit d’être heureuse et d’avoir un enfant v23/30. -la confiance en l’avenir avec les verbes au futur v24/25 et pense aussi à son pays l’Arménie. On a ici une prosopopée (consiste à faire parler une idée abstraite ou un mort) avec « dit » v18 et « onze ans auparavant» v3. On a du registre pathétique et lyrique (compassion, on peut se mettre à la place de celui qui va mourir et amour pour sa femme, le « je », le

s’attacher à ses hommes. II/a)L’auteur donne la parole à Manouchian, c'est une adaptation de la dernière lettre du résistant sous forme d'un discours direct introduit par « Et c’est alors que l’un de vous dit calmement ». ce discours est une prosopopée, cela signifie que l'auteur fait parler les morts comme si ils étaient toujours vivants vers.19 à vers.30. Le « Je » représente Manouchian car il parle de sa femme vers.29 « Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline » Manouchian dévoile ses rêves et

dangers de son attitude. II/Les deux méthodes employées par l'orateur a) La première : le discours indirect * discours indirect présenté par le fabuliste * champ lexical de la violence,registres tragique et polémique car, aussi, une prosopopée au v.9 "tyrannique", "tonna", "forcer", "fortement", "exciter", "figure violentes » * discours menaçant en conformité avec le danger évoqué, grave, imposant, discours grandiloquant avec beaucoup d'emphase, qui joue sur les figures de style