Protectionnisme éducateur

« Ce n’est pas le libre-échange qui est la loi du plus fort, mais plutôt le protectionnisme car seuls les pays riches et puissants ont les moyens de mettre en œuvre des aides pour protéger leurs industries. » (Jean-Louis Caccomo). Le libre-échange est une théorie et doctrine qui, appliquant les thèses libérales aux échanges internationaux, préconise la spécialisation internationale et la suppression de toute entrave aux échanges. C’est un système de commerce international qui défend la libre circulation

échange ou protectionnisme ? Quel est le meilleur choix pour un pays développés en ce début de XXI siècle ? L'OMC favorise le libre échange et trouve que le protectionnisme est un frein pour le commerce international. Le libre-échange est un système économique qui prône la libre circulation des produits et services au sein d'une même zone géographique par la suppression des barrières douanières (droits et taxes) et de tout ce qui peut entraver le commerce alors que le protectionnisme repose sur

nombreuses multinationales (qui sont par définition apatrides) sont considérées comme appartenant à une nation en particulier. Le patriotisme économique est en ce sens du protectionnisme pur et simple, l’expression ayant pour seul avantage de gommer quelque peu les connotations négatives associées au concept de protectionnisme dont les Etats-Unis mais aussi la France ont été friands tout au long de leur histoire. 1.2. Qu’est qu’une entreprise «nationale»? Cette question est d’autant plus centrale

Protectionnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher |[pic] |Cet article ou cette section doit être recyclé. | | |Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion. | Le protectionnisme est une politique économique interventionniste menée par un État dans le but de protéger son économie

Greenspan puis Ben Bernanke ont mis en application avec détermination au cours de leur présidence de la FED à chaque crise américaine depuis le krach d'octobre 1987. * ------------------------------------------------- La mise en cause du protectionnisme Des mesures protectionnistes (par exemple, la Hawley-Smoot Tariff Act) entraînèrent une augmentation des droits de douane sur lesimportations, afin de protéger les producteurs locaux (mis en danger par la compétition internationale). En réponse

Economie internationale Les firmes multinationales Introduction : L’expression firme ou société « multinationale » apparut pour la première fois en 1960 sous la plume de D.E. Lilienthal (1960) : « De telles sociétés, qui ont leur siège dans un pays, mais qui fonctionnent et vivent également soumises aux lois d’autres pays, j’aimerais les définir ici sous le nom de sociétés multinationales ». Le sujet allait ensuite susciter une riche floraison de travaux. L’intrusion des « multinationales

Section 2 : Les différentes formes et les effets du protectionnisme La nouvelle théorie du commerce international a suffisamment modifié les fondements de l'analyse des échanges mondiaux pour introduire certaines ambiguïtés sur les avantages du libre-échange. Profondément libre-échangiste, Paul Krugman démontre que « Même si le protectionnisme n'est pas une calamité atroce », il ne peut être envisagé comme une politique répondant de manière adéquate aux problèmes rencontrés aujourd'hui par les

montrant que l’idée qu’on se fait du krach de 1929 est fausse, que l’âge d’or du libre échange en Europe ne dure pas aussi longtemps que l’on l’imagine, si le libre échange est pratiqué dans le reste du monde au XIX siècle et que l’impact du protectionnisme n’est pas toujours négatif. Suivent ensuite les grands mythes sur le rôle du tiers monde dans le développement occidental avec les arguments de Bairoch qui montrent que les matières premières ne sont pas indispensable à l’industrialisation occidentale

par les Etats à se constituer en blocs économique régionaux afin d’assurer le bien-être des populations. La présente analyse sera consacrée à montrer les aspects négatifs du protectionnisme d’une part et les aspects positifs de l’intégration économique régionale d’autre part. L’isolement ou encore le protectionnisme revêt des aspects négatifs notamment sur le plan économique et socio-politique. Au niveau économique, L’Afrique reste dépendante de l’aide qui ne fait que décroître d’année

début de la « longue dépression », deux décennies de marasme plus que de véritable chute de l’activité, sur fond de disparition des banques d’affaires, de durcissement de la réglementation bancaire, de mégafusions d’entreprises, de regain de protectionnisme et de perte de vitesse du commerce mondial. Le G20 qui a regroupé les vingt pays les plus importants de la planète, le 2 avril 2009 à Londres, a bien ouvert des pistes qui vont dans le bon sens pour mieux contrôler et rendre plus stable la planète