Protéinurie

38° Participation à la procédure de désinfection et de stérilisation des dispositifs médicaux réutilisables ; 39° Recueil des données biologiques obtenues par des techniques à lecture instantanée suivantes : a) Urines : glycosurie acétonurie, protéinurie, recherche de sang, potentiels en ions hydrogène, pH ; b) Sang : glycémie, acétonémie ; 40° Entretien d'accueil privilégiant l'écoute de la personne avec orientation si nécessaire ; 41° Aide et soutien psychologique ; 42° Observation et surveillance

38° Participation à la procédure de désinfection et de stérilisation des dispositifs médicaux réutilisables ; 39° Recueil des données biologiques obtenues par des techniques à lecture instantanée suivantes : a) Urines : glycosurie acétonurie, protéinurie, recherche de sang, potentiels en ions hydrogène, pH ; b) Sang : glycémie, acétonémie ; 40° Entretien d'accueil privilégiant l'écoute de la personne avec orientation si nécessaire ; 41° Aide et soutien psychologique ; 42° Observation et surveillance

les adolescentes âgées de 11 à 18 ans peuvent être confrontées a : -_Des problèmes de toxémie gravidique ou prééclampsie_: Syndrome général qui se produit au dernier trimestre de la grossesse, et qui associe une hypertension artérielle, une protéinurie, des oedèmes, une hyper uricémie, une thrombopénie, une augmentation des ASAT et un retard de croissance in utero. Sans traitement l’évolution peut amener des convulsions et peut être fatale pour la mère. -Une hypotrophie du fœtus: retard de

rétinopathie est insuffisamment connue. En revanche, il est bien documenté que la présence d’une hypertension artérielle et, à un moindre degré, d’une hyperlipidémie ou d’un tabagisme, augmente la prévalence de la microalbuminurie et de la protéinurie et accélère la dégradation de la fonction rénale au cours du diabète de type 2 [21, 22, 23]. Diabète de type 2 – facteurs de risque associés et neuropathie On manque de données sur l’éventuelle interaction de ces anomalies. Implications thérapeutiques

cibles: – Douleur angineuse, dyspnée d’effort – Examen clinique cardiovasculaire et neurologique complet Bilan du patient hypertendu Bilan complémentaire de l’OMS • • • • • • • Créatininémie et évaluation du DFG Bandelette urinaire réactive (protéinurie, hématurie) Kaliémie (sans garrot) Glycémie à jeun Bilan lipidique (LDL et HDL cholestérol, cholestérol total, triglycérides) ECG Echocardiographie transthoracique (non systématique) – plus sensible pour dépister une HVG. – doit être faite chez

hypotension, hypovolémie, syndrome néphrotique, cirrhose décompensée, hémodynamique précaire, insuffisance cardiaque, …). -Médicaments néphrotoxiques ou modifiant la fonction rénale (diurétiques, AINS, Coxib, dérivés du platine, …). - Myélome avec protéinurie. -Injection de PCI dans les 3 jours précédents. -Age supérieur à 65 ans rend plus probable la présence de facteurs de risque. Cas particulier : Pour les patients avec insuffisance rénale et diurèse résiduelle à sauvegarder : accord du néphrologue

nerveuses. Une autre étude parvint quant à elle à établir une corrélation entre une diminution de l’expression de syncytine au niveau du placenta et le développement de pré-éclampsie (caractérisée par une hypertension artérielle accompagnée de protéinurie). De plus, suite à une analyse immunohistochimique de placentas pré-éclampsique il put être mis en évidence qu’une expression ectopique apicale sur la membrane microvilleuse syncytiotrophoblastique (alors qu’elle est normalement exprimée sur la

patients lupiques avec atteinte rénale, 40 patients lupiques sans atteinte rénale et 89 témoins Anti-C1q retrouvés dans 44 % des SLE, avec un taux corrélé aux anti-ADNn, inversement aux fractions C3 et C4 du complément Anti-C1q corrélés à la protéinurie et hématurie, ainsi qu’au score ECLAM Sensibilité de 86%, spécificité de 95 % des anti-C1q dans les poussées rénales (versus 79 et 84 % pour les antiADNn) Anticorps anti-C1q Intérêt prédictif des atteintes rénales Dosage en routine? Parallèlement

hypocalcémie, hypercholestérolémie, hyper et hypoglycémie, hyper et hypokaliémie, hyper et hyponatrémie, hyper et hypoprotéinémie, hyper et hyposidérémie, kaliurie, leucocytose, leucopénie, natriurie, oligurie, polydipsie, polyglobulie, polyurie, protéinurie, thrombocytose, thrombopénie. |Programme contenu |Commentaires | | |41 – Sang : un témoin de |

interstitiel. 2. Artérielle : Augmentation de la pression artérielle tant disque la perméabilité est augmenté. 3. Organique : œdème des reins dû à la concentration en protéine augmenter ce qui augmente l’osmose et fait sortir le liquide des capillaires (Protéinurie donc une perte augmenter des protéines rénales). œdème hépatique dû à une diminution plasmique en protéine ce qui amène une augmentation du liquide interstitiel. (cirrhose du foie car les protéines ne sont plus traités) Système digestif Voir