Protocole Beta

des pays riches. Suite à ce rapport, un certain nombre de protocoles vont être adoptés pour intégrer les préoccupations environnementales au cœur du développement économique. En 1995, le protocole de Carthagène est adopté. Celui-ci traite des risques biotechnologiques. En 1997, c’est le protocole de Kyoto relatif à la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui est adopté.[2] Les pouvoirs publics, à travers l’ensemble des protocoles et des mesures qu’ils adoptent, tentent de rendre compatible

l’echelle de la planéte : -gestion prevention ( Grippe A , Sida ) -gestion prevention risque environnementaux -polution des fleuves ( Danubes) -deforestation (Brésil) Des protocoles sont mis en place pour limiter les risques de pollution et rechauffement climatique (le protocole de Kyoto 1997) : Il tente de lutter par une action internationale contre l’emission de certains gaz à effet de serre qui est responsable du rechauffement climatique .

aux industries et pour 90.4% à la production énergétique telle que la combustion de charbon, pétrole ou autres sources d’énergie. Exemple : le 13 mars 2002 le président américain George W Bush déclare à 4 sénateurs républicains « Je m’oppose au protocole de Kyoto [visant à réduire les émissions polluantes des industries], parce que 80% de la population du monde en sont exemptés, dont la Chine et l’Inde, et qu’il causerait un dommage sérieux à l’économie américaine ». • Sanitaires, surtout en ce

prend en compte que l’utilisation des combustibles fossiles. En 2012, ces émissions représentaient 85 % du total de GES en Provence-Alpes-Côte d’Azur (source : Air PACA, Inventaire régional des émissions 2007). Parmi les six GES réglementés par le protocole de Kyoto (CO2, CH4, N2O, HFC, PFC, SF6), seuls les trois premiers sont pris en compte ici. Ceux-ci représentent plus de 95% des émissions (source : Inventaire national 2010 - CITEPA 2012). Bilan des émissions 2011 : 31,8 Millions de tonnes équivalent

des prises en compte obligatoire pour l'évaluation des politiques économiques. B) Le protocole de Kyoto Le protocole de Kyoto de décembre 1997 tentent de concilier les logiques de marché et le développement durable. La majorité des pays industrialisés s'est engagé à réduire ces émissions ge gaz à effet de serre d'au moins 5% d'ici à 2012. Afin de rendre le dispositf suffisement flexible. Le protocole a prévu la mise en place la dispositive de « permis à polluer » qui permettent d'acheter

contraintes l'ensemble des partenaires, y compris ceux qui ne relèvent pas de la souveraineté des États régulateurs. De ce point de vue, la vigilance à l'égard des pratiques productives de certains pays émergents reste indispensable. À la suite du protocole de Kyoto, la logique de l'incitation/ dissuasion a conduit certains États à instaurer une « taxe-carbone » sur les énergies fossiles dans le but de limiter les émissions de CO2 (document 4), mais une telle mesure n'a évidemment de sens que si elle

des infrastructures sur l’environnement. La situation est d’autant plus alarmante que l’on prévoit une augmentation de 60 % des échanges entre 2005 et 2015 dans l’Union Européenne alors que les gaz à effet de serre doivent être réduits selon le protocole de Kyoto de 5,2 % entre 2008 et 2012 par rapport aux niveaux de 1990. Compte-tenu de son rôle dédié à l’optimisation et au pilotage des flux, la logistique suscite beaucoup d’intérêt et de nombreuses attentes pour optimiser la supply chain et réduire

M Durand M le responsable de Stagiaire la commission environnement Le / / Objet : Le marché des droits à polluer NOTE La volonté des Etats de s’engager dans une démarche de développement durable se traduisant par l’adhésion aux accords de Kyoto, les conduit à limiter les émissions de gaz à effet de serre. Au niveau européen le système du marché des droits

l’atmosphère. Pour corriger ce problème, l’état va mettre en place des quotas de pollution pour les entreprises, ces dernières devront payer pour la quantité de gaz qu’ils rejettent cela va les obligé à réduire leurs pollution. Par exemple, le « protocole de Kyoto » qui est un traité international visant la réduction des gaz à effet de serre. L’état intervient dans l’économie pour éviter les abus et permettre un équilibre optimal en produisant ce que le marché ne peut pas produire. Cependant

règlementer la pollution. En France, suite à la loi LAURE, en 1996, la surveillance de la qualité de l'air a été rendue obligatoire. Un réseau de capteurs surveille dans chaque région la concentration de 12 polluants atmosphériques. Il y a surtout Le protocole de Kyoto qui est un traité international visant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, dont les pays participants se rencontrent une fois par an depuis 1995. CONCLUSION : Le monde moderne joue un grand rôle dans la pollution de