Proust Cambray

1) Présentation de l’auteur et du livre • Quand a-t-il vécu ? : Marcel Proust est né en 1871dans le quartier d’Auteuil à Paris et mort en 1922. Il a eu une santé fragile tout au long de sa vie. Il est issu d’une famille aisée ce qui lui permet de fréquenter les grands salons milieux bourgeois. • Qui ? C’est un célèbre romancier qui est connu pour la longueur de ses phrases qui sont également très rythmées. Il est une référence de la littérature française. Il fut l’un des premiers

l’oubli, le moi toujours changeant, l’art, la société et la peinture des moeurs, l’analyse psychologique de l’amour, surtout de l’amour maladie et les intermittences du cœur. Il est possible de reconstruire la philosophie de Proust à partir de ce roman[1]. Selon Proust les femmes sont les protagonistes et les moteurs de la vie mondaine. Dans Un Amour de Swann on suit le développement de son amour pour Odette, une cocotte, appartenant à la société bourgeoise, mais on rencontre aussi les femmes

brouillard et de nuage, pas plus qu’il ne s’acharne à représenter la ville et ses hommes plus ronds, tordus, alambiqués ou opprimés qu’ils ne le sont en réalité". Ces gravures de part leurs réalismes, agissent sur Orhan Pamuk comme une madeleine de Proust, le faisant revoir l’Istanbul de son enfance, lui faisant encore et toujours ressentir cette mélancolie, cette sensation d’un paradis perdu. On s’aperçoit, au fil de l’ouvrage que si Orhan Pamuk ne nie pas que la plupart des représentations

surnaturel dans les récits fantastiques et de l’attirance de la classe privilégiée pour la crapule. On y retrouve la description dans la continuité d’une classe privilégiée évoluant vers un déclin inexorable. Dans ce contexte, un duel avec Marcel Proust s’effectue non seulement dans le champ physique mais aussi symbolique. Les deux écrivains représentent deux approches différentes, une insolente et une feutrée, d’une classe mondaine. Malgré ses quelques désaccords, Lorrain fait connaissance avec

Alcoolique et ayant menée « une vie de patachon » selon sa propre expression, mais également fraudeuse et magouilleuse, elle peut difficilement passer pour un exemple civique à suivre. ( Françoise Quoirez emprunte son pseudonyme à un personnage de Marcel Proust, la princesse de Sagan, pour publier son premier roman « Bonjour Tristesse ». ( Elle restera dans l’histoire comme un personnage, sans doute plus important que ses livres, un mythe dont la notoriété dépasse les frontières de la France, l’emblème

Veille Concurrentielle Les autres évènements dans la région Journées Musicales Marcel Proust à Cabourg LA TROUVILLAISE à Trouville sur mer 22 et 23 septembre Course réservée aux femmes dans un cadre magnifique avec un parcours en bord de mer. C'est aussi un week-end complet d'activités autour de la forme et du bien-être. ESTUAIRE D'EN RIRE à Honfleur du 13 au 23 septembre Festival d'humour qui présente des nouveaux talents et des talents confirmés. FOIRE INTERNATIONALE DE CAEN

moi que celui que nous manifestons dans nos habitudes, dans la société, dans nos vices. Ce moi-là, si nous voulons essayer de le comprendre, c’est au fond de nousmêmes, en essayant de le recréer en nous, que nous pouvons y parvenir », disait Marcel Proust dans Contre Sainte-Beuve (la thèse de Sainte-Beuve défendait au contraire le lien nécessaire entre l’écrivain, son œuvre et l’homme extérieur, les détails de sa vie). Si l’on considère la formule d’Arthur Rimbaud, « Car Je est un autre », il faut

esprit critique sur ce qui est lu,Le lecteur adhère totalement à sa lecture au point de prêter une existence réelle à son héros de papier, plus réelle même qu'aux personnes de son entourage.Ex: Dans sa préface pour Sésame et les lys de Ruskin, Marcel Proust parle de l'attraction puissante exercée par les personnages de roman, "ces êtres à qui on avait donné plus de son attention et de sa tendresse qu'aux gens de la vie" grâce au pouvoir de la lecture et qui ne seraient plus le lendemain" qu'un nom sur

particulier sur ses mérites… En quoi la lecture ferait-elle office de seconde vie ? Malgré quelques contradictions, la lecture bien utilisée permet une évasion, une liberté, une délivrance éphémère sur les problèmes quotidiens de la vie. Un jour, Marcel Proust a dit : «la lecture est au seuil de la vie spirituelle, elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas». Pour entrevoir la lecture comme étant une seconde vie, nous nous mettons à la place d’un des personnages de l’histoire que nous lisons

la réalité qui est visée : la manière de traiter le réel sera souvent donc la cible de plusieurs écrivains qui contestent le roman traditionnel. Marcel Proust, par exemple, s’en prendra à ce misérable « relevé de lignes et surfaces » en parlant du roman réaliste (il critique notamment les frères Goncourt, ses contemporains) : pour Marcel Proust la vraie vie réside dans des impressions profondément enfouies au sein de la mémoire et dont le romancier doit se faire le traducteur fidèle. Gide réagira