Provinces du Burkina Faso

populations autochtones, et au respect des sites culturels. Les participants ont émis des craintes sur la présence des concessions minières et des exploitants artisanaux et particuliers, mais aussi sur les flux migratoire à partir des différentes provinces. Description de la méthodologie : cartographie participative La participation locale est actuellement une stratégie émergente dans les domaines de la conservation et la maintenance de la cohabitation entre les valeurs biologiques et culturelles

Méthode choisie : - simulation mathématique du trafic : voir annexe 1 - Estimation mathématique des émissions de polluants et de la concentration résultante : voir annexe 2 1.2: Nature des polluants et normes applicables Actuellement, le Burkina Faso ne dispose pas de normes concernant la qualité de l’air. C’est la raison pour laquelle, dans le cadre de la présente étude, les normes de l’Organisation Mondiale de la Santé ont été utilisées. Tableau : Normes de l’Organisation Mondiale de la

Le Burkina Faso n’échappe pas non plus au phénomène. Selon le coordinateur du Comité contre les trafics illicites de drogue au Burkina Faso, le volume des charges de drogue interceptées dans les trois premiers mois de 2007 est “incroyable”. Le directeur mentionne l’existence d’une nouvelle route de transit de la drogue dans l’Ouest et dans le Sud-ouest du pays. Début avril 2007, 49 kilos de cocaïne, pour une valeur de 10 millions de dollars, ont été interceptés par la police du Burkina Faso à la

cette croissance. La ville devient le centre commercial, administratif et financier de l'Ouest. L'industrie manufacturière de Winnipeg occupe le quatrième rang au Canada. Winnipeg domine l'économie du Manitoba. Elle compte 55% de la population de la province. Elle demeure avant tout un centre de transport majeur puisqu'on y compte des liaisons ferroviaires et aériennes importantes. Les sièges sociaux de plusieurs compagnies importantes de transport par camion du Canada s'y trouvent, ainsi que le quartier

l’histoire des peuples de ce continent. C’est dans ce sens que des auteurs comme Henri LABOURET, Madeleine PERE, Maurice DELAFOSSE, Michèle FIELOUX, Cécile de ROUVILLE…ont été les premiers à faire connaitre l’histoire des peuples du Sud-ouest du Burkina Faso. A la faveur de ces auteurs dont la plupart sont des administrateurs coloniaux, des ethnologues, des anthropologues vont émerger des chercheurs nationaux issus de la région qui vont aborder la question de façon objective. Ainsi,

action volontaire d’aménagement qui s’est manifestée très tôt dans cette région IDF avec comme exemple le développement des réseaux de communication. Dans la région IDF, il y a une tendance à transférer les activités industrielles lourdes vers la province et à conserver les activités du tertiaire supérieur. A partir de 1982, se met en place cette politique de décentralisation et va permettre le transfert de la responsabilité de l’Etat au conseil régional IDF, et aux conseils généraux et au niveau

meilleure laitière de l’Afrique de l’Ouest, donne 6 à 8 l litres par jour. Dans 1’Oudalan le Dr. Doutressoulle a décrit un zébu touareg de bonne qualité laitière. Il est à souligner que depuis une trentaine d’années le Service de YElevage du Burkina Faso s’efforce de difIùser la race azaouak pour améliorer la production laitière. Il y a eu d’abord le ranch de Markoye dans 1’Oudalan qui était chargé de cette mission, maintenant elle revient au centre de Loumbila (pk 17 route de kaya). Il conviendrait

professionnels bénévoles du groupe. Le projet «Appui aux initiatives communautaires pour un meilleur accès et une gestion durable, économe et équitable de l’eau potable au Burkina Faso» en partenariat avec le Secours Catholique Caritas est destiné à améliorer l’accès à l’eau potable pour 25000 habitants de 38 villages du Burkina Faso (2008-2009). Ce projet prévoit d’aménager 55 points d’eau, de créer 55 comités de gestion, de construire 30 latrines, d’aménager 16 bassins pour le développement des activités

Malheureusement, l'essor du PIB résulte surtout d'une économie de rente extensive et exportatrice de matières premières. La libéralisation politique n'est qu'une fiction comme le prouve l'existence d'autocraties sanguinaires au Zimbabwe ou au Burkina Faso, ainsi que les guerres de conquête ou de pouvoir en Somalie ou en République Démocratique du Congo. Enfin, la croissance a creusé de redoutables inégalités sociales à toutes les échelles géographiques (exemple : les « pseudo-villages », c'est-à-dire

de la BIAO mais une banque associée. A la faillite de la BIAO, le «Groupe Méridien » la remplace, mais l’Etat restera toujours l’actionnaire principal. En 1984, en faveur du changement du nom du pays, la BIV devient la « Banque Internationale du Burkina » et c’est ainsi que la BIB est née avec un capital d’un milliard soixante quinze millions (1.075.000.000) francs CFA réparti comme suit : - Etat burkinabé : 53% soit cinq cent soixante neuf millions sept cent cinquante mille (569.750.000) francs