Précieuses Ridicules 15 16 17

l’époque……………………………………………………………………………….11 1.1 Madame de La Fayette……………………………………………………….... 11 1.1.1. La vie de Madame de La Fayette………………………………………… 11 1.1.2. L’époque vécue de Madame de La Fayette………………………………. 13 1.1.2.1. La préciosité………………………………………………………....16 1.1.3. L’inspiration de Madame de La Fayette………………………………….. 19 1.1.4. L’œuvre de Madame de La Fayette………………………………………. 20 1.2. Le Baroque…………………………………………………………………….... 23 1.2.1. Le baroque : l’étymologie et le sens du mot………………………………23 1.2.2. Les

fond. Hervé travaille sur des planches contacts avec une loupe photographique. Patrick est toujours aussi coincé et raidi sur son siège, il n’a pas bougé) (Il y a toujours 6 horloges avec l’heure de New York 7:45, Londres 12:45, Paris 13 :45, Moscou 15 :45, Pékin 19 :45 , et ICI ANADYR : Il est 21h45 ) TONY crie et arrive sur scène en courant. BUUUT !! Canon ! Canon ! Le but ! Il trépigne, fait un petit numéro de supporter et se sent soudain observé. Pardon… J’adore le foot. Vous aimez le football 

...................................... 13 3.1 Amateur ? Pourquoi faire ?............................................................................................. 14 3.2 L’amateur et les infortunes matérielles……………………………………………………………... 16 4. CONCLUSION.........................................................................................................................18 2EME PARTIE : DE L’ ENSEIGNEMENT DISPENSÉ AUX AMATEURS 1. Etudes des textes officiels …………………………………………. … ………………………………

la grâce de Dieu. J’aime bien cette formule : « l’Amour vaut aujourd’hui ce qu’il me coûte ». Un amour qui ne m’a rien coûté, c’est un amour qui n’a pas beaucoup de valeur. C’est une lapalissade ! Un amour qui vaut cher c’est un trésor, pierre précieuse. Qu’est ce que le prix que je vais mettre pour l’amour ? C’est l’effort que je vais faire pour renoncer à moi-même, pour donner quand même, pour renoncer à ce que j’aurais pu prendre pour donner, alors l’amour redevient un échange où celui qui

imprévisible du récit qui fournissent 1’espace où le point devient réel, puissant et attirant »15. Dans la perspective linguistique, Claude Bremond pense que tous les théoriciens du récit devaient aboutir à des définitions du genre de celle-ci «Que par ce message, un sujet quelconque (animé ou inanimé, peu importe) soit placé dans un temps t, puis t+n des prédicats qui le caractérisaient à 1’instant t»16. A son tour, Greimas définit le récit comme : «Un ensemble de comportements orientés

question abstraite et franche s'use: la réponse concrète reste. Dès lors, l'activité spiri­ tuelle s'invertit et se bloque. Un obstacle épistémologique s'incruste sur la connaissan­ Gaston Bachelard (1934) La formation de l’esprit scientifique 15 ce non questionnée. Des habitudes intellectuelles qui furent utiles et saines peuvent, à  la longue, entraver la recherche. « Notre esprit, dit justement M. Bergson   a une irré­ sistible tendance à considérer comme plus claire l'idée qui lui sert le plus souvent »

près ce singulier spécimen de développement intellectuel unilatéral», de son désir de percer le double mystère que constitue la réussite aux échecs de cet homme dont les facultés intellectuelles et les «connaissances étaient étroitement limitées» (page 17). Le lecteur pense alors que le véritable but de la nouvelle sera le récit de la vie de Czentovic et l'étude de son comportement : - à douze ans, orphelin, il fut recueilli par «le charitable curé de son village» (page 12) ; - son portrait intellectuel

près ce singulier spécimen de développement intellectuel unilatéral», de son désir de percer le double mystère que constitue la réussite aux échecs de cet homme dont les facultés intellectuelles et les «connaissances étaient étroitement limitées» (page 17). Le lecteur pense alors que le véritable but de la nouvelle sera le récit de la vie de Czentovic et l'étude de son comportement : - à douze ans, orphelin, il fut recueilli par «le charitable curé de son village» (page 12) ; - son portrait intellectuel

métaphysicien que comme un poëte. Il paraît que, dans cette pièce, Shakspeare avait pour but de faire la caricature d’une troupe de comédiens rivale de la sienne, et peut-être de tous ces artistes amateurs chez qui le goût du théâtre est une passion souvent ridicule. Le caractère de Bottom est un des plus comiques de Shakspeare ; Hazzlitt l’appelle le plus romanesque des artisans, et observe à son sujet ce qu’on a dit plusieurs fois, c’est que les caractères de Shakspeare sont toujours fondés sur les principes

l’avant-propos de toutes ces choses (…) c’est l’éducation du « va de l’avant » » (P. de Coubertin, Lettre ouverte aux potaches de France, revue Athlétique, 3 mars 1894) -Le sport est « une admirable école de combat » (Georges Bourdon, Les sports athlétiques, 17 fev 1894) 1 « Un jeune garçon apprend la discipline par l’athlétisme de deux façons. En premier lieu, parce qu’il est contraint de placer la cause commune avant son propre intérêt, parce qu’il doit absolument obéir aux ordres et qu’il doit agir