Prédication Frère Richard

très tôt. Limite = jura et la provence. Constitué d’une demi douzaine de comté autour Nevers , Troyes… la ville de Dijon courant 9e devient le cœur de la puissance des comtes et ducs de bourgogne (duc de bourgogne allié des captiens liens familiaux frere…) Comté de flandres très puissant il contrôle bien les seigneurs de sa region. Relation étroite avec empire, angleterre, roi capétiens. Quasi indépendant par rapport aux capétiens. Le duché de normandie est un duché constitué dès 911 quand Charles

franc : Baudouin III IX. La première expédition d’Égypte : Amaury Ier X. Vers le drame des croisades : Baudouin IV, le Roi Lépreux XI. Le désastre de Tibériade : Guy de Lusignan XII. La troisième croisade : Conrad de Montferrat, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion XIII. Champenois et Poitevins : Henri de Champagne et Amaury de Lusignan XIV. La cinquième croisade. Un roi-chevalier : Jean de Brienne XV. Un pèlerinage sans la foi : L’étrange croisade de Frédéric II XVI. Une croisade de poètes : Thibaut

siècle apparaissent l’ordre des Franciscains fondé par François d’Assise et celui des Dominicains établi par l’espagnol Dominique. Les moines mendiants doivent vivre de la charité, s’établir au milieu des villes et se consacrer à l’assistance, à la prédication et à l’enseignement dans les universités. Les Dominicains sont aussi chargés par le pape de combattre les hérésies, comme celle des cathares dans le Midi de la France. Les croisades Le grand souci des papes et des rois du Moyen-âge est de restaurer

Carolingiens). L’onction épiscopale lui apporte une légitimité d’origine religieuse considérable. Charles (futur Charlemagne), son second fils, s’impose très vite comme un politique exceptionnel et un remarquable homme de guerre. Après avoir évincé son frère Carloman, il devient, en 771, seul roi des Francs et entreprend une conquête systématique de toute la chrétienté d’Europe, combinée avec une lutte incessante à la fois contre les musulmans — toujours présents de la Sicile à l’Espagne — et contre les

essentielle de l'enseignement, avant d'aborder l'étude de la théologie, reine des sciences. On peut s'en rendre compte par les traités pédagogiques élaborés par les maîtres de l'école de Saint-Victor : le "Didascalicon"3 d'Hugues, les "Excerptiones"4 de Richard et le "Fons Philosophiae"5 de Godefroid. Le plus célèbre de ces traités est certainement le "Didascalicon" d'Hugues de Saint-Victor, qui devait connaître un très grand succès et exercer une profonde influence. Il représente pour le XIIème siècle

Documentation photographique n° 8011 octobre 1999. · MARIN Jean-Yves : " Les Normands, rois de Sicile ", L’Histoire, n°226 de novembre 1998, p. 94-99. · MENJOT Denis : les Espagnes médiévales, Hachette, coll Carré Histoire, 1996. · RICHARD Jean: Histoire des croisades, Fayard 1996. · TATE Georges : Les croisés en Orient, La Documentation photographique n° 7019 (1993). · TOLAN J. et JOSSERAND Ph.: Les relations entree le monde arabo-musulman et le monde latin (milieu Xème-milieu

grégorienne, en faisant comprendre que le christianisme n’est pas qu’un ensemble de rites et de gestes, tout en s’adaptant à la culture orale des laïcs, plutôt qu’en les associant à la culture écrite de l’Eglise, d’où la nécessité de revaloriser la prédication : - celle des évêques lors de leur visite pastorale annuelle, - celle des curés, par un apprentissage à l’occasion des synodes diocésains. Qu’en fut-il dans la pratique ? Comment l’évêque pouvait-il exercer les trois pouvoirs qu’il exerçait sur

ésus de Nazareth est un Juif de Galilée, né vraisemblablement entre -7 et -51, qui apparaît dans le cercle de Jean le Baptiste avant de s'engager, entouré de quelques disciples, dans une courte carrière de prédication itinérante d'un à deux ans et demi2, essentiellement en Galilée, en pratiquant guérisons et exorcismes. Il suscite engouement et ferveur, s'attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d'être arrêté, condamné et crucifié vers l'an 30 à Jérusalem pendant la fête

à des conteurs (Maximilien Possy-Berry-Quénum dans Trois légendes africaines[4], Anatole Coyssi et, surtout, Jean Pliya, auteur du recueil de contes La fille têtue[5]), à des auteurs dramatiques (Jean Pliya et Maurice Mêlé) et même à des poètes (Richard Dogbeh, entre autres). D’un point de vue historique, les écrivains béninois se sont, si l’on puit dire, illustrés dans les différents genres littéraires dans l’ordre suivant : le roman avec L’Esclave[6] de Félix Couchoro, le théâtre avec les

solidarité entre chrétiens, et exagération sur les malheurs des fidèles d’Asie Mineure, persécutions supposées en Terre Sainte. Pr Occident mal informée = principal argument de l’appel à la Croisade. 2) L’appel d’Urbain II à Clermont et la prédication de la Ière Croisade 6 mois après concile de Plaisance, Urbain convoque à Clermont un concile avec les évêques français pr parler des pbs de discipline ecclésiastique. Seuls 2 canons (= décret des conciles en matière de foi et de discipline)